« Benoît XVI »

Joseph Ratzinger, « Benoît XVI », n’est pas Pape et n’a jamais été Pape de l’Eglise Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine.

En tant que théologien, déjà suspect d’hérésie par le Saint Office de faux œcuménisme :

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Résumé : Joseph Ratzinger a commis un grand nombre d’actes hérétiques, et produit un grand nombre d’écrits truffés d’hérésies.

Il s’est fait passer pour un conservateur, dans le but de rallier la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X à la secte moderniste. Or lorsque l’on constate ses faits commis lors de son « pseudo-pontificat », on ne peut que le déclarer comme étant un hérétique formel.

Il a, dans l’esprit du conciliabus de Vatican 2, prétendu que les fausses religions pouvaient mener au ciel. Il a conforté les juifs dans leurs erreurs en leur faisant croire que l’Ancienne Alliance pouvait amener à la justification. Il a prié dans une mosquée et tenu une rencontre de faux-oeucuménisme (Assises 3).

Ratzinger a nié des dogmes essentiels de la foi catholique, comme les notions de péché originel, la véracité des écrits contenus dans la Sainte Ecriture, le fait qu’il ne puisse exister de salut hors de la Sainte Eglise catholique. Il a nié que le souverain Pontife de l’église Catholique détienne une juridiction suprême et universelle sur toute l’église, ceci en pleine adéquation avec les croyances d’un grand nombre de schismatiques orthodoxes. Il a été jusqu’à nier la doctrine catholique contenue dans le Saint Concile de Trente, qui fut proclamée infailliblement par l’Eglise Catholique.

Ratzinger fut un expert ayant activement oeuvré au conciliabus de Vatican II. Il s’agit d’un hérétique d’une intelligence maléfique redoutable. Il fut un promoteur du nouvel ordre mondial judéo-maçonnique et antichrétien, et ses liens avec la franc-maçonnerie sont avérés.

Un hérétique ne pouvant être pape, Ratzinger n’a jamais été pape de l’église catholique.

I | Quelques hérésies de Ratzinger

Benoît XVI s’est comporté en ennemi de la foi catholique en enseignant des doctrines modernistes condamnées par la sainte Église, et particulièrement par Pie IX (Quanta cura, Syllabus), Léon XIII, et saint Pie X (Pascendi).

pratiques permanentes qui s’opposent à la foi catholique :
– célébration habituelle du Novus ordo missae (la messe de Luther) ;
– visites de synagogues ;
– visites de mosquées ;
– prédication dans les temples protestants ;
– réception en grande pompe au Vatican de la secte des francs-maçons ;

– réunion syncrétiste d’Assise, etc…

  • A l’occasion de la « béatification » de Jean-paul 2, Benoît XVI déclara que « Jean-Paul II a été béatifié pour sa foi », béatification sacrilège puisque Jean-Paul 2 était apostat de la Foi catholique.

  • « De tous les textes du IIème Concile du Vatican, la constitution pastorale « Sur l’Eglise dans le monde de ce temps » (Gaudium et Spes) a été incontestablement le plus difficile, et aussi, du côté de la constitution sur la liturgie et du décret sur l’Oecuménisme, le plus riche en conséquences…

  • Si l’on cherche un diagnostic global du texte, on pourrait dire qu’il est (en liaison avec les textes sur la liberté religieuse et sur les religions du monde) une révision du Syllabus de Pie IX, une sorte de contre-Syllabus… Contentons-nous ici de constater que le texte joue le rôle d’un contre-Syllabus, dans la mesure où il représente une tentative pour une réconciliation officielle de l’Eglise avec le monde tel qu’il était devenu depuis 1789.» (J. Cal Ratzinger, Les principes de la théologie catholique – Esquisse et matériaux, Collection Croire et Savoir, Téqui 1985, p.423-427)

  • « Par contre, le Concile a aussi exprimé et concrétisé la volonté de dérouler la théologie à la lumière de toutes les sources, dans leur intégralité, de regarder ces sources non point à travers le filtre de l’interprétation du Magistère de ces derniers cent ans, mais de les lire et comprendre à partir d’elles-mêmes ; le Concile a manifesté la volonté de ne point écouter la seule Tradition catholique, mais d’approfondir et d’assumer de façon critique même le développement théologique des autres églises et confessions chrétiennes.» (J. Ratzinger, Il nuovo popolo di Dio, Ed. Queriniana, Brescia, 1971, p. 310 s.) 

  • « Ce document (de la pseudo-« Congrégation pour la doctrine de la foi ») affirme, peut-être pour la première fois avec autant de clarté, qu’il y a des décisions du Magistère qui peuvent en tant que telles ne pas être une dernière parole sur la matière. Mais elles sont un ancrage substantiel dans le problème. Elles sont aussi avant tout, une expression de prudence pastorale, une sorte de disposition provisoire. Leur noyau reste valide, mais les parties, prises séparément, et sur lesquelles ont influé les circonstances des temps, peuvent avoir besoin de rectifications ultérieures. A cet égard on peut penser soit aux déclarations des papes sur la liberté religieuse, soit aussi aux décisions anti-modernistes du début de ce siècle, surtout aux décisions de la Commission biblique de cette époque-là. Comme cri d’alarme… elles restent pleinement justifiées.. mais dans les détails déterminés de leur contenu elles ont été dépassées, après qu’en leur temps elles eurent accompli leur tâche pastorale.» (J. Cal Ratzinger, Osservatore Romano, 27/6/1990)

  • «Dans « Voici quel est notre Dieu », Benoît XVI, page 106 : « Le « Non » au Christ, d’un coté, met les Israélites dans une situation conflictuelle avec l’action de Dieu qui continue mais nous savons aussi, d’un autre coté, que la fidélité de Dieu leur est assurée. Ils ne sont pas exclus du Salut mais continuent à être à son service d’une manière particulière »

  • Dans « Ma vie, souvenirs », Joseph Ratzinger, page 63-64 : « J’en suis venu à penser que le judaïsme (…) et la foi chrétienne exposée dans le Nouveau Testament sont deux modes différents d’appropriation des textes sacrés d’Israël, tous deux ultimement déterminés par la façon d’appréhender le personnage de Jésus de Nazareth. L’Ecriture que nous nommons aujourd’hui Ancien Testament est en soi ouverte sur ces deux voies. »

  • «Dans « Discours à la Synagogue de Rome », Benoît XVI, 17 janvier 2011 : « Nombreuses peuvent être les implications qui dérivent de l’héritage commun tiré de la Loi et des Prophètes. Je voudrais en rappeler certaines : tout d’abord, la solidarité qui lie l’Eglise et le peuple juif au niveau même de leur identité spirituelle et qui offre aux chrétiens l’opportunité de promouvoir un respect renouvelé pour l’interprétation juive de l’Ancien Testament »

  • « Dans « Les principes de la théologie catholique », Joseph Ratzinger, pages 220 et 221 : « L’exigence maximale de l’Eglise Catholique à l’égard du protestantisme serait celle de regarder les ministères ecclésiastiques des protestants comme nuls et d’exiger tout simplement la conversion au catholicisme. (…) Il reste au bilan que les solutions maximalistes ne comportent aucun espoir réel d’unité. »

  • «Dans « Faire route avec Dieu », Benoît XVI, page 235 : « La question pesante de la succession n’enlève au Christianisme protestant rien de sa dignité spirituelle ni de la force salvifique du Seigneur dans son milieu. »

  • «Dans « Un chant nouveau pour le Seigneur », Joseph Ratzinger, p 101 : « C’est ainsi que nous comprenons vraiment la spécificité du récit biblique de la création. Les récits de créations païens, sur lesquels il s’appuie pour une part, visent tous en fin de compte à fonder le culte »


«Dans « Les principes de la théologie », Joseph Ratzinger, p 279 : « Vatican II a, par chance, dépassé le niveau de la polémique et a tracé un tableau positif complet de la position de l’Eglise sur le sacerdoce où l’on a accueilli également les requêtes de la Réforme (…) La totalité du problème du sacerdoce se ramène en dernière analyse à la question du pouvoir d’enseignement dans l’Eglise de façon générale ».

  • «Dans « Audience générale », Benoît XVI, Mercredi 24 Août 2005 : « En outre, nous fêtons (…) Nostrae aetate, qui a inauguré une nouvelle ère de dialogue et de solidarité spirituelle entre les juifs et les chrétiens, ainsi que d’estime pour les autres grandes traditions religieuses. Parmi celles-ci, une place particulière est occupée par l’islam, dont les fidèles adorent l’unique Dieu »

  • «Dans « Les principes de la théologie catholique », Joseph Ratzinger, page 426-427 : « Si l’on cherche un diagnostic global du texte [gaudum et spes], on pourrait dire qu’il est (en liaison avec les textes sur la liberté religieuse et sur les religions du monde) une révision du Syllabus de Pie IX, une sorte de contre-Syllabus. »

  • «Dans « Discours à Subiaco », relaté par « Documentation Catholique », Joseph Ratzinger, 2005, p 121-122 : « [Le Concile] a remis en évidence cette correspondance profonde entre le christianisme et les Lumières, essayant d’arriver à une véritable conciliation entre l’Eglise et la modernité, qui est le grand patrimoine que doivent sauvegarder chacune des deux parties ».

  • «Dans le journal « Le Monde », interview de Joseph Ratzinger, 17 Novembre 1992 : « Il serait absurde de vouloir revenir en arrière, à un système de chrétienté politique (…). Nous ne souhaitons pas imposer le catholicisme à l’Occident. Mais nous voulons que les valeurs fondamentales du christianisme et les valeurs libérales dominantes dans le monde d’aujourd’hui puissent se rencontrer et se féconder mutuellement ».

  • «Dans DC n°2373, Benoît XVI, 4 février 2007, page 108 : « Il est nécessaire d’accueillir les véritables conquêtes de la philosophie des Lumières, les Droits de l’homme et en particulier la liberté de la foi et de son exercice, en y reconnaissant les éléments essentiels également pour l’authenticité de la religion ».

  • «Dans « Discours du 22 décembre 2005 », Benoît XVI : « [La séparation de l’Eglise et de l’Etat est] la reprise à nouveau du patrimoine le plus profond de l’Eglise ».

  • «Dans « Discours du 22 décembre 2005 », Benoît XVI : « Les Martyrs de l’Eglise primitive sont morts pour leur foi dans le Dieu qui s’est révélé en Jésus-Christ, et précisément ainsi ils sont morts pour la liberté de conscience et pour la liberté de professer leur foi ».

  • «Hérésie De Ratzinger : « Jésus est L’incarnation De Dieu » – Benoît XVI, dimanche 9 mars 2008 : «Le coeur du Christ est divin et humain : en Lui, Dieu et Homme, se sont parfaitement rencontrés, sans séparation ni confusion. Il est l’image, et même l’incarnation du Dieu qui est amour, miséricorde, tendresse paternelle et maternelle, du Dieu qui est Vie »

  • « Le Christ en est venu à coïncider avec Dieu quand sur la croix il a incarné l’être pour les autres. C’est comme homme exemplaire, comme l’homme-type, qu’il transcende la limite de l’humain. En Jésus-Christ le processus d’hominisation est arrivé véritablement à son terme.» (J. Ratzinger, Foi chrétienne, hier et aujourd’hui, Ed. Mame et Cerf 1985, p. 158s

  • « En conséquence, la Résurrection ne peut pas être un événement historique dans le même sens que la Crucifixion. Elle n’est décrite en tant que telle par aucun récit, et sa réalisation n’est pas déterminée autrement que par l’expression de type eschatologique de :  » le troisième jour ».» (Joseph, card. Ratzinger, Les principes de la théologie catholique – Esquisse et matériaux, Téqui 1985, p.208)

  • « La foi voit dans le Christ le commencement d’un mouvement qui fait entrer de plus en plus l’humanité divisée dans l’être d’un unique Adam, d’un unique « corps », dans l’être de l’homme à venir. Elle voit dans le Christ le mouvement vers cet avenir de l’homme, où celui-ci est totalement « socialisé », incorporé à l’Unique.» (J. Ratzinger, Foi chrétienne, hier et aujourd’hui, Ed. Mame et Cerf 1985, p. 162s)

  • « Avons-nous alors encore le droit de résorber la christologie dans la théologie ? Ne devons-nous pas plutôt revendiquer Jésus passionnément comme homme, et faire de la christologie un humanisme, une anthropologie ? Ou alors l’homme authentique, par le fait même qu’il est entièrement et authentiquement homme, serait-il Dieu, et Dieu serait-il précisément l’homme authentique ? Serait-il possible que l’humanisme le plus radical et la foi au Dieu de la révélation se rejoignent ici jusqu’à se confondre.» (J. Ratzinger, Foi chrétienne, hier et aujourd’hui, Ed. Mame et Cerf 1985, p. 140)

  • «Le 14 février 2013, Benoît 16 a inventé la notion de « Concile des médias » qu’il oppose au « Concile des Pères » ; il propose une autre interprétation de la crise de l’Eglise, suite à Vatican II. Tout serait de la faute des médias qui auraient déformé les propos du Concile : « Je voudrais maintenant ajouter encore un troisième point : il y avait le Concile des Pères – le vrai Concile –, mais il y avait aussi le Concile des médias. C’était presque un Concile en soi, et le monde a perçu le Concile à travers eux, à travers les médias. Si bien que le Concile qui est efficacement arrivé jusqu’au peuple a été celui des médias, non pas celui des Pères »

  • Aucun autre comme Benoît XVI n’a puisé dans les travaux des rabbins pour argumenter ses propos : Dans le second tome de son livre Jésus de Nazareth il a utilisé les travaux théologiques de son ami le Rabbin Jacob Neusner. Dans son dernier discours annuel à la Curie romaine (considéré comme le plus important de l’année en interne) il a longuement cité l’essai du Grand Rabbin de France, Gilles Bernheim où il y puise largement une argumentation qu’il fait sienne.

Dans Caritas in veritate.

N° 67  de l’Encyclique Caritas in veritate de Benoît XVI prônant « l’autorité mondiale » conformément aux nations unies !

Cela signifie que Benoit 16 est en train de nous dire de suivre le plan des illuminatis !

