Apparitions d’Eskioga au pays Basque Espagnol (1931 à 1933)

Le 30 juin 1931, à Eskioga, province du Guipuzcoa en Pays Basque Espagnol, la Sainte Vierge apparaît à Antonia et à Andres Bereciartua, âgés de onze et sept ans ; puis à beaucoup d’autres personnes dont vingt-cinq au moins, semblent authentiquement l’avoir vue.

Le Nonce Apostolique, Mgr. Tedeschini, le Docteur Urutita, Evêque de Barcelone, divers médecins dont le docteur Maranon, estimèrent qu’il s’agissait de phénomènes naturels. Les multitudes pèlerines en prières atteignirent les 80 000 personnes.

Mais le Docteur Echeguren, Vicaire Général du Diocèse de Vitoria, retira l’autorisation aux apparitions et interdit de s’y rendre en pèlerinage. On dit qu’en échange, le gouvernement républicain anti-catholique espagnol permit le retour de Monseigneur Mugica, l’évêque de Vitoria alors en exil en France à Bayonne ; et aussitôt, le Docteur Echeguren fut nommé évêque d’Oviedo.

Don Pedro Balda, de Iruneta, transmit au Vicaire Général, l ‘annonce de deux voyants, Pilar Ciordia (trente ans) et Evaristo Galdos (vingt-cinq ans) : à cause de cela, il mourait prochainement de mort violente : ce qui arriva dans un accident de voiture. A Monseigneur Mugica, il fut prophétisé qu’il mourrait exilé loin de son Siège Episcopal et seul. Il mourut à Zarauz, en 1968, après avoir été obligé de renoncer à l’évêché.

Benita Aguirre, âgée de neuf ans (elle mourut le 4 juin 1982), reçu de nombreuses révélations sur l’avenir :

« Si vous ne faites pas beaucoup d’oraison et de pénitence, viendront des châtiments terribles et un tiers de l’humanité périra.

Lorsque les femmes ne se distingueront plus des hommes par leur manière de s’habiller, alors la fin du monde sera proche (elle ne dit pas la fin des temps.) Lorsque les religieux seront expulsés d’Espagne, le châtiment sera très proche.

IL y aura une guerre mondiale, d’abord en Italie, puis en Espagne ; ensuite, pendant le châtiment très court mais terrible – cinq jours de communisme et pendant trois journées, le feu tombera sur la terre et le jour ne se lèvera pas : que personne ne sorte de chez soi, car les hommes en pleine confusion, se tueront les uns les autres.

Il y aura des tremblements de terre à l’étranger puis en Espagne. Le feu détruira les récoltes. Il y aura une grande famine. Paris sera carbonisé. Marseille et Saint Sébastien, avalées par la mer. Madrid et Barcelone et Malaga, seront également les plus punies.

Beaucoup mouront d’une maladie contagieuse. IL faudra se frayer un chemin parmi les cadavres, comme on le fait quand il neige.

Un grand Monarque qui fut dissipé dans sa jeunesse ira en Afrique et dominera le monde entier ; un très bon compagnon l’aidera à diffuser la religion et mourra crucifié à Jérusalem.

IL y aura une seule religion ; les porteurs de la Croix de Jésus-Christ, qui commençant à Séville, convertiront le Monde ; le fondateur sera le plus grand réformateur de l’Eglise. Auparavant, beaucoup de prêtres abandonneront le célibat.

Après le règne du Cœur de Jésus viendra l’Antéchrist avec plus de martyrs qu’il n’y en jamais eut. Après le jugement, les justes descendront, avec Jésus, sur terre, pendant mille ans ; ils ne pourront plus pécher ; ce sera une sorte de paradis. »

Les paroles de la Sainte Vierge à Conchita Mateos, âgée de 11 ans :
Le samedi 10 décembre 1932, je vis la Vierge douloureuse, bien, bien triste et elle me dit :

«Vois ma fille, demain Je commencerai à te raconter le châtiment, si tu as le courage de m’entendre».

Dimanche 11 décembre 1932, la Vierge dit qu’Elle accordera toutes les demandes sauf celles qui ont trait au châtiment parce que, sans châtiment, le monde ne peut pas être sauvé… Ce siècle est le dernier de tous… (lorsque le châtiment arrivera..) Paris sera carbonisé, Marseille englouti par la mer.
                                                                                                                                     
Les paroles de la Sainte Vierge à Cruz de Lete, l’un des voyants basques, en 1933.
Elle m’a parlé du châtiment qu’elle m’annonçait en ces termes :

« Un jour arrivera, ce sont ses propres paroles, si l’on ne veut entendre ma voix, où à chaque pas on heurtera les cadavres et où plus on ira, plus on en trouvera ; et je vous dis que ce qui est le plus affligeant, c’est de penser que nombre d’âmes vont se damner. Ainsi, un jour, tout comme des flocons de neige, des âmes tomberont en enfer. »

Je lui demandai si Elle désirait que nous répandions cela dans le monde. Elle me dit que non, par ce qu’on ne le croirait pas, que nous serions insultés et qu’ainsi on offenserait Jésus davantage.

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