67. Face au développement irrésistible de l’interdépendance mondiale, et alors que nous sommes en présence d’une récession également mondiale, l’urgence de la réforme de l’Organisation des Nations Unies comme celle de l’architecture économique et financière internationale en vue de donner une réalité concrète au concept de famille des Nations, trouve un large écho. On ressent également fortement l’urgence de trouver des formes innovantes pour concrétiser le principe de la responsabilité de protéger  et pour accorder aux nations les plus pauvres une voix opérante dans les décisions communes. Cela est d’autant plus nécessaire pour la recherche d’un ordre politique, juridique et économique, susceptible d’accroître et d’orienter la collaboration internationale vers le développement solidaire de tous les peuples. Pour le gouvernement de l’économie mondiale, pour assainir les économies frappées par la crise, pour prévenir son aggravation et de plus grands déséquilibres, pour procéder à un souhaitable désarmement intégral, pour arriver à la sécurité alimentaire et à la paix, pour assurer la protection de l’environnement et pour réguler les flux migratoires, il est urgent que soit mise en place une véritable Autorité politique mondiale telle qu’elle a déjà été esquissée par mon Prédécesseur, le bienheureux Jean XXIII. Une telle Autorité devra être réglée par le droit, se conformer de manière cohérente aux principes de subsidiarité et de solidarité, être ordonnée à la réalisation du bien commun  s’engager pour la promotion d’un authentique développement humain intégral qui s’inspire des valeurs de l’amour et de la véritéCette Autorité devra en outre être reconnue par tous, jouir d’un pouvoir effectif pour assurer à chacun la sécurité, le respect de la justice et des droits . Elle devra évidemment posséder la faculté de faire respecter ses décisions par les différentes parties, ainsi que les mesures coordonnées adoptées par les divers forums internationaux. En l’absence de ces conditions, le droit international, malgré les grands progrès accomplis dans divers domaines, risquerait en fait d’être conditionné par les équilibres de pouvoir entre les plus puissants. Le développement intégral des peuples et la collaboration internationale exigent que soit institué un degré supérieur d’organisation à l’échelle internationale de type subsidiaire pour la gouvernance de la mondialisation] et que soit finalement mis en place un ordre social conforme à l’ordre moral et au lien entre les sphères morale et sociale, entre le politique et la sphère économique et civile que prévoyait déjà le Statut des Nations Unies.

Cette encyclique de Benoît XVI (Caritas in veritate) appelle à l’instauration d’une « véritable Autorité politique mondiale » travaillant en liaison avec les Nations unies animées de principes maçonniques. Cette encyclique a reçu le soutien complet d’une étude du KDUN [PDF] « Comité pour une ONU démocratique » (Komitee für eine demokratische UNO) créé en 2003, estimant que ses principes sont « pleinement en harmonie avec la doctrine papale ».. C’est ce comité, siégeant à Berlin, qui pilote les développements favorisant cette Assemblée parlementaire mondiale (APNU).

 

II | Ratzinger et la promotion du nouvel ordre mondial

Antipape benoit 16 – Nouvel Ordre mondial – discours de Noël 2005

L’utilisation du terme maçonnique par excellence « Nouvel Ordre Mondial » montre que Benoit 16 est franc-maçon, donc antipape.

Extrait du discours de l’antipape benoit 16 – discours de Noël 2005 – Texte complet dans vidéos – apostasie vatican2.

«Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem; ne crains pas, aie confiance en Lui! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques. Que son amour guide les peuples et éclaire leur conscience commune d’être une «famille» appelée à construire des relations de confiance et de soutien mutuel. L’humanité unie pourra affronter les problèmes nombreux et préoccupants du moment présent: de la menace terroriste aux conditions d’humiliante pauvreté dans laquelle vivent des millions d’êtres humains, de la prolifération des armes aux pandémies et à la dégradation de l’environnement qui menace l’avenir de la planète.»

Le pape Benoit XVI et le nouvel ordre mondial (discours Noel 2005)


Benoit XVI et nouvel ordre mondial

Le terme même de « Nouvel Ordre Mondial » – N.O.M. (ou mondialisme) = idéologie mystique luciférienne – portant la fausse étiquette de mondialisation – est un terme typique illuminati (lucifériens).

– passages concernés : caractères gras soulignés. 

– déchiffrage : caractères italiques.

TEXTE OFFICIEL

http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/homilies/2007/documents/hf_ben-xvi_hom_20070106_epifania_fr.html

HOMÉLIE DE BENOÎT XVI CHAPELLE PAPALE – Basilique Vaticane. CHAPELLE PAPALE – Basilique Vaticane. SOLENNITÉ DE L’ÉPIPHANIE DU SEIGNEUR Samedi 6 janvier 2007.

[…]

En vérité, tout le Concile Vatican II fut inspiré par la volonté d’annoncer le Christ, lumière du monde, à l’humanité contemporaine. Au coeur de l’Eglise, à partir du sommet de sa hiérarchie, apparut de manière impérieuse, suscité par l’Esprit Saint, le désir d’une nouvelle épiphanie du Christ au monde, un monde que l’époque moderne avait profondément transformé et qui, pour la première fois dans l’histoire, se trouvait face au défi d’une civilisation mondiale, dont le centre ne pouvait plus être l’Europe, pas plus que ce nous appelons l’Occident et le Nord du monde.

Apparaissait l’exigence d’élaborer un nouvel ordre mondial politique et économique, mais, dans le même temps et surtout, spirituel et culturel ; c’est-à-dire un humanisme renouvelé [1]Cette constatation s’imposait avec une évidence croissante [2]Un nouvel ordre mondial économique et politique ne fonctionne pas s’il n’y a pas de renouveau spirituel [3], si nous ne pouvons pas nous approcher à nouveau de Dieu et trouver Dieu parmi nous. Avant le Concile Vatican II, des consciences éclairées et des penseurs chrétiens avaient déjà eu l’intuition de ce défi historique et l’avaient affronté. Eh bien, au début du troisième millénaire, nous nous trouvons au coeur de cette phase de l’histoire humaine, qui a désormais été classifiée autour du terme « mondialisation » [4].

D’autre part, nous nous apercevons aujourd’hui à quel point il est facile de perdre de vue les termes de ce même défi, précisément parce que l’on est concerné par celui-ci : un risque fortement accru par l’immense expansion des mass media, qui, d’une part, s’ils multiplient indéfiniment les informations, de l’autre, semblent affaiblir nos capacités d’effectuer une synthèse critique. La solennité d’aujourd’hui peut nous offrir cette perspective, à partir de la manifestation d’un Dieu qui s’est révélé dans l’histoire comme lumière du monde, pour guider et introduire finalement l’humanité dans la terre promise [5], où règnent la liberté, la justice et la paix. Et nous voyons toujours davantage que nous ne pouvons pas promouvoir tout seuls la justice et la paix, si ne se manifeste pas à nous la lumière d’un Dieu qui nous montre son visage, qui nous apparaît dans la crèche de Bethléem, qui nous apparaît sur la Croix.

[…]

[1] Elaborer par qui ? La franc-maçonnerie. Quoi ? Un nouvel ordre mondial politique, économique, spirituel et culturel (rien que ça : c’est ni plus ni moins que le plan maçonnique luciférien, non pas humain, mais luciférien, dis-je). Un humanisme renouvelé : comment ? Un quoi ? Un humanisme renouvelé : mais c’est exactement le terme typique maçonnique de la fausse charité. Il faut simplement rappeler que le terme même de « Nouvel Ordre Mondial » (ou N.O.M. : mondialisme, idéologie mystique luciférienne qui n’ a rien de commun avec la mondialisation naturelle, mais qui en porte la fausse étiquette) est un terme typiquement utilisé par les franc-maçons illuminatis, rien que ça. Et rien que pour ça, il est vraiment anormal qu’il soit utilisé. 

[2] Cela s’impose : comme si cela tombait du ciel ! Incroyable ! Avec une évidence croissante : ce que le N.O.M. est planifié depuis plus de deux cent ans tout de même. 

[3] Autrement dit : le N.O.M. a un besoin vital d’une religion universelle unique mondiale, sans quoi il ne pourra se tenir.

[4] Oui, nous en sommes au coeur aujourd’hui, et le N.O.M porte le beau nom de mondialisation pour bien mieux tromper les pauvres gens.

[5] Nouvel ordre mondial = terre promisse !!!

La pseudo-encyclique Caritas in veritate ou la promotion du nouvel ordre mondial 

N° 67  de la « pseudo-encyclique » Caritas in veritate de Benoît XVI prônant « l’autorité mondiale » conformément aux nations unies !

Cela signifie que Benoit 16 est en train de nous dire de suivre le plan des illuminatis !

67. Face au développement irrésistible de l’interdépendance mondiale, et alors que nous sommes en présence d’une récession également mondiale, l’urgence de la réforme de l’Organisation des Nations Unies comme celle de l’architecture économique et financière internationale en vue de donner une réalité concrète au concept de famille des Nations, trouve un large écho. On ressent également fortement l’urgence de trouver des formes innovantes pour concrétiser le principe de laresponsabilité de protéger et pour accorder aux nations les plus pauvres une voix opérante dans les décisions communes. Cela est d’autant plus nécessaire pour la recherche d’un ordre politique, juridique et économique, susceptible d’accroître et d’orienter la collaboration internationale vers le développement solidaire de tous les peuples. Pour le gouvernement de l’économie mondiale, pour assainir les économies frappées par la crise, pour prévenir son aggravation et de plus grands déséquilibres, pour procéder à un souhaitable désarmement intégral, pour arriver à la sécurité alimentaire et à la paix, pour assurer la protection de l’environnement et pour réguler les flux migratoires, il est urgent que soit mise en place une véritable Autorité politique mondiale telle qu’elle a déjà été esquissée par mon Prédécesseur, le bienheureux Jean XXIII. Une telle Autorité devra être réglée par le droit, se conformer de manière cohérente aux principes de subsidiarité et de solidarité, être ordonnée à la réalisation du bien commun , s’engager pour la promotion d’un authentique développement humain intégral qui s’inspire des valeurs de l’amour et de la véritéCette Autorité devra en outre être reconnue par tous, jouir d’un pouvoir effectif pour assurer à chacun la sécurité, le respect de la justice et des droits . Elle devra évidemment posséder la faculté de faire respecter ses décisions par les différentes parties, ainsi que les mesures coordonnées adoptées par les divers forums internationaux. En l’absence de ces conditions, le droit international, malgré les grands progrès accomplis dans divers domaines, risquerait en fait d’être conditionné par les équilibres de pouvoir entre les plus puissants. Le développement intégral des peuples et la collaboration internationale exigent que soit institué un degré supérieur d’organisation à l’échelle internationale de type subsidiaire pour la gouvernance de la mondialisation et que soit finalement mis en place un ordre social conforme à l’ordre moral et au lien entre les sphères morale et sociale, entre le politique et la sphère économique et civile que prévoyait déjà le Statut des Nations Unies.

Cette encyclique de Benoît XVI (Caritas in veritate) appelle à l’instauration d’une « véritable Autorité politique mondiale » travaillant en liaison avec les Nations unies animées de principes maçonniques. Cette encyclique a reçu le soutien complet d’une étude du KDUN [PDF] « Comité pour une ONU démocratique » (Komitee für eine demokratische UNO) créé en 2003, estimant que ses principes sont « pleinement en harmonie avec la doctrine papale ».. C’est ce comité, siégeant à Berlin, qui pilote les développements favorisant cette Assemblée parlementaire mondiale (APNU).

II | Ratzinger et ses liens avec la franc-maçonnerie

Josef Ratzinger écrit dans une revue maçonnique

En 1979, Josef Ratzinger était cardinal, archevêque de Munich et Freising. Or, voilà que l’on découvre qu’il écrit dans une revue maçonnique en octobre de cette même année

Comment un cardinal et archevêque catholique peut-il publier un article dans un journal franc-maçon, voué au règne de Satan, celui qui est le pire ennemi de l’Eglise catholique ?? Tout simplement, parce que ce ratzinger appartient lui aussi très certainement à cette secte anti-catholique. D’ailleurs, affirmer ceci concorde parfaitement avec les actes et paroles du loup déguisé en agneau. Celui qui milite pour la laïcité pourtant fermenent condamnée et réprouvée par les papes Saint Pie X, Pie XI et Pie XII, celui qui collabore étroitement avec les rabbins et qui cite le Talmud, celui qui proclame et commet de nombreuses apostasies, n’est pas catholique et ne peut pas être le Vicaire du Christ.  Ratzinger n’est rien d’autre qu’un valet de Satan.

Ratzinger à l’ONU, fief judéo-maçonnique mondiale

Benoît XVI nomme un franc-maçon à l’Académie pontificale des sciences samedi 10 novembre 2012 

Le professeur Vanderlei Bagnato est un physicien brésilien. Il est membre de la loge  A:.R:.L:.S:.
Les franc-maçons du Grand Orient du Brésil se félicitent de cette nomination.


III | Ratzinger et ses hérésies en rapport avec les juifs


Sur la base de l’Écriture et de la Tradition, l’Église catholique enseigne infailliblement qu’il est nécessaire pour le salut de croire en Jésus-Christ et de garder la foi catholique.

Jean 8, 23-24 : « … car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans votre péché. »

Pape Eugène IV, Concile de Florence, 1439, ex cathedra : «Quiconque veut être sauvé, doit avant tout tenir la foi catholique … il est nécessaire pour le salut éternel qu’il croit fidèlement aussi l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ … Fils de Dieu qui est Dieu et homme …  » (1)

L’Eglise catholique enseigne aussi infailliblement que l’Ancienne Alliance a cessé avec la venue du Christ, et a été remplacée par la Nouvelle Alliance. Le Concile de Florence a enseigné que ceux qui pratiquent l’ancienne loi et la religion juive pèchent mortellement et sont « étrangers à la foi chrétienne et pas le moins aptes à participer au salut éternel, sauf si un jour ils se remettent de ces erreurs». (2)

En 2001, cependant, la Commission biblique pontificale a publié un livre intitulé Le peuple juif et ses Saintes Écritures dans la Bible chrétienne. Ce livre rejette le dogme selon lequel l’Ancienne Alliance a cessé. Il enseigne que l’Ancienne Alliance est toujours valable, et que la l’attente des Juifs pour la venue du Messie (qui faisait partie de l’Ancienne Alliance) est également toujours valide. Il enseigne que Jésus ne doit pas être vu comme le Messie prophétisé, qu’il est possible de le voir, comme les Juifs, non pas comme le Messie et non pas comme  le Fils de Dieu.

Dans la section II, A, 5, Le peuple juif et ses Saintes Écritures dans la Bible chrétienne déclare :

« l’attente messianique juive n’est pas vaine …  » (3)

Dans la section II, A, 7, Le peuple juif et ses Saintes Écritures dans la Bible chrétienne déclare :

« … À lire la Bible le judaïsme ne comporte pas nécessairement une acceptation implicite de tous ses présupposés, c’est-à-dire la pleine acceptation de ce que le judaïsme est, en particulier, l’autorité de ses écrits et traditions rabbiniques, qui excluent la foi en Jésus comme Messie et Fils de Dieu … les chrétiens peuvent et doivent admettre que la lecture juive de la Bible est une lecture possible …  » [4]

Ainsi, selon ce livre du Vatican, les chrétiens peuvent et doivent admettre que la position juive selon laquelle Jésus n’est pas le Fils de Dieu et le Messie prophétisé est une lecture possible ! La préface de ce livre totalement hérétique a été écrit par nul autre que Joseph Ratzinger, désormais Benoît XVI.


Benoît XVI enseigne que Jésus ne doit pas être vu comme le Messie

Benoît XVI enseigne le même déni de Jésus-Christ dans un certain nombre de ses livres :

Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, p. 209 :  » Il est bien sûr possible de lire l’Ancien Testament de sorte qu’il ne soit pas dirigé vers le Christ, il ne pointe pas tout à fait sans équivoque vers le Christ. Et si les Juifs ne peuvent pas voir les promesses qui sont remplies en lui, ce n’est pas seulement par mauvaise volonté de leur part, mais vraiment à cause de l’obscurité des textes … Il ont parfaitement de bonnes raisons, donc, pour nier que l’Ancien Testament se réfère au Christ et pour dire, non, ce n’est pas ce qu’il a dit. Et il y a aussi de bonnes raisons de le renvoyer à lui. C’est ce qu’est le différend entre les juifs et les chrétiens.  » (5)

Benoît XVI dit qu’il y a parfaitement de bonnes raisons de ne pas croire que l’Ancien Testament se réfère au Christ comme le Messie prophétisé. Il dit que l’Ancien Testament ne pointe pas sans équivoque Notre-Seigneur comme le Messie. Ceci est un autre déni total de la foi chrétienne.

Ce qui rend cette apostasie d’autant plus scandaleuse, c’est le fait que le Nouveau Testament est rempli de passages qui déclarent que Notre-Seigneur est l’accomplissement de la prophétie de l’Ancien Testament. Pour ne citer qu’un passage d’un grand nombre, dans Jean 5 Notre Seigneur dit spécifiquement aux Juifs que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament le concernant les condamnera.

Jean 5, 39, 45-47 :  » Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir la vie éternelle en elles, alors qu’elles témoignent de moi … celui qui vous accuse, c’est Moïse, en qui vous avez placé votre espérance. Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu’il a écrit de moi. « 

Mais, selon Benoît XVI, l’ensemble de ces déclarations bibliques selon lesquelles Notre-Seigneur est l’accomplissement des prophéties de l’Ancien Testament, y compris les propres paroles de notre Seigneur, peut-être faux. Selon Benoît XVI, la lecture juive que Notre-Seigneur n’est pas le Messie, pas le Fils de Dieu, et annoncée dans l’Ancien Testament, est possible et valide. Cette interprétation est bien entendu on ne peut plus hérétique et apostat.

Benoît XVI refuse également Jésus-Christ dans son livre Jalons :

Benoît XVI, Jalons, 1998, pages 53-54 : «J’en suis venu de plus en plus réaliser que le judaïsme … et la foi chrétienne décrite dans le Nouveau Testament sont deux modes d’appropriation des Écritures d’Israël, deux façons, qui à la fin, sont à la fois déterminées par la position que l’on suppose à l’égard de la figure de Jésus de Nazareth. L’Ecriture que nous appelons aujourd’hui l’Ancien Testament est en elle-même ouverte aux deux sens …  » (6)

Benoît XVI déclare à nouveau que l’Écriture est ouverte à la tenue du point de vue juif de Jésus, que Jésus n’est pas le Fils de Dieu. C’est précisément pourquoi Benoît XVI enseigne à plusieurs reprises l’hérésie selon laquelle les Juifs n’ont pas besoin de croire en Jésus-Christ pour le salut.

Benoît XVI, Nouvelles Zenit, le 5 septembre 2000 : «Nous sommes d’accord qu’un Juif , et cela est vrai pour les croyants d’autres religions, n’a pas besoin de connaître ou de reconnaître le Christ comme le Fils de Dieu pour être sauvé …  » (7)

Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, pages 150-151 : «… leurs [les Juifs] Non au Christ mènee les Israélites en conflit avec les actes ultérieurs de Dieu, mais en même temps nous savons qu’ils sont assurés de la la fidélité de Dieu. Ils ne sont pas exclus du salut …  » (8)

Il s’agit d’un rejet total du dogme catholique.

L’apostasie publique de Benoît XVI à la synagogue allemande

Tout cela est la raison pour laquelle le 19 Août 2005 – un vendredi à midi, le même jour et à la même heure où Jésus a été crucifié – Benoît XVI est arrivé à la synagogue juive de Cologne, en Allemagne, et apris une part active dans un service de culte juif. Prendre une part active dans un culte non-catholique est un péché contre la loi divine et le Premier Commandement, comme l’Église catholique l’a toujours enseigné avant Vatican II.

Saint Ambroise, Sermo 37les deux navires : « L’infidélité de la synagogue est une insulte au Sauveur. Il a donc choisi la barque de Pierre, et déserté celle de Moïse, c’est-à-dire Il a rejeté la Synagogue infidèle, et adopté l’Église croyante ». (9)

Benoît XVI à la synagogue des Juifs, prenant une part active dans le culte juif le 19 août 2005 ((10)

En prenant part à un culte juif, Benoît XVI a commis un acte d’apostasie publique. A la synagogue, Benoît XVI était assis en bonne place devant. La synagogue a été emballée avec les Juifs qui étaient là pour le voir. Benoît XVI n’était pas seulement une partie intégrante du service du culte juif, il était sa principale caractéristique. C’est sans aucun doute la participation active dans la religion juive.

Très proche de Benoît XVI, le chantre de la synagogue priait et chantait les prières juives à plein poumons. Benoît a fait des gestes, comme baisser la tête et frappant dans ses mains, pour montrer son approbation et sa participation dans le service juif. Il a rejoint les Juifs dans la prière Kaddish, et de la musique yiddish retentissait dans le fond.

Quand Benoît XVI a pris la parole (et éventuellement a prié) dans la synagogue, la synagogue toute à ses pieds l’a applaudi – applaudi pour son acceptation de leur religion. Tout le monde sur la terre ayant vu cet événement sait qu’il avait un sens : Benoît XVI n’a pas de problème avec les Juifs qui rejettent Jésus-Christ, et (selon lui) ils n’ont pas l’obligation d’accepter Jésus-Christ pour être sauvés.

Benoît XVI enseigne que les Juifs peuvent être sauvés, que l’Ancienne Alliance est valide, et que Jésus-Christ n’est pas nécessairement le Messie. C’est un hérétique audacieux contre l’Evangile et la foi catholique.

Pape Eugène IV, Concile de Florence, «Cantate Domino», 1441, ex cathedra : «La sainte Église romaine croit fermement, professe et prêche que tous ceux qui sont en dehors de l’Église catholique, non seulement les païens, mais aussi juifs ou hérétiques et schismatiques, ne peuvent pas partager la vie éternelle et iront dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges, sauf s’ils sont joints à l’Église avant la fin de leur vie …  » (11)

Benoît XVI encourage le grand rabbin de Rome dans sa « mission »


Benoît XVI, Discours au grand rabbin de Rome, le 16 janvier 2006 :  » Grand Rabbin émérite, vous avez été récemment chargé de la direction spirituelle de la communauté juive de Rome, vous avez pris cette responsabilité enrichi par votre expérience en tant que chercheur et médecin qui a partagé les joies et les souffrances d’un grand nombre de personnes. Je vous offre mes vœux les plus sincères pour votre mission, et je vous assure de ma propre et chaleureuse estime et l’amitié de mes collaborateurs « . (12)

C’est l’apostasie. Benoît XVI encourage le grand rabbin dans sa «mission» ! Il exprime également son estime pour le rabbin et son apostolat de rejet du Christ.

Benoît XVI, Audience générale, le 17 janvier 2007 : Le « Depuis près de 20 ans, la Conférence épiscopale italienne a consacré cette Journée du judaïsme à l’avancement des connaissances et de l’estime pour lui et pour le développement des relations d’amitié réciproque entre les communautés chrétiennes et juives, une relation qui a évolué positivement depuis le Concile Vatican II et la visite historique du Serviteur de Dieu Jean-Paul II à la synagogue Majeure à Rome … Aujourd’hui je vous invite tous à adresser une ardente prière au Seigneur pour que les juifs et les chrétiens puissent se respecter et s’estimer …  » (13)

Il parle positivement d’une journée consacrée au judaïsme. Ce jour-là, selon Benoît XVI, l’estime est en outre pour le judaïsme (une fausse religion qui rejette le Christ). Il s’agit d’un rejet total de la foi catholique et de Jésus-Christ.

IV | Ratzinger et ses hérésies en rapport avec la secte mahémométane (les musulmans)

L’Islam est une fausse religion qui rejette la Trinité et la divinité de Notre Seigneur.L’Eglise catholique enseigne officiellement que l’islam est une abomination – une fausse religion et dont les gens ont besoin d’être convertis et sauvés.

Pape Eugène IV, Concile de Bâle, 1434 : «… il est à espérer que de très nombreux de la secte abominable de Mahomet seront convertis à la foi catholique » (14)

Calixte III : «Je fais le voeu de … exalter la vraie foi, et d’extirper la secte diabolique des réprouvés et infidèles de Mahomet [l’islam] dans l’Est  » (15)

Benoît XVI a « profond respect » pour la FAUSSE religion DE L’ISLAM


Benoît XVI, Audience générale, le 20 sept. 2006 :  » j’espère que dans les diverses circonstances au cours de ma visite – par exemple, lorsque j’ai souligné à Munich combien il est important de respecter ce qui est sacré pour les autres – que mon profond respect pour les grandes religions, et en particulier les musulmans, qui adorent Dieu … est apparue tout à fait claire !  » (16)

Remarquez qu’il a « un profond respect » pour non seulement la fausse religion de l’Islam, mais d’autres fausses religions. C’est l’apostasie. Notez également qu’il considère le respect de la fausse religion elle-même comme la même chose que les musulmans sont «croyants». Il parle des deux de façon interchangeable, comme nous le voyons. Il est important de cela garder à l’esprit parce que Benoît XVI dit souvent qu’il respecte les croyants musulmans ou les musulmans comme des croyants. Ce faisant, il respecte leur fausse religion, comme nous le voyons clairement prouvé dans la citation suivante.

Benoît XVI, adresse, le 22 décembre 2006 : «Ma visite en Turquie m’a donné l’occasion de montrer également publiquement mon respect pour la religion islamiqueun respect, d’ailleurs, que le Concile Vatican II (déclaration Nostra Aetate n° 3) nous a souligné comme une attitude qui est juste « . (17)

Notez que Benoît XVI admet ici que Vatican II lui-même enseigne le respect de la fausse religion de l’Islam.

BENOÎT XVI dit qu’il y a un ISLAM NOBLE

Benoît XVI, sel de la terre, 1996, p. 244 : «Et, à faire abstraction de la scission entre sunnites et chiites, il [l’Islam] existe aussi dans de nombreuses variétés. Il est un Islam noble, incarné, par exemple, par le Roi du Maroc, et il y a aussi l’extrémiste, l’Islam terroriste, que, encore une fois, il ne faut pas identifier avec l’islam dans son ensemble, ce qui serait faire une injustice « . (18)

Il dit qu’une fausse religion est bonne. C’est l’apostasie.

BENOÎT XVI DIT QUE LES MUSULMANS SONT LES CROYANTS

Benoît XVI, Discours aux représentants de l’Islam, 20 Août 2005 :  » Le croyant – et nous tous, chrétiens et musulmans, sont des croyants – … Vous guidez les croyants musulmans et les formez dans la foi islamique … Vous avez donc une grande responsabilité dans la formation de la jeune génération « . (19)

BENOÎT XVI estime les fausses religions


Benoît XVI, la catéchèse, 24 août 2005 : «Cette année est également le 40ème anniversaire de la Déclaration conciliaire Nostra Aetate, qui a marqué le début d’une nouvelle ère de dialogue et de solidarité spirituelle entre juifs et chrétiens, ainsi que l’estime pour les autres grandes traditions religieusesLIslam occupe une place particulière parmi elles « . (20)

Notez que Benoît XVI ne se contente pas d’estimer les membres de fausses religions, mais les fausses religions elles-mêmes. C’est l’apostasie. Il dit aussi que l’islam et le judaïsme, deux fausses religions qui rejettent la divinité de Jésus-Christ et la foi catholique tout entière, représentent des «grandes traditions religieuses». C’est l’apostasie. L’islam et le judaïsme représentent l’infidélité, le rejet de la Trinité et l’obscurité.

Benoît XVI, adresse, le 25 septembre 2006 :  » Je voudrais aujourd’hui redire toute l’estime et le profond respect que j’ai pour les croyants musulmans, rappelant les paroles du Concile Vatican II pour l’Église catholique, de dialogue islamo-catholique de la Magna Carta : «L’Eglise regarde avec estime les musulmans. Ils adorent le Dieu unique, vivant et subsistant … A cette époque, quand les musulmans commencent le voyage spirituel du mois de Ramadan, j’adresse à tous mes vœux cordiaux, en priant pour que le Tout-Puissant leur accorde une vie sereine et paisible. Que le Dieu de paix vous comble de l’abondance de ses Bénédictions, ainsi que les communautés que vous représentez !  » (21)

Benoît XVI respecte les croyants de cette secte diabolique, il dit qu’ils adorent Dieu, il leur souhaite les bénédictions de Dieu au cours de leur «voyage spirituel» du Ramadan. Il s’agit simplement d’apostasie.

BENOÎT XVI estime les CIVILISATIONS ISLAMIQUES


Benoît XVI, Audience générale, le 6 déc 2006 :  » J’ai eu ainsi l’occasion propice de renouveler mes sentiments d’estime pour les musulmans et pour les civilisations islamiques ». (22)

Les civilisations islamiques sont parmi les choses les plus mauvaises et anti-chrétiennes dans l’histoire. Cette déclaration de Benoît XVI, par conséquent, est l’apostasie complète.

Benoît XVI, en Turquie s’adresse à des personnalités musulmanes, le 28 nov. 2006 : « … J’ai été heureux d’exprimer ma profonde estime pour tous les gens de ce grand pays et de rendre hommage sur la tombe du fondateur de la Turquie moderne, Mustafa Kemal Ataturk … J’adresse mes salutations à tous les chefs religieux de la Turquie, en particulier le Grand Mufti d’Ankara et Istanbul. Dans votre personne, Monsieur le Président, je salue tous les musulmans en Turquie avec une particulière estime et une considération affectueuse … Cette noble terre a également connu une remarquable floraison de la civilisation islamique dans les domaines les plus divers … Il y a tellement de monuments chrétiens et musulmans qui portent témoignage du passé glorieux de la Turquie. Vous tirez à juste titre fierté en eux, les préservant pour l’admiration du nombre toujours croissant de visiteurs qui viennent ici … En tant que croyants, nous tirons de notre prière la force qui est nécessaire pour surmonter toutes traces de préjugés et de porter un témoignage commun de notre affermissement de la foi en Dieu ». (23)

Il mentionne d’abord qu’il a rendu hommage sur la tombe de l’incroyant Ataturk. Il dit alors qu’il estime tous les musulmans en Turquie. Estimer quelqu’un est l’admirer. Cela signifie qu’il admire tous les musulmans en Turquie. Cela signifie que non seulement il admire des millions de personnes qui rejettent le Christ, mais même les criminels parmi les musulmans en Turquie, car il y en a certainement certains. Il loue alors la « remarquable floraison de la civilisation islamique », qui maintient des millions dans l’obscurité et l’infidélité. Il loue alors les monuments musulmans du passé, et dit que les musulmans « tirent à juste titre fierté de ces derniers. » Enfin, il dit que les «croyants» musulmans peuvent puiser de la force de leur prière  – indiquant que la pratique de l’islam est vraie et authentique. Benoît XVI est un apostat complet et total.

BENOÎT XVI enseigne que l’islam et le christianisme ont le même Dieu

Benoît XVI, pèlerin de l’économie de la Foi, 2002, p. 273 : « … l’islam, … a hérité d’Israël et des chrétiens le même Dieu …  » (24)

L’Islam et le christianisme n’ont pas le même Dieu. Les adeptes de l’islam rejettent la Trinité. Les Chrétiens adorent la Trinité.

BENOÎT XVI DIT QU’IL RESPECTE LE CORAN COMME LE LIVRE SAINT d’une grande religion

Benoît XVI, discours des excuses pour ses commentaires sur l’islam, sept. 2006 : « Dans le monde musulman, cette citation a malheureusement été considérée comme l’expression de ma position personnelle, suscitant ainsi l’indignation compréhensible. J’espère que le lecteur de mon texte peut voir immédiatement que cette phrase n’exprime pas mon point de vue personnel du Coran, pour lequel j’ai le respect d’un livre saint d’une grande religion « . (25)

Benoît XVI respecte le Coran comme un livre saint d’une grande religion. Le Coran blasphème la Trinité, nie la divinité du Christ, et dit que ceux qui y croient sont des excréments. Il dit aussi que tous les chrétiens sont damnés. Cette déclaration de Benoît XVI est l’apostasie totale. Nous avons déjà vu comment Jean-Paul II a embrassé le Coran, ce qui est embrasser le Coran littéralement.

BENOÎT XVI va dans une mosquée et PRIE vers la Mecque comme les MUSULMANS

Le 30 novembre 2006, lors de son voyage en Turquie, Benoît XVI a enlevé ses chaussures et est entré dans la Mosquée Bleue. Il a suivi le commandement de la communauté musulmane à se tourner vers « le Kiblah » – en direction de la Mecque. Ensuite, la prière a commencé. Benoît XVI a prié comme les musulmans vers La Mecque à la mosquée. Il a même croisé les bras dans le geste de prière musulmane appelée « le geste de tranquillité. » Cet incroyable acte d’apostasie a été signalé et montré partout dans les médias traditionnels. Il n’est pas exagéré de dire que Benoît XVI s’est lancé dans l’Islam.

Benoît XVI «Salué pour prier comme musulmans vers la Mecque», 1er décembre 2006-ISTANBUL (Reuters) – « Le pape Benoît a rendu une visite de clôture en Turquie vendredi au milieu de la louange pour visiter la Mosquée Bleue célèbre d’Istanbul et y prier tourné vers La Mecque « comme les musulmans »… La visite redoutée du pape a été conclue avec une merveilleuse surprise, écrit le quotidien Aksam en première page : « Dans la mosquée du Sultan Ahmet En, il se tourna vers la Mecque et a prié comme les musulmans»… Le quotidien populaire Hurriyet a déclaré : «Je comparerais la visite du pape à la mosquée aux gestes de Jean-Paul 2 au Mur occidental, a dit le vétéran médiateur du Vatican, le cardinal Roger Etchegaray, se référant à la prière du Pape Jean-Paul II au Mur occidental de Jérusalem en 2000. «Hier, Benoît a fait avec les musulmans ce que Jean Paul 2 a fait avec les Juifs». (26)

Cela prouve absolument que Benoît XVI est un apostat. C’est l’une des mesures les plus scandaleuses de l’histoire humaine.

Saint Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Pt. I-II, Q. 103, A. 4 : « Toutes les cérémonies sont des professions de foi, dans lesquelles consiste le culte intérieur de Dieu. Ainsi l’homme peut faire profession de sa foi intérieure, par des actes, ainsi que par des mots, et quelle qu’en soit la profession, s’il fait une fausse déclaration, il pèche mortellement. « 

Saint Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Pt. II, Q. 12, A. 1, Obj. 2 : «… si quelqu’un allait … rendre un culte sur la tombe de Mahomet, il serait réputé un apostat. « 

Saint Thomas dit que celui qui adore sur la tombe de Mahomet doit être considéré comme un apostat; . prier dans une mosquée, et vers la Mecque comme les musulmans, est bien pire. C’est pourquoi aucun pape dans l’histoire n’est même jamais entré dans une mosquée, ils savaient tous qu’y aller aurait signifié l’acceptation de la fausse religion. Avec cette action, la question de savoir si Benoît XVI est pape est totalement et complètement sûre et certaine ​​pour quiconque est familier avec ces faits et dispose d’un minimum de bonne volonté. Dites à vos amis et parents : Benoît XVI est un hérétique, un apostat et donc un antipape.

Benoît XVI, audience générale, le 6 déc 2006 : « Dans le domaine du dialogue interreligieux, la Divine Providence m’a accordé, presque à la fin de mon voyage, une visite imprévue qui s’est avérée assez importante : ma visite à la célèbre Mosquée bleue d’Istanbul. Dans une pause de quelques minutes de recueillement dans ce lieu de prière, je me suis adressé à l’unique Seigneur du Ciel et de la Terre, Père miséricordieux de l’humanité tout entière ». (27)

II | Ratzinger et son hérésie selon laquelle les hérétiques

protestants et les schismatiques ne doivent pas être

convertis

Benoît XVI comme « cardinal » en 1984 rencontre le Patriarche schismatique syrien

Les hérétiques et les schismatiques, comme les protestants et les orthodoxes, sont hors de l’Eglise catholique et doivent être convertis à la foi catholique pour l’unité et le salut. Il est nécessaire pour eux d’accepter tous les dogmes et les conciles catholiques, y compris les définitions dogmatiques de Vatican I en 1870. C’est l’enseignement catholique infaillible.

Cependant, Benoît XVI enseigne que les protestants et les schismatiques de l’Est n’ont pas besoin d’être convertis, et n’ont pas besoin d’accepter le Concile Vatican I. Il dit que les non-catholiques ne sont pas tenus d’accepter la primauté papale :

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), p. 198 :  » Il n’est pas possible, d’autre part, pour eux de considérer comme la seule forme possible et, par conséquent, comme un engagement de tous les chrétiens, la forme que cette primauté [la papauté] a pris aux dix-neuvième et vingtième siècles. La symbolique des gestes du Pape Paul VI et, en particulier son agenouillement devant le représentant du patriarche œcuménique [le Patriarche schismatique Athénagoras] étaient une tentative d’exprimer précisément cela …  » (28)

Benoît XVI se réfère à la primauté papale ici, et il dit que tous les chrétiens ne sont pas tenus de croire en la primauté papale telle qu’elle est définie par Vatican I en 1870 ! Cela signifie que Benoît XVI affirme être un catholique et le pape, alors qu’il estime que les hérétiques et les schismatiques ne sont pas tenus de croire à la papauté ! C’est l’une des plus grands fraudes dans l’histoire humaine. En outre, notez que Benoît XVI admet même que les gestes œcuméniques de Paul VI avec les schismatiques étaient destinés à montrer précisément que les schismatiques n’ont pas à accepter la primauté papale. Il s’agit d’un déni flagrant du Concile Vatican I.

Pape Pie IX, Concile Vatican I, ex-cathedra : «… tous les fidèles du Christ doivent croire que le Siège apostolique et le Pontife romain détiennent la primauté sur le monde entier … C’est la doctrine de la vérité catholique à partir de laquelle on ne peut s’écarter et garder sa foi et le salut ». (29)

L’Eglise elle-même a été fondée par Notre Seigneur sur la primauté pontificale, comme l’Evangile le déclare (Matthieu 16, 18-20) et le dogme catholique le définit :

Pape Boniface VIII, Unam Sanctam, le 18 novembre 1302, ex cathedra : «… nous déclarons, nous proclamons, nous définissons qu’il est absolument nécessaire pour le salut que toute créature humaine soit soumise au Pontife romain …» (30)

Les gens ont besoin de méditer sérieusement sur ​​la mauvaise façon dont Benoît XVI considère que tous les chrétiens ne sont pas tenus d’accepter la primauté des papes. Elle seule prouve qu’il est un hérétique manifeste. Mais il y a pire encore …

Benoît XVI ne nie pas seulement le dogme selon lequel les non-catholiques doivent croire en la papauté, mais se demande si les papes ont la juridiction suprême de l’Église pour tous !

Sur de longues parties de son livre, Principes de la théologie catholique, Benoît XVI s’engage dans des discussions détaillées sur les questions portant sur ​​les «orthodoxes» de l’Est (les schismatiques), ainsi que sur Luther, les protestants, etc. Ces discussions sont fascinantes pour nos fins, car elles constituent un document de position véritable de Benoît XVI sur ces sujets. Dans sa discussion sur les «orthodoxes», on découvre que Benoît XVI ne croit même pas dans le dogme de la papauté. Il est important de se rappeler que les schismatiques de l’Est (les soi-disant «orthodoxes») admettent souvent volontiers que les papes sont les successeurs de saint Pierre comme évêques de Rome. Beaucoup d' »orthodoxes » disent aussi que le pape, comme évêque de Rome, est «le premier parmi ses pairs» avec une «primauté d’honneur», mais ils nient – et en cela consiste leur hérésie et la tête de leur schisme – que les papes ont une primauté de juridiction suprême du Christ pour se prononcer sur toute l’Eglise.

Pape Pie XI, Mortalium Animos (n° 7), le 6 janvier 1928, parlant des hérétiques et schismatiques : « Parmi eux, il en est quelques-uns qui accordent au pontife romain une primauté d’honneur ou même une certaine compétence ou puissance, mais cela, cependant, ils le considèrent ne pas découler de la loi divine, mais du consentement des fidèles ». (31)

Benoît XVI explique la position de ces schismatique, qui rejette la primauté de juridiction suprême des papes, et voici ce qu’il dit :

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), pp 216-217 : «Le Patriarche Athénagoras [le patriarche schismatique non-catholique] a parlé encore plus fortement quand il a salué le Pape [Paul VI] dans Phanar :« Contre toute attente, l’évêque de Rome est parmi nous, le premier d’entre nous dans l’honneur, celui qui préside dans l’amour ». Il est clair qu’en disant cela, le patriarche [le patriarche schismatique non-catholique] n’a pas abandonné les revendications des Églises orientales ou reconnu la primauté de l’ouest. Au contraire, il dit clairement que l’Orient a compris que l’ordre, le rang et le titre, des évêques sont égaux dans l’Église – et il serait intéressant pour notre temps d’examiner si cette confession archaïque, qui n’a rien à voir avec la primauté de la compétence, mais avoue une primauté de « l’honneur » et agape, pourrait ne pas être reconnue comme une formule qui reflète bien la position que Rome occupe dans l’Église – le «saint courage» nécessite que la prudence soit combinée avec «l’audace» : «Le royaume de Dieu souffre violence ». (32)

Ce qui précède est un déni incroyable et explicite du dogme de la papauté et du canon infaillible ci-dessous ! Benoît XVI annonce la position du patriarche schismatique, qui ne reconnaît pas la primauté de juridiction suprême des papes, et non seulement il nous dit que la position schismatique est acceptable (comme nous l’avons déjà vu), mais que la position schismatique peut en fait être la véritable position sur l’évêque de Rome ! En d’autres termes, la Papauté (la juridiction suprême des papes sur l’Église universelle par l’institution du Christ en tant que successeurs de saint Pierre) peut ne pas exister du tout ! C’est une hérésie incroyable et énorme !

Le fait que cet homme prétende être le pape quand il ne croit même pas à la papauté est sûrement l’une des plus grands fraudes dans l’histoire humaine. Ceux qui tiennent obstinément que ce non-catholique est le pape aident à perpétuer cette fraude monumentale.

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 4, chap. 3, Canon, ex cathedra : «Si quelqu’un parle ainsi, que le Pontife romain a seul l’office de l’inspection ou de la direction, mais pas le pouvoir plénier et suprême de la juridiction sur l’Église universelle, non seulement dans les choses qui concernent la foi et la morale, mais aussi dans celles qui ont trait à la discipline et au gouvernement de l’Église répandue dans le monde entier, ou qu’il ne possède que les parties les plus importantes, mais pas toute la plénitude de ce pouvoir suprême … qu’il soit anathème » (33)

Benoît XVI conteste également que la papauté ait même eu lieu dans le premier millénaire et nous dit que c’est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas lier les schismatiques à y croire !


Benoît XVI avec le patriarche schismatique Mesrob II, rejetant la papauté et chef de la secte orthodoxe arménienne schismatique turque

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), pp 198-199 : « … En d’autres termes, Rome ne doit pas exiger plus de l’Est par rapport à la doctrine de la primauté que ce qui avait été formulé et vécu dans le premier millénaireLorsque le patriarche Athénagoras [le patriarche schismatique non-catholique], le 25 Juillet 1967, à l’occasion de la visite du pape à Phanar, l’a désigné comme le successeur de saint Pierre, le plus estimé parmi nous, comme un qui préside à la charité, ce grand leader de l’Eglise exprimait le contenu ecclésial de la doctrine de la primauté tel qu’il était connu dans le premier millénaire. Rome ne doit pas demander plus.  » (34)

C’est une autre hérésie majeure étonnante contre la papauté et le Concile Vatican I. Benoît XVI dit encore que la position schismatique du patriarche non-catholique Athénagoras, qui rejette la papauté et reconnaît seulement l’évêque de Rome en tant que successeur de Saint-Pierre avec une primauté d’honneur, MAIS PAS DE juridiction suprême, est suffisante. En outre, Benoît XVI affirme que la raison pour laquelle nous ne pouvons pas attendre des « orthodoxes » de croire en la Papauté (la primauté de juridiction suprême des papes, et pas seulement une primauté d’honneur), c’est parce qu’elle n’a même pas eu lieu au premier millénaire (selon lui) ! Par conséquent, Benoît XVI estime que la primauté de juridiction suprême conféré par Jésus-Christ sur ​​Saint-Pierre et ses successeurs est juste une fiction, une invention des siècles plus tard, qui nétait pas détenue dans l’Église primitive. Il dit que la position schismatique d’Athénagoras – estimant que le successeur de saint Pierre possède une simple primauté d’honneur – est «la doctrine de la primauté tel qu’elle était connue au premier millénaire» et que «Rome n’a pas besoin de demander» ! Remarquez comment Benoît XVI refuse directement Vatican I, qui définit que dans tous les âges la primauté de juridiction a été reconnue :

Pape Pie IX, Concile Vatican I, sess. 4, chap. 2, ex cathedra : « Certes, personne n’a de doute, que tous les âges ont connu que le saint et le plus bienheureux Pierre, chef et directeur des apôtres et des piliers de la foi et le fondement de l’Eglise catholique, a reçu les clefs du royaume de notre Seigneur Jésus-Christ, le Sauveur et Rédempteur du genre humain ; et jusqu’à ce jour et toujours, préside et exerce un jugement pour ses successeurs, les évêques du Saint-Siège de Rome, qui a été fondé par lui et consacré par le sang. Par conséquent, celui qui succède à Pierre dans ce siège, selon l’institution du Christ lui-même, détient la primauté de Pierre sur toute l’Église ». (35)

Ratzinger (Benoît XVI) rejette totalement ce dogme et la foi catholique tout entière.

Pour en revenir à l’enseignement hérétique de Benoît XVI selon lequel les non-catholiques n’ont pas forcément à croire en la papauté, il a également été enseigné par le préfet de Benoît XVI pour la promotion de l’unité des chrétiens, le « Cardinal » Walter Kasper.

« Cardinal » Walter Kasper : « … aujourd’hui, nous ne comprenons plus l’œcuménisme dans le sens d’un retour, par lequel les autres seraient «convertis» et redeviennent catholiques. Cela a été expressément abandonné par le Concile Vatican II « . (36)

La déclaration de Kasper est si hérétique que même la plupart des défenseurs de Benoît XVI ont remarqué Kasper hérétique. Mais comme nous l’avons vu, Benoît XVI estime exactement la même chose. Dans la citation suivante, nous voyons que Benoît XVI utilise essentiellement les mêmes mots que Kasper en rejetant le dogme catholique !

Benoît XVI, Discours au protestants aux Journées mondiale de la jeunesse, le 19 Août 2005 : « Et nous demandons maintenant : Que signifie rétablir l’unité de tous les chrétiens … cette unité ne signifie pas ce qu’on pourrait appeler l’œcuménisme du retour : c’est-à-dire, de nier et de rejeter sa propre histoire de foi. Absolument pas ! « (37)

Le « Cardinal » KASPER ET BENOÎT XVI rejettent tous les deux l’ŒCUMÉNISME DU RETOUR – la conversion des PROTESTANTS

« Cardinal » Walter Kasper : « … aujourd’hui nous ne comprenons plus l’œcuménisme dans le sens d’un retour, par lequel les autres seraient «convertis» et redeviennent catholiques. Cela a été expressément abandonné par le Concile Vatican II ». (38) Benoît XVI, Adresse aux protestants aux journées mondiales de la jeunesse, le 19 Août 2005 : « Et nous demandons maintenant : Que signifie rétablir l’unité de tous les chrétiens … cette unité ne signifie pas ce qu’on pourrait appeler l’œcuménisme du retour : c’est-à-dire, de nier et de rejeter sa propre histoire de foi. Absolument pas ! «  (39)

Comme cette comparaison le montre clairement, tout comme l’hérétique notoire le « Cardinal » Kasper, Benoît XVI rejette ouvertement «l’œcuménisme du retour», c’est-à-dir que les non-catholiques doivent revenir dand l’Eglise catholique par leur conversion et rejeter leurs sectes hérétiques. Ils rejettent tous les deux l’enseignement du Pape Pie XI, mot pour mot.

Le pape Pie XI, Mortalium Animos (n° 10), 6 janvier 1928 : «… l’union des chrétiens ne peut être promu que par la promotion de la conversion à la seule véritable Eglise du Christ de ceux qui sont séparés de lui …  » (40)

Benoît XVI est formellement hérétique. Il soutient que les protestants et les schismatiques de l’Est n’ont pas besoin d’être convertis et d’accepter Vatican I. Il est rejette de façon flagrante la nécessité de la foi catholique pour le salut, et l’enseignement dogmatique de Vatican I.


C’est pourquoi Benoît XVI se joint à Paul VI et Jean-Paul II en louant le renversement des excommunications contre les « orthodoxes » – et donc en refusant Vatican I


Benoît XVI, message œcuménique au patriarche schismatique de Constantinople, le 26 novembre 2005 : «Cette année, nous célébrons le 40ème anniversaire du 7 Décembre 1965, ce jour-là le Pape Paul VI et le Patriarche Athénagoras, mécontents de ce qui s’était passé en 1054, ont décidé ensemble à Rome et Constantinople d’annuler de la mémoire de l’Église, la sentence d’excommunication qui avait été prononcée.  » (41)

En 1054, le patriarche de Constantinople, Michel Cérulaire, avait rompu la communion avec l’Église catholique et le pape de Rome. Cerularius avait rejeté l’autorité suprême du pape et fermé les églises de rite romain à Constantinople. Cerularius a été excommunié par le pape saint Léon IX, et le Grand Schisme d’Orient a été officialisé. (42)

Ainsi, « ce qui s’est passé en 1054, » comme mentionné par Benoît XVI ci-dessus, se réfère aux excommunications portées par l’Église catholique contre ceux qui ont suivi Michel Cerularius dans le schisme et dans le rejet de la papauté. Paul VI a « levé » ces excommunications à la fin du Concile Vatican II, et Jean-Paul II en a salué et célébré la levée de nombreuses fois. Maintenant, nous voyons que Benoît XVI suit l’exemple de Jean-Paul II et commémore aussi l’événement.

Tout cela signifie simplement que Paul VI, Jean-Paul II et maintenant Benoît XVI ont tenté de renverser la papauté comme un dogme qui doit être cru, sous peine d’hérésie et d’excommunication. Mais comme nous l’avons déjà vu, Vatican I a déclaré à plusieurs reprises et de plusieurs manières que ceux qui rejettent le dogme de la papauté sont anathèmes, coupés de la foi. Ainsi, tenter de renverser les excommunications contre ceux qui rejettent encore la papauté est tout simplement rejeter hardiment l’enseignement formel de Vatican I sur l’hérésie et le schisme. Cela est signifié en paroles et en actes.

Benoît XVI avec une «ministre» luthérienne

Benoît XVI priant des Vêpres œcuméniques, le 12 septembre 2006. (43) Il s’agit d’une participation active au culte non-catholique. Une manifestation d’hérésie par acte.


Benoît XVI, Discours durant le service de vêpres œcuméniques, le 12 sept. 2006 :  »

Chers frères et soeurs dans le Christ ! Nous sommes réunis, chrétiens orthodoxes, catholiques et protestants – et avec nous il y a aussi des amis juifs – pour chanter ensemble les louanges du soir de Dieu … C’est une heure de gratitude pour le fait que nous pouvons prier ensemble dans ce sens et, en se tournant vers le Seigneur, dans le même temps pour grandir dans l’unité entre nous … Parmi celles recueillies pour les Vêpres de ce soir, je voudrais tout d’abord saluer chaleureusement les représentants de l’Église orthodoxe. J’ai toujours considéré comme un don spécial de la Providence de Dieu que, en tant que professeur à Bonn, j’en suis venu à connaître et à aimer l’Eglise orthodoxe, personnellement pour ainsi dire, par deux jeunes Archimandrites, Stylianos Harkianakis et Damaskinos Papandreou, à la fois plus tard devenus métropolites … Notre koinonia [communion] est avant tout communion avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ dans l’Esprit Saint, c’est la communion avec le Dieu trinitaire, rendue possible par le Seigneur à travers son incarnation et l’effusion de l’ Esprit. Cette communion avec Dieu crée à son tour koinonia entre les hommes, comme une participation dans la foi des Apôtres …  » (44)

C’est une autre hérésie majeure de Benoît XVI. Tout d’abord, il prend une part active dans la prière et le culte des non-catholiques, ce qui est condamné dans l’enseignement catholique.

Le pape Pie XI, Mortalium Animos (n° 10) : «Alors, Vénérables Frères, il est clair que ce Siège apostolique n’a jamais permis à ses sujets de prendre part aux assemblées des non-catholiques … » (45)

Deuxièmement, il dit qu’il aime l’Eglise orthodoxe – une secte non-catholique schismatique et hérétique. Que peut-il être plus hérétique que de dire : «J’aime l’Eglise schismatique» ? Il indique alors que lui, les schismatiques, et les protestants ont une communion avec Dieu, la communion avec l’autre, et la communion avec la foi des Apôtres. Cela est d’autant totalement hérétique. Benoît XVI est un hérétique public en communion avec les non-catholiques.


Benoît XVI prie avec le chef des «orthodoxes» schismatiques du monde et signe une déclaration commune avec lui, en lui disant qu’il est dans l’Eglise du Christ


Benoît XVI embrassant le chef des « orthodoxes » schismatiques du monde, Bartholomée Ier, lors de sa visite en Turquie en novembre 2006

Nouvelles de la BBC, le 29 novembre 2006 : «Benoît XVI a rencontré le Patriarche œcuménique Bartholomée Ier en Turquie, le deuxième jour d’une visite historique dans le pays à majorité musulmane. À Istanbul, il a parlé avec le chef spirituel des chrétiens orthodoxes du monde visant à guérir une vieille faille. Les deux dirigeants ont commencé leur réunion en maintenant un service de prière commune à l’Église St George [orthodoxe] à Istanbul « . (46)

Lors de son voyage en 2006 en Turquie, Benoît XVI s’est rendu dans deux cathédrales schismatiques et a rencontré trois patriarches schismatiques, dont le chef des schismatiques du monde : le patriarche orthodoxe de Constantinople, Bartholomée Ier. Benoît XVI a non seulement commis un acte interdisant la communication dans les choses sacrées avec le schismatique, mais il peut avoir commis sa pire hérésie dans sa déclaration commune avec lui.

Benoît XVI, déclaration commune avec le patriarche schismatique Bartholomée, le 30 novembre 2006 : « Cette rencontre fraternelle qui nous réunit, le pape Benoît XVI de Rome et le Patriarche œcuménique Bartholomée Ier, est l’œuvre de Dieu, et dans un certain sens, son don. Nous rendons grâce à l’Auteur de tout ce qui est bon, qui nous permet une fois de plus, dans la prière et le dialogue, d’exprimer la joie de nous sentir frères et de renouveler notre engagement à aller vers la pleine communion. Cet engagement vient de la volonté du Seigneur et de notre responsabilité de Pasteurs dans l’Église du Christ … En ce qui concerne les relations entre l’Eglise de Rome et l’Eglise de Constantinople, nous ne pouvons pas manquer de rappeler l’acte ecclésial solennel reléguant dans l’oubli les anciens anathèmes qui, durant des siècles ont eu un effet négatif sur nos Eglises « . (47)

Avez-vous vu cela ? Il dit : «… notre responsabilité de pasteurs dans l’Eglise du Christ» ! Qu’est-ce qui pourrait être plus hérétique que cela : déclarer dans une déclaration commune avec le chef des schismatiques du monde que le chef schismatique, qui rejette la papauté et l’infaillibilité papale, est  » dans l’Eglise du Christ  » ?

Benoît XVI a fait cette déclaration formelle hérétique dans une cathédrale schismatique dans le cadre d’une déclaration conjointe au cours d’une liturgie divine avec un schismatique notoire ! Ainsi, c’est officiel : Benoît XVI a déclaré dans une déclaration conjointe publique que l’on peut rejeter la papauté, l’infaillibilité papale, Vatican I, etc, et être dans l’Église du Christ. Il est sans aucun doute un hérétique public. Quiconque le nie, à la lumière de ces faits, est également un hérétique. Même le défenseur le plus malhonnête et endurci de l’antipape Benoît XVI est dans l’impossibilité d’expliquer celle-là.

Le pape Léon XIII, Satis Cognitum (n° 15), 29 juin 1896 : Les évêques séparés de Pierre et de ses successeurs perdent toute juridiction : «De cela, il doit être clairement entendu que les évêques sont privés du droit et du pouvoir de décision, s’ils sont délibérément en sécession de Pierre et de ses successeurs ; parce que, par cette sécession, ils sont séparés de la fondation sur laquelle tout l’édifice doit reposer. Ils sont donc en dehors de l’édifice lui-même ; et pour cette raison ils sont séparés de la bergerie, dont la tête est le pasteur en chef, ils sont exilés de ce royaume, dont les clés ont été données par le Christ à Pierre seul …Personne, donc, sauf en communion avec Pierre ne peut partager son autorité, car il est absurde d’imaginer que celui qui est à l’extérieur puisse commander dans l’Église ». (48)

Toute cette hérésie de Benoît XVI est aussi une moquerie totale des saints et des martyrs qui ont souffert parce qu’ils ont refusé de devenir orthodoxes de l’Est. Des catholiques ont été torturés et martyrisés parce qu’ils ont refusé de devenir schismatiques de l’Est.

C’est pourquoi Benoît XVI encourage même le patriarche schismatique à reprendre son ministère


Benoît XVI, adresse, le 12 novembre 2005 : «À cet égard, je vous demande, vénérés frères, de transmettre mon salut cordial au Patriarche Maxim, Première hiérarque de l’Église orthodoxe de BulgarieS’il vous plaît exprimez-lui mes vœux les meilleurs pour sa santé et la reprise heureuse de son ministère « . (49)

Benoît XVI encourage le patriarche schismatique non-catholique à reprendre son ministère schismatique non-catholique. En outre, lors de son voyage en Turquie, Benoît XVI a rappelé le geste de Jean-Paul II qui a donné des reliques aux schismatiques. Benoît XVI a dit que cette action est un signe de communion.

Benoît XVI, Discours au patriarche schismatique Barthélemy, 29 novembre 2006 : « … Saint Grégoire de Nazianze et saint Jean Chrysostome … Leurs reliques reposent dans la basilique de Saint-Pierre au Vatican, et une partie d’entre elles ont été remises à Votre Sainteté comme un signe de communion par le pape Jean-Paul II à la vénération dans cette cathédrale « . (50)

Cela prouve encore une fois de plus que les «gestes d’œcuménisme» signifient un rejet du dogme selon lequel schismatiques doivent accepter la primauté papale pour être en communion avec l’Église.

Hérésie incroyable de Benoît XVI avec « l’archevêque » schismatique d’Athènes


Benoît XVI, adresse, le 30 octobre 2006 :  » Je suis également heureux de vous adresser mes pensées et mes meilleurs voeux à Sa Béatitude Christodoulos, Archevêque d’Athènes et de toute la Grèce : je demande au Seigneur de soutenir sa clairvoyance et prudence dans l’exécution du service exigeant que le Seigneur a confié à son soin. Grâce à lui, je tiens à saluer avec une affection profonde le Saint-Synode de l’Eglise orthodoxe de Grèce et les fidèles qui le servent avec amour et dévouement apostolique ». (51)

Benoît XVI dit que Christodoulos, schismatique, évêque « orthodoxe » non catholique en Grèce, a autorité sur l’ensemble de la Grèce ! Il indique également que les schismatiques sont les « fidèles » et que le Seigneur a confié à l’évêque schismatique un «service exigeant». En outre, notez le titre étonnant qui est paru dans le journal officiel du Vatican quand cet évêque non catholique est venu visiter Benoît XVI. Le journal officiel du Vatican (citant Benoît XVI) fait référence à cet « archevêque » schismatique non-catholique en Grèce comme « l’Archevêque d’Athènes et de toute la Grèce » en gros titres répétés tout au long de son journal. Tout cela est un rejet absolu de l’enseignement dogmatique catholique sur l’unité de l’Eglise.

IV | Autres hérésies de Ratzinger en rapport avec la secte

protestante


Réunion de prière œcuménique de Benoît XVI à l’église luthérienne : grande hérésie œcuménique

Benoît XVI à la prière commune lors d’une réunion oecuménique dans un temple luthérien à Varsovie le 25 mai 2006


Benoît XVI, Discours à la réunion oecuménique à l’église luthérienne de Varsovie, le 25 mai 2006 : «Avec vous, je rends grâce pour le don de cette rencontre de prière commune … nos aspirations œcuméniques doivent être pénétrées par la prière, dans le pardon mutuel … Les mots de l’Apocalypse nous rappelent que nous sommes tous sur un chemin vers la rencontre définitive avec le Christ, lorsqu’il dévoilera devant nos yeux le sens de l’histoire humaine … En tant que communauté de disciples, nous sommes orientés vers cette rencontre, remplis d’espoir et de confiance que ce sera pour nous le jour du salut, le jour où nos désirs seront satisfaits, grâce à notre volonté de nous laisser guider par la charité mutuelle que son Esprit suscite en nous … Permettez-moi de rappeler une fois de plus la rencontre œcuménique qui a eu lieu dans cette église avec la participation de votre grand compatriote Jean-Paul II …

« Depuis cette rencontre [avec Jean-Paul II dans l’église luthérienne], beaucoup de choses ont changé. Dieu nous a permis de faire de nombreux pas vers la compréhension mutuelle et le rapprochement. Permettez-moi de rappeler à votre attention certains événements œcuméniques qui ont eu lieu dans le monde pendant cette période : la publication de la Lettre encyclique Ut Unum Sint … la signature à Augsbourg de la «Déclaration commune sur la doctrine de la justification» ; la réunion sur à l’occasion du Grand Jubilé de l’An 2000 et le mémorial œcuménique témoins de la foi du 20ème siècle [des martyrs protestants] ; la reprise du dialogue entre catholiques et orthodoxes sur le plan mondial … la publication de la traduction œcuménique du Nouveau Testament et du Livre des Psaumes … Nous notons de nombreux progrès dans le domaine de l’oecuménisme et nous attendons toujours quelque chose de plus « . (52)

Il n’y a pas peu d’hérésie dans ce discours que Benoît XVI a donné à l’église luthérienne. Permettez-nous de résumer rapidement les principaux points. Tout d’abord, Benoît XVI va au temple luthérien et prend une part active dans un service de « prière commune » (ses mots) avec les luthériens, les protestants et les autres schismatiques « orthodoxes ». Il s’agit d’une manifestation d’hérésie par acte – la participation à un temple luthérien non catholique.

Deuxièmement, il mentionne la seconde venue du Christ, et dit : « nous [c’est-à-dire, lui et les luthériens et « orthodoxes »] sommes dirigés vers cette rencontre, remplis d’espoir et de confiance que ce sera pour nous le jour du salut » ; en d’autres termes, les protestants et les schismatiques à qui il parlait auront le salut. C’est une hérésie complète.

Troisièmement, lui-même et les luthériens et le «orthodoxes», sont décrits comme une seule communauté de disciples :  » En tant que communauté de disciples … » Cela montre que Benoît XVI fait partie de la même Église que les luthériens et les schismatiques, c’est-à-dire qu’il est une partie d’une secte non-catholique.

Quatrièmement, Benoît XVI rappelle les nombreuses réalisations faussement œcuméniques entièrement hérétiques, y compris la Déclaration commune avec les luthériens sur la justification qui bousille le Concile de Trente. Il a également rappelé le «mémorial œcuménique des témoins de la foi du 20ème siècle», qui est la commémoration de non-catholiques comme martyrs pour la foi. Il a également rappelé Ut Unum Sint, qui est rempli d’hérésies, y compris l’idée qu’il existe des saints non-catholiques. Il a également fait la promotion d’une nouvelle traduction oecuménique de la Bible. Benoît XVI est un antipape non catholique manifestement hérétique.

Benoît XVI encourage le chef invalide de l’Église anglicane dans son «ministère» et dit que la secte anglicane est ancrée dans la tradition apostolique


Benoît XVI, Discours à « l’archevêque » anglican de Canterbury, le 23 novembre 2006 :  » Il est de notre fervent espoir que la Communion anglicane restera ancrée dans les Évangiles et la Tradition apostolique qui forment notre patrimoine commun … Le monde a besoin de notre témoignage … Que le Seigneur continue à vous bénir et votre famille, et qu’il vous renforce dans votre ministère de Communion anglicane ! «   (53)

La Secte anglicane est fondée, non pas dans la Tradition apostolique, mais dans la «tradition» de l’adultère d’Henry VIII et sa rupture schismatique avec l’Église catholique. Benoît XVI encourage la tête schismatique et hérétique de la secte anglicane dans son «ministère», et se moque de tous les saints et des martyrs qui ont souffert et sont morts en martyrs parce qu’ils ne sont pas devenus anglicans.

À Vatican II, Benoît XVI a également nié que les non-catholiques doivent être convertis


Benoît XVI, Faits saillants théologiques de Vatican II, 1966, pages 61, 68 : « …Pendant ce temps, l’Église catholique n’a pas le droit d’absorber d’autres Eglises … Une unité de base – des Eglises qui restent Eglises, non devenues une Église – doit remplacer l’idée de conversion …  » (54)

Benoît XVI n’est pas même catholique de loin.


BENOÎT XVI loue la « grandeur » de la « ferveur spirituelle » de Luther


Martin Luther a été l’un des pires hérétiques dans l’histoire de l’Église. Luther a attaqué l’Église catholique et ses dogmes avec férocité. Bien que n’ayant jamais dénoncé Luther comme hérétique, Benoît XVI parle souvent positivement des vues de Luther et même le loue.

Au concile Vatican II, Benoît XVI s’est même plaint que le document Gaudium et Spes ait trop compté sur Teilhard de Chardin et pas assez sur Martin Luther. (55) Benoît XVI est aussi crédité pour avoir sauvé en 1999 la Déclaration commune avec les luthériens sur la justification, qui a déclaré que l’hérésie de Luther de la justification par la foi seule (et bien d’autres) n’est en quelque sorte plus condamnée par le Concile de Trente.

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), p. 263 : « Ce qui, dans Luther rend tout supportable en raison de la grandeur de sa ferveur spirituelle …  » (56)

BENOÎT XVI ENCOURAGE les MÉTHODISTES à entrer dans la DÉCLARATION COMMUNE TOTALEMENT HÉRÉTIQUE avec les luthériens sur la justification, qui rejette la CONCILE DE TRENTE

Benoît XVI, Discours aux méthodistes, le 9 décembre 2005 : « J’ai été encouragé par l’initiative qui porterait les Eglises membres du Conseil méthodiste mondial en association avec la Déclaration commune sur la doctrine de la justificationsignée par l’Eglise catholique et la Fédération luthérienne mondiale en 1999 ». (57)

Comme cela a déjà été couvert, la Déclaration commune avec les luthériens sur la justification rejette totalement le Concile de Trente en enseignant que ses canons infaillibles ne s’appliquent plus aux luthériens. Benoît XVI adhère à la présente convention protestante et affirme qu’elle a été signée par « l’Eglise catholique. »

BENOÎT XVI loue les non-catholiques du MONASTÈRE œcuménique de Taizé  ET DIT QUE PLUS doivent être constitués

Le monastère œcuménique de Taizé se trouve en France. Il s’agit d’un monastère composé de plus d’une centaine de frères de diverses confessions non catholiques, y compris les protestants. (58)

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), p. 304 : « … Taizé a été, sans aucun doute, le meilleur exemple d’une inspiration œcuménique … des communautés similaires de la foi et de la vie commune doit être formées ailleurs …  » (59)

Donc, plus de monastères oecuméniques non-catholiques doivent être constitués, selon Benoît XVI.

Benoît XVI donne la COMMUNION au FONDATEUR PROTESTANT de Taizé

Benoît XVI donne la « communion » à l’hérétique public, frère Roger Schutz, le fondateur protestant de Taizé (60)


Benoît XVI a donné la communion à frère Roger, le fondateur de la communauté protestante de Taizé, le 8 Avril 2005. Et quand frère Roger est décédé en août 2005, Benoît XVI a dit que cet hérétique protestant s’était immédiatement rendu au ciel.

Benoît XVI, le 17 août 2005, sur frère Roger : «  Frère Roger Schutz [fondateur d’une secte non-catholique] est dans les mains de la bonté éternelle, de l’amour éternel, il est arrivé à la joie éternelle …  » (61)

Voilà pour le frère Roger qui a quitté l’Eglise catholique, a rejeté ses dogmes depuis des décennies et est devenu le fondateur de sa propre secte non-catholique. Il est encore allé au ciel, selon Benoît XVI. C’est une hérésie manifeste. Benoît XVI a même dit que le frère hérétique Roger nous guide d’en haut.

Benoît XVI, Discours au protestants aux Journées Mondiales de la Jeunesse, le 19 Août 2005 :  » Frère Roger Schutz … Il est maintenant en visite chez nous et nous parle d’en haut « . (62)

Benoît XVI a également salué « le témoignage de la foi » de frère Roger (63). Si vous croyez que Benoît XVI est un pape catholique, vous pourriez aussi bien assister à l’église protestante.

Le pape saint Grégoire le Grand : «La sainte Église universelle enseigne que ce n’est pas possible d’adorer Dieu selon la vérité, sauf en elle, et affirme que tous ceux qui sont en dehors de son sein ne seront pas sauvés ». (64)

BENOÎT XVI enseigne que « l’Eucharistie » protestante est l’ÉCONOMIE de l’Eucharistie !


Benoît XVI, pèlerin de l’économie de la Foi, 2002, p. 248 :  » Même une théologie à l’instar [à l’exemple] de la notion de succession [apostolique], si elle est en vigueur dans l’Église catholique et l’Église orthodoxe, ne doit en aucune façon nier la présence salvifique du Seigneur dans la Sainte Cène évangélique.  » (65)

Jean 6, 54 : «Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. »

Les protestants n’ont pas d’Eucharistie valide. Ils n’ont pas d’évêques et des prêtres valides, car ils n’ont pas la succession apostolique. Mais Benoît XVI dit ci-dessus que, même si l’on accepte le dogme catholique de la succession apostolique, on ne devrait en aucune façon nier la présence salvifique du Seigneur DANS « L’Éternel SOUPER » protestant évangélique. Selon Benoît XVI, les protestants ne sont pas privés de l’économie de présence eucharistique. Cela signifie que vous pouvez obtenir l’économie de la présence eucharistique à l’église protestante locale. C’est une hérésie stupéfiante.

BENOÎT XVI enseigne que le protestantisme (christianisme évangélique) SAUVE

Benoît XVI, pèlerin de l’économie de la Foi, 2002, p. 251 : « … la question lourde de succession [apostolique] ne porte pas atteinte à la dignité spirituelle du christianisme évangélique, ou de la puissance salvifique du Seigneur à l’œuvre dans celui-ci …  » (66)

Il s’agit d’un gros rejet du dogme Hors de l’Eglise point de salut. Si c’était vrai, il n’y aurait absolument aucune raison d’être catholique.

Le pape Grégoire XVI, Summo Iugiter studio (n° 2), 27 mai 1832 : « Enfin, certains de ces gens égarés tentent de se convaincre et d’autres que les hommes ne sont pas uniquement sauvés dans la religion catholique, mais que même les hérétiques peuvent atteindre la vie éternelle.  » (67)

BENOÎT XVI DIT que le protestantisme n’est pas une hérésie

Benoît XVI, Le Sens de la Fraternité chrétienne, pp 87-88 : «La difficulté dans la façon de donner une réponse est profonde. En définitive, elle est dû au fait qu’il n’y a pas de catégorie appropriée dans la pensée catholique pour le phénomène du protestantisme d’aujourd’hui (on pourrait dire la même chose de la relation avec les Eglises séparées de l’Est). Il est évident que l’ancienne catégorie «d’hérésie» n’est plus d’aucune valeur, car l’Écriture et l’Église primitive, comprend l’idée d’une décision personnelle contre l’unité de l’Eglise, et la caractéristique de l’hérésie est pertinacia, l’obstination de celui qui persiste dans sa voie privée. Ceci, cependant, ne peut pas être considéré comme une description appropriée de la situation spirituelle du chrétien protestant. Au cours d’une histoire désormais vieille de plusieurs siècles, le protestantisme a apporté une contribution importante à la réalisation de la foi chrétienne, pour remplir une fonction positive dans le le développement du message chrétien et, surtout, donnant souvent lieu à une foi sincère et profonde dans l’individu chrétien non-catholique, dont la séparation de l’affirmation catholique n’a rien à voir avec le pertinacia caractéristique de l’hérésie. Peut-être pouvons-nous ici inverser une parole de saint Augustin : qu’un vieux schisme devient une hérésie. Le passage des temps modifie le caractère d’une division, de sorte que l’ancienne division est quelque chose d’essentiellement différent d’une autre. Quelque chose qui a été à juste titre condamné, une fois que l’hérésie ne peut tout simplement pas être plus tard devenue vraie, mais elle peut se développer progressivement sa propre nature ecclésiale positive, avec laquelle l’individu est présenté comme son église et dans laquelle il vit en tant que croyant, pas comme un hérétique. Cette organisation d’un groupe, cependant, a finalement un effet sur ​​l’ensemble. La conclusion est inévitable alors : le protestantisme d’aujourd’hui est quelque chose de différent de l’hérésie dans le sens traditionnel du terme, un phénomène dont le lieu théologique vrai n’a pas encore été déterminé. «  (68)

Le protestantisme est le rejet de nombreux dogmes de la foi catholique. Le protestantisme est non seulement une hérésie, mais la collection la plus célèbre d’hérésies que l’Église a jamais eu à affronter.

Le pape Pie XI, encyclique Rerum omnium perturbationem (n ° 4), 26 janvier 1923 : «… les hérésies engendrées par la Réforme [protestante]. C’est dans ces hérésies que l’on découvre les débuts de cette apostasie de l’Église de l’humanité, les tristes effets désastreux et qui sont déplorés, même à l’heure présente, par tout esprit juste « . (69)

Mais Benoît XVI nous dit que les protestants ne sont pas hérétiques, et que le protestantisme lui-même n’est pas une hérésie. C’est la preuve indéniable que Benoît XVI n’est pas un catholique, mais un hérétique complet. C’est l’une des pires hérésies de Benoît XVI.

Hérésies de Benoît XVI contre les sacrements

En 2001, le Vatican a approuvé un document avec l’Église schismatique assyrienne d’Orient. Le document indique que les membres de l’Église de Vatican II peuvent aller à l’église schismatique et recevoir la communion et vice versa. Le document a été approuvé par Benoît XVI. Le problème avec ce document, outre le fait que les schismatiques assyriens ne sont pas catholiques, c’est que cette liturgie schismatique n’a aucune paroles de consécration, pas de « récit de l’institution. » Benoît XVI a évoqué le problème dans son livre Pélerin de l’économie de la foi :

Benoît XVI, pèlerin de l’économie de la Foi, 2002, p. 232 : « … Cette affaire devait faire l’objet d’études spéciales, parce que l’anaphore d’Addai et Mari plus couramment utilisé par les Assyriens ne comprend pas un récit de l’institution. Mais ces difficultés ont pu être surmontées…  » (70)

Benoît XVI admet que cette liturgie schismatique n’a pas de «récit de l’institution», qui sont les paroles de la consécration. Mais il a encore approuvé de recevoir la communion pour cette liturgie schismatique qui n’a pas de paroles de la consécration.


Benoît XVI en est arrivé à cette décision incroyable car il nie que les mots soient nécessaires pour une consécration valide !

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), p. 377 : « … nous sommes témoins aujourd’hui d’une nouvel intégrisme [lire : traditionalisme] qui peut paraître soutenir ce qui est strictement catholique, mais en réalité corrompt à la base. Il produit une passion de soupçons, d’animosité qui est loin de l’esprit de l’Évangile. Il a une obsession de la lettre en ce qui concerne la liturgie de l’Église comme invalide et se met ainsi hors de l’Eglise. On oublie ici que la validité de la liturgie dépend principalement, non pas des mots spécifiques, mais de la communauté de l’Eglise …  » (71)

Il s’agit d’un rejet total de l’enseignement sacramentel catholique.

Pape Eugène IV, Concile de Florence, 1439 : « Tous ces sacrements sont constitués de trois éléments : à savoir, des choses comme la matière, comme la forme, et la personne du ministre qui confère le sacrement avec l’intention de faire ce que l’Eglise fait. Si l’un de ces éléments fait défaut, le sacrement n’est pas effectué ». (72)

Le fait que Benoît XVI considère que les messes sans aucune paroles de consécration soient valides prouve qu’il n’a même pas une once de foi catholique. Il est un hérétique manifeste contre l’enseignement sacramentel de l’Église. Et cette hérésie est répétée un certain nombre de fois dans ses livres.

BENOÎT XVI DIT que le baptême infantile n’a aucune raison d’exister

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, 1982, p. 43 : « Le conflit sur ​​le baptême des enfants montre à quel point nous avons perdu de vue la vraie nature de la foi, le baptême et l’appartenance à l’Eglise … Il est évident aussi que la signification du baptême est détruite où il n’est plus compris comme un don d’anticipation, mais seulement comme un rite autonome. Partout où il est coupé du catéchuménat, le baptême perd sa raison d’être ». (73)

C’est une hérésie incroyable et gigantesque ! Benoît XVI dit que partout où le baptême est séparé du catéchuménat – par exemple, dans le baptême des enfants – il perd sa raison d’être. Le baptême des enfants n’a pas de sens ou de but, selon Benoît XVI. C’est pourquoi, dans son livre Dieu et le monde, Benoît XVI REJETTE LA NECESSITE DE baptême du NOURRISSON comme « enseignement peu éclairé ».

Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, p. 401 : «Q. … ce qui arrive à des millions d’enfants qui sont tués dans le ventre de leur mère ? R. … la question des enfants qui ne pouvaient pas être baptisés parce qu’ils ont été avortés nous apparait alors beaucoup plus urgente. Les âges précédents avaient mis au point un enseignement qui me semble assez peu éclairé. Ils ont dit que le baptême nous apporte, par la grâce sanctifiante, la capacité de contempler Dieu. Maintenant, bien sûr, l’état de péché originel, duquel nous sommes libérés par le baptême, consiste en un manque de grâce sanctifiante. Les enfants qui meurent de cette façon sont en effet sans aucun péché personnel, de sorte qu’ils ne peuvent pas être envoyés en enfer, mais, d’autre part, ils n’ont pas la grâce sanctifiante et donc le potentiel pour contempler Dieu que cela leur confère. Ils ont tout simplement un état ​​de béatitude naturelle, dans laquelle ils seront heureux. Cet état s’appelle les limbes. Au cours de notre siècle, ce qui nous a peu à peu semblé problématique, est un moyen par lequel les gens ont cherché à justifier la nécessité de baptiser les enfants le plus tôt possible, mais la solution est elle-même discutable « . (74)

Il dit que les âges précédents « avaient mis au point » (pas reçu du Christ) l’enseignement de la nécessité de baptiser les enfants pour qu’ils aient la grâce sanctifiante. Il dit que cet enseignement est « peu éclairé » ! C’est une hérésie brute. Il a été infailliblement défini par les conciles de Florence et de Trente que le sacrement du baptême est nécessaire au salut, et que les enfants qui meurent sans le sacrement du baptême ne peuvent pas être sauvés.

Certains peuvent se demander pourquoi, alors, Ratzinger pratique le baptême des enfants ? C’est parce qu’il ne voit pas de problème à pratiquer en passant des gestes de quelque chose qui, pour lui, n’a pas de sens, ni but. De la même manière, il se présente comme «le pape», même s’il ne croit pas en la primauté de juridiction suprême des papes, comme cela a déjà été prouvé. De la même manière, il se présente comme le chef de l’Eglise de Jésus-Christ quand il ne croit même pas que Jésus-Christ est nécessairement le Messie, comme cela a déjà été prouvé.

IVI | Hérésies de Benoît XVI contre l’Ecriture Sacrée

L’Eglise catholique enseigne que la Sainte Écriture est la parole infaillible de Dieu. Le Concile Vatican I a également déclaré que toutes les choses dans la parole écrite de Dieu doivent être crues de foi divine et catholique.

Le pape Pie IX, Vatican I , sess. III, chap. 3, ex cathedra : «En outre, toutes ces choses qui sont contenues dans la parole écrite de Dieu et dans la tradition doivent être crues par la foi divine et catholique, et celles qui sont proposés par l’Église, soit dans une déclaration solennelle ou dans sa puissance d’enseignement ordinaire et universel, être crues comme divinement révélées ». (75)

MAIS BENOÎT XVI DIT QUE L’HISTOIRE des Écritures Saintes EST BASEE sur des récits PAÏENS de la création


Benoît XVI, 
un nouveau chant pour le Seigneur, 1995, p. 86 :  » Les récits païens de la création sur laquelle l’histoire biblique est en partie basée sans exception dans la mise en place d’un culte, mais le culte dans ce cas se situe dans le cycle du do ut des ». (76)

Si l’histoire biblique de la création dans le livre de la Genèse est basé en partie sur l’histoire  païenne de la création, cela signifie que le récit biblique n’est ni original ni directement inspiré par Dieu. Cette déclaration de Benoît XVI est une hérésie et montre à nouveau qu’il est un apostat infidèle.

Le pape Léon XIII, Providentissimus Deus (n° 20), 18 novembre 1893 : « Tous les livres que l’Eglise reçoit sacrés et canoniques, sont écrits entièrement et sans réserve, avec toutes leurs parties, sous la dictée de l’Esprit-Saint ; et à ce jour pas ce n’est pas possible que toute erreur puisse coexister avec l’inspiration, qui non seulement est essentiellement incompatible avec l’erreur, mais ne comprend pas et rejette comme absolument et nécessairement qu’il est impossible que Dieu Lui-même, la Vérité suprême, puisse prononcer ce qui n’est pas vrai. C’est l’antique et immuable foi de l’Église, solennellement définie dans les conciles de Florence et de Trente, et finalement confirmée et formulée plus expressément par le Conseil du Vatican « . (77)

BENOÎT XVI met en doute les tables de pierre de l’EXODE


Dans Exode 31, nous lisons que Dieu a donné à Moïse les deux tables de pierre écrites du doigt de Dieu.

Exode 31, 18 :  » Et le Seigneur, quand il eut achevé ces paroles sur la montagne du Sinaï, donna à Moïse deux tables de pierre du témoignage, écrites du doigt de Dieu. « 

Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, pp 165-166, 168 : «Q. … Si ces lois ont été vraiment remises par Dieu à Moïse quand il est apparu sur le mont Sinaï ?Comme des tablettes de pierre, sur lesquelles, comme il est dit, «le doigt de Dieu a écrit » ? … dans quelle mesure ces commandements sont vraiment censés venir de Dieu ? R. [p. 166] … Ce [Moïse] est l’homme qui a été touché par Dieu, et sur ​​la base de ce contact amical, il est en mesure de formuler la volonté de Dieu, dont seuls des fragments jusqu’ici avaient été exprimés dans d’autres traditions, d’une telle manière que nous entendons vraiment la parole de Dieu. Qu’elles étaient vraiment des tablettes de pierre est une autre question … [p. 168] Jusqu’où nous devrions prendre cette histoire est littéralement une autre question « . (78)

BENOÎT XVI enseigne que les paroles dans la Bible ne sont pas vraies

Benoît XVI, Dieu et le mond , 2000, p. 153 : «C’est autre chose de voir la Bible dans son ensemble comme la Parole de Dieu, dans laquelle tout se rapporte à tout le reste, et tout est décrit comme vous lisez. Il en résulte immédiatement que ni le critère d’inspiration, ni celui de l’infaillibilité ne peut être appliqué mécaniquement. C’est tout à fait impossible de choisir une seule phrase et de dire, de manière  droite, vous trouvez cette phrase dans le grand livre de Dieu, elle doit simplement être vraie en soi …  » (79)

 
BENOÎT XVI sur l’évolution 

Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, p. 76 :  » Q. Au début, la terre était nue et vide, Dieu n’avait pas encore fait pleuvoir, ce qui est dit dans la Genèse. Alors Dieu a façonné l’homme, et à cette fin il a pris «la poussière du champ et souffla dans ses narines un souffle de vie, l’homme est ainsi devenu une créature vivante – la réponse à la question est de savoir d’où venons-nous ? RJe pense que nous avons ici une image plus importante, qui présente une compréhension importante de ce qu’est l’homme. Cela suggère que l’homme est celui qui naît de la terre et de ses possibilités. Nous pouvons même lire dans cette représentation quelque chose comme l’évolution « . (80)

VII | Hérésies de Ratzinger avec le paganisme, et son

hérésie selon laquelle les fausses religions peuvent mener

au Ciel

BENOÎT XVI FAVORISE ENTIÈREMENT l’œcuménisme et le diable en adorant aux CÉRÉMONIES OECUMÉNIQUES à Assise

Nous avons déjà vu les rassemblements « œcuméniques » d’apostasie notoire de Jean-Paul II à Assise en 1986 où il a prié avec plus de 130 différents chefs religieux de toutes sortes de religions fausses et démoniaques, plaçant la vraie religion sur un pied d’égalité avec le culte des idoles. Cette activité est totalement condamnée par la Tradition catholique. Cela a été dénoncé comme une apostasie par le Pape Pie XI.

Eh bien, l’édition 2002 d’Assise, répétition de celle de 1986, a été décrite par Benoît XVI comme « un symbole de notre pèlerinage dans l’histoire … la réconciliation des peuples et des religions, une grande source d’inspiration …  » (81)

En 2006, Benoît XVI a également salué la rencontre de prière interreligieuse à Assise de 1986.

Benoît XVI, message, le 2 septembre 2006 :  » Cette année est le 20ème anniversaire de la rencontre interreligieuse de prière pour la paix, voulue par mon vénéré prédécesseur Jean-Paul II le 27 Octobre 1986 à Assise. Il est bien connu qu’il n’a pas seulement invité les chrétiens de diverses confessions à cette réunion, mais aussi les représentants des différentes religionsElle a constitué un message vibrant pour promouvoir la paix et un événement qui a laissé sa marque sur l’histoire de notre temps … attestation du fin lien qui existe entre le rapport avec Dieu et l’éthique de l’amour enregistré dans toutes les grandes traditions religieuses.

« Parmi les caractéristiques de la Réunion 1986, il convient de souligner cette valeur de la prière dans la construction de la paix témoignée par les représentants des différentes traditions religieuses, et cela ne s’est pas produit à distance, mais dans le cadre d’une réunion … Nous avons besoin de ce dialogue plus que jamais … Je suis donc heureux que les initiatives prévues à Assise cette année soient au long de ces lignes et, en particulier, que le Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux ait eu l’idée de les appliquer d’une manière spéciale pour les jeunes … Je profite volontiers de cette occasion pour saluer les représentants des autres religions qui prennent part à l’une ou l’autre des commémorations d’Assise. Comme nous chrétiens, ils savent que dans la prière, il est possible d’avoir une expérience particulière de Dieu et d’en tirer des incitations efficaces pour leur dévouement à la cause de la paix ». (82)

Benoît XVI est en faveur des rassemblements œcuméniques apostats d’Assise où Jean-Paul II a prié avec les dirigeants de toutes sortes de religions démoniaques et idolâtres – où Jean-Paul II avait retiré les crucifix des salles catholiques afin que les païens puissent adorer de faux dieux. Notez que Benoît XVI dit que les autres religions savent que la prière leur donne une expérience de Dieu. Cela signifie que leurs expériences religieuses, comme l’adoration de faux dieux dans la prière, sont vraies.

BENOÎT XVI critique comme « têtes brûlées » ceux qui ont détruit les temples païens


Benoît XVI, Dieu et le monde , 2000, p. 373 : « Il y avait en effet des têtes brûlées et des fanatiques qui ont détruit des temples, qui n’ont pas pu voir le paganisme comme rien de plus que l’idolâtrie chrétienne qui devait être radicalement éliminée » (83)

Ces «têtes brûlées» qu’il critique comprennent Saint François-Xavier, le grand missionnaire et Saint Benoît, le patriarche des moines !

Saint François-Xavier [en ce qui concerne les enfants païens qui s’étaient convertis à la foi catholique], 1543 :  » Ces enfants … montrent un amour ardent pour la loi divine, et un zèle extraordinaire pour notre sainte religion et les conférant à d’autres. Leur haine pour l’idolâtrie est merveilleuse. Ils entrent dans des querelles avec les païens à ce sujet … Les enfants courent vers les idoles, les dérangent, les tirent, les brisent en morceaux, crachent sur elles, marchent dessus, les expulsent, et entassent sur elles tous les outrages possibles ». (84)

Saint Benoît a renversé un autel païen et brûlé les plantations dédiées à Apollon quand il est arrivé au Mont-Cassin :

Le pape Pie XII, Fulgens Radiatur (n° 11), 21 Mars 1947 : «… il [Saint- Benoît] allait au sud et est arrivé à un fort appelé Cassino situé sur le flanc d’une haute montagne ; sur cette montagne se tenait un vieux temple où Apollon était adoré par les gens fous du pays, selon la coutume des anciens païens. Autour avaient grandi des bosquets, où même jusque-là la multitude des infidèles fous utilisaient pour offrir leurs sacrifices idolâtres. L’homme de Dieu venant à cet endroit a éclaté l’idole, renversa l’autel, brûla les idoles, et du temple d’Apollon a fait une chapelle de Saint-Martin. Où l’autel profane avait résisté, il a construit une chapelle de Saint-Jean. Et par la prédication continuelle il convertit beaucoup de gens aux environs.  » (85)

BENOÎT XVI NOUS DIT QUE LES RELIGIONS païennes et idolâtres SONT HAUTES ET PURES

 

Benoît XVI, sel de la terre, 1996, p. 23 : « Et nous pouvons également voir que dans le cosmos des religions indiennes (l’hindouisme est une désignation assez trompeuse pour une multiplicité de religions), il existe des formes très différentes : celles très élevées et pures qui sont marquées par l’idée de l’amour, mais aussi celles qui comprennent tout horrible assassinat rituel « . (86)

Il dit que les religions idolâtres sont élevées et pures. C’est une hérésie et l’apostasie.

1 Cor. 10, 20 : « … les choses que les païens sacrifient, ils sacrifient à des démons, et non à Dieu. »

Le pape Léon XIII, Ad Extremas (# 1), 24 Juin 1893 : « … le bienheureux apôtre Thomas qui est appelé à juste titre le fondateur de la prédication de l’Évangile aux hindous. Ensuite, il y a François-Xavier … Grâce à sa persévérance extraordinaire, il a converti des centaines de milliers d’hindous dans les mythes et les superstitions viles des brahmanes à la vraie religion ». (87)


Benoît XVI a un profond respect pour les FAUSSES confessions

Benoît XVI, Homélie du 10 septembre 2006 : «Nous ne manquons pas de montrer du respect pour les autres religions et cultures, nous ne manquons pas de profond respect pour leur foi …  » (88)

Notez que Benoît XVI ne respecte pas seulement les membres des fausses confessions, mais il montre un profond respect pour les fausses religions elles-mêmes! C’est l’apostasie. Cela signifie qu’il respecte le refus du Christ, le rejet de la papauté, l’approbation de la contraception et de l’avortement, etc (qui font tous partie de l’enseignement d’autres religions).

Le pape Léon XIII, Custodi di quella Fede (n° 15), 8 décembre 1892 : «Tout le monde doit éviter toute familiarité ou amitié avec toute personne soupçonnée d’appartenance à la maçonnerie ou à des groupes affiliés.Connaissez-les par leurs fruits et évitez-les. Chaque connaissance doit être évitée, non seulement avec ces libertins impies qui encouragent ouvertement le caractère de la secte, mais aussi avec ceux qui se cachent sous le masque de la tolérance universelle, du respect de toutes les religions …  » (89)

BENOÎT XVI DIT QUE LA PRÉSENCE DES FAUSSES RELIGIONS est une source d’enrichissement pour tous

Benoît XVI, Discours, le 28 novembre 2006 : « … Je suis certain que la liberté religieuse est une expression fondamentale de la liberté humaine et que la présence active des religions dans la société est une source de progrès et d’enrichissement pour tous.  » (90)

Cela signifie que les diverses fausses religions sont une source de progrès et d’enrichissement pour tous ! C’est l’apostasie.

Saint Pie X, Pascendi (n° 14), le 8 septembre 1907 : « [Selon les modernistes] C’est cette expérience qui, quand une personne l’acquiert, la fait correctement et véritablement croyante. Combien nous sommes loin ici de l’enseignement catholique, comme nous avons déjà vu dans le décret du Concile du Vatican. Nous verrons plus tard comment, avec de telles théories, ajoutées aux autres erreurs déjà mentionnées, la voie est grande ouverte à l’athéisme. Ici, il est bon de noter d’emblée que, compte tenu de cette doctrine de l’expérience unie à l’autre doctrine de symbolisme, toutes les religions, même celle du paganisme, doivent être tenues pour vraies. Qu’est-ce qui évite de telles expériences d’être réunies au sein de chaque religion ? En fait, elles se trouvent affirmées par de nombreux. Et avec ce droit, les modernistes nient la vérité d’une expérience confirmée par un adepte de l’Islam ? Avec ce droit, ils peuvent réclamer de vraies expériences pour les seuls catholiques ? En effet, les modernistes ne nient pas, mais en fait admettent, certains confusément, d’autres de la manière la plus ouverte, que toutes les religions sont vraies. Qu’ils ne peuvent pas se sentir n’indique clairement autre chose « . (91)

BENOÎT XVI NIE Hors de l’église POINT DE SALUT

Ce que nous avons vu jusqu’à présent prouve à maintes reprises que Benoît XVI rejette le dogme définissant Hors de l’Eglise catholique, point de salut. Benoît XVI estime que nous ne devrions même pas convertir les hérétiques et les schismatiques. Mais voici quelques autres exemples d’hérésies où Benoît XVI répond spécifiquement et nie ce dogme essentiel.

Benoît XVI REJETTE complètement Hors de l’église POINT DE SALUT

Benoît XVI, sel de la terre, 1996, p. 24 : « Q. Mais ne pourrions-nous pas accepter que quelqu’un puisse être sauvé par une autre foi que la catholique ? R. C’est une question tout à fait différente. Il est certainement possible pour quelqu’un de recevoir ses directives de religion qui l’aide à devenir une personne pure, qui également, si nous voulons utiliser le mot, l’aide à plaire à Dieu et atteindre le salut. Ce n’est pas du tout exclu par ce que j’ai dit, au contraire, ce qui se passe sans aucun doute sur une grande échelle». (92)

L’Église enseigne qu’il n’y a pas de salut en dehors de l’Eglise. Benoît XVI enseigne qu’il y a sans doute un salut hors de l’Eglise sur une grande échelle. Il s’agit d’un gros rejet du dogme Hors de l’Eglise point de salut.

BENOÎT XVI dit qu’il y a des SAINTS PAÏENS 

Benoît XVI, la vérité et la tolérance, 2004, p. 207 : « Le fait que, dans tous les âges qui ont été, sont encore des «saints païens» parce que partout et en tout temps – même si c’est souvent avec difficulté et de façon fragmentaire – le discours du «cœur» peut être entendu, parce la Torah de Dieu peut être entendue en nous-mêmes …  » (93)

C’est une grosse hérésie. Rappelez-vous, le pape Eugène IV a infailliblement défini que tous ceux qui meurent comme «païens» ne sont pas sauvés.

Pape Eugène IV, Concile de Florenceex cathedra : «… tous ceux qui sont en dehors de l’Église catholique, non seulement les païens, mais aussi juifs ou hérétiques et schismatiques, ne peuvent pas partager la vie éternelle …  » (94)

BENOÎT XVI enseigne qu’il y a d’autres FAÇONS d’aller AU CIEL AUTRES QUE LA FOI CHRÉTIENNE

Benoît XVI, Co-travailleurs de la Vérité, 1990, p. 217 : « La question qui nous intéresse vraiment, la question qui nous opprime vraiment, c’est pourquoi il est nécessaire pour nous en particulier de pratiquer la foi chrétienne dans sa totalité, pourquoi, quand il y a tellement d’autres voies qui mènent au ciel et le salut, il devrait être exigé de nous de porter jour après jour tout le fardeau des dogmes ecclésiastiques et de l’ethos ecclésiale. Et si nous revenions à la question : Qu’est-ce que la réalité chrétienne ? Quel est l’élément spécifique qui se justifie simplement dans le christianisme, mais est obligatoirement nécessaire pour nous ? Lorsque nous soulevons la question sur le fondement et le sens de notre existence chrétienne, il se glisse un certain penchant pour la fausse vie apparemment plus à l’aise d’autres personnes qui également vont au ciel. Nous sommes trop comme les ouvriers de la première heure dans la parabole des ouvriers de la vigne (Mt 20, 1-16). Une fois qu’ils ont découvert qu’ils auraient pu gagner le salaire d’un denier pour leur journée d’une manière beaucoup plus facile, ils ne pouvent pas comprendre pourquoi ils ont fait appel au travail toute la journée. Mais ce qui est une attitude étrange c’est de trouver les fonctions de notre vie chrétienne ingrate juste parce que le denier du salut peut être acquis sans lui ! Il semblerait que nous – comme les travailleurs de la première heure – voulons être payés non seulement avec notre propre salut, mais plus particulièrement du manque de salut des autres.C’est à la fois très humain et profondément anti-chrétien ». (95)

Benoît XVI demande : Pourquoi est-il nécessaire de pratiquer la foi chrétienne si il y a d’autres voies de salut ? Benoît XVI répond à la question en admettant qu’il y a beaucoup de moyens autres que la foi chrétienne qui mènent au salut. Il critique même des gens pour poser une telle question.

Benoît XVI a carrément rejeté une vérité révélée de la foi catholique : Jésus-Christ est le seul chemin vers le salut, et la foi catholique est nécessaire pour le salut.

Le pape Léon XII, Ubi Primum (n° 14), 5 mai 1824 : « … par la foi divine nous tenons un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, et qu’aucun autre nom sous le ciel n’est donné aux hommes, sauf le nom de Jésus-Christ dans lequel nous devions être sauvés. C’est pourquoi nous professons qu’il n’y a pas de salut hors de l’Église ». (96)

BENOÎT XVI enseigne que tous les religions peuvent conduire à Dieu

Benoît XVI, sel de la terre, 1996, p. 29 : « … dans toutes les religions il y a des hommes de pureté intérieure qui, par leurs mythes en quelque sorte touchent le grand mystère et trouvent la bonne façon d’être humain ». (97)

C’est totalement hérétique.

VIII | Diverses Hérésies de Ratzinger contre les dogmes et la

tradition catholique

BENOÎT XVI insulte LE DECRET DU CONCILE de TRENTE sur l’Eucharistie


Benoît XVI, 
Fête de la Foi, 1981, p. 130 :  » Le Concile de Trente conclut ses remarques sur Corpus Christi avec quelque chose qui choque nos oreilles œcuméniques et a sans doute contribué, pas un peu, à discréditer cette fête de l’avis de nos frères protestants. Mais si nous purgeons sa formulation du ton passionné du XVIe siècle, nous serons surpris par quelque chose de grand et positif « . (98)

Benoît XVI dit que la déclaration infaillible du Concile de Trente «offense» ses oreilles œcuméniques et que sa «formulation» doit être «purgée», ce qui signifie nettoyer ou débarrasser d’éléments indésirables ! Ceci est totalement hérétique.

BENOÎT XVI dit que la doctrine de TRENTE sur le sacerdoce était faible et désastreuse dans ses effets

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), pp 247-248 : « … [En parlant des protestants contre des vues catholiques de la prêtrise] Le Concile de Trente n’a pas cherché ici un traitement complet de ce problème dans son ensemble. Là réside la faiblesse du texte qu’il a promulgué, dont l’effet est d’autant plus catastrophique …  » (99)

BENOÎT XVI blasphème TOTALEMENT La Tradition de l’Église

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), p. 100 : «… le problème de la tradition telle qu’elle existe dans l’Eglise … L’Eglise est la tradition … en ce qui – admettons – beaucoup de pseudo-tradition humaine a trouvé son chemin, si bien, en fait, que même précisément, l’Église a contribué à la crise générale de la tradition qui afflige l’humanité». (100)

C’est une répudiation de l’une des deux sources de la Révélation, la Tradition sacrée.

Le pape Pie IX, Vatican I , ex-cathedra : «… toutes ces choses doivent être crues qui sont contenues dans la parole écrite de Dieu et dans la tradition …  » (101)

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, 1982, p. 378 :  » Chaque Concile valide dans l’histoire de l’Eglise n’a été un Concile fécond, en dernière analyse, beaucoup d’entre eux ont été juste une perte de temps.  » (102)

BENOÎT XVI ENSEIGNE QUE LE TERME « péché originel » est faux

Benoît XVI, au début, 1986, p. 72 : «… «La théologie du péché originel se réfère à cet état ​​de choses par un terme certainement trompeur et imprécis. » (103)

Le Concile de Trente a promulgué un «décret sur le péché originel» infaillible, dans lequel il a utilisé le terme «péché originel», pas moins de quatre fois. (104)

BENOÎT XVI CRITIQUE LE CREDO DES APÔTRES

Benoît XVI, Introduction au christianisme, 2004, p. 326 : « … Peut-être faut-il admettre que la tendance à un tel faux développement, qui ne voit que les dangers de la responsabilité et non plus la liberté de l’amour, est déjà présente dans le Credo [apôtres] … » (105)

BENOÎT XVI ADMET que Vatican II a changé ou REJETÉ le dogme catholique

BENOÎT XVI RECONNAIT sans ambages que VATICAN II contredit l’enseignement infaillible du pape Pie IX SUR LIBERTÉ RELIGIEUSE ET LES FAUSSES RELIGIONS 


Benoît XVI, 
les principes de la théologie catholique, 1982, p. 381 :  » S’il est souhaitable de proposer un diagnostic du texte [du document de Vatican II, Gaudium et Spes] dans son ensemble, on peut dire que (en conjonction avec les textes sur la liberté religieuse et les religions du monde), il s’agit d’une révision du Syllabus de Pie IX ,une sorte de contre programme … En conséquence, l’unilatéralité de la position adoptée par l’Eglise sous Pie IX et Pie X en réponse à la situation créée par la nouvelle phase de l’histoire inaugurée par la Révolution Française, a été, dans une large mesure, corrigée …  » (106)

Benoît XVI ne pouvait pas être plus formellement hérétique. Il admet que l’enseignement de Vatican II (auquel il adhère à), condamné par le pape Pie IX dans le Syllabus, est directement contraire à l’enseignement du Magistère. Nous avons montré que l’enseignement de Vatican II sur la liberté religieuse contredit la doctrine catholique traditionnelle. Benoît XVI vient d’admettre qu’il le fait. On ne peut guère demander plus de confirmation selon laquelle l’enseignement de Vatican II est hérétique. Dans son livre, Benoît XVI le répète encore et encore, appelant l’enseignement de Vatican II « le contre-syllabus, » et en disant qu’il ne peut y avoir de retour au Syllabus.

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, 1982, p. 385 : «Par une sorte de nécessité intérieure, par conséquent, l’optimisme d’un contre-syllabus céda d’un nouveau cri qui était beaucoup plus intense et plus dramatique que le précédent  » (107)

Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, 1982, p. 391 : «La tâche n’est pas, par conséquent, de supprimer le Concile, mais de découvrir le vrai Concile et d’approfondir sa véritable intention, à la lumière de l’expérience actuelle. Cela signifie qu’il ne peut y avoir de retour au Syllabus, qui pourrait avoir marqué le première étape dans la confrontation avec le libéralisme et le marxisme nouvellement conçus, mais ne peut pas être la dernière étape.  » (108)

C’est une hérésie incroyable !

BENOÎT XVI RECONNAIT que la secte Vatican II a abandonné l’INTERDICTION TRADITIONNELLE DE CRÉMATION DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE


Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, p. 436 : «Q. Est-il permis d’avoir des cadavres incinérés, ou est-ce juste un rituel païen ? R. … Jusqu’au Concile Vatican II, la crémation était l’objet de sanctions. Compte tenu de toutes les circonstances du monde moderne, l’Église a abandonné cela.  » (109)

La loi traditionnelle de l’Église condamne la crémation et interdit la sépulture ecclésiastique à ceux qui la demande.

Hérésies de Benoît XVI contre l’Eglise

BENOÎT XVI DIT QUE l’enseignement de l’Église N’EXCLUT PAS CEUX QUI TIENNENT des points de vue opposés


Benoît XVI, les principes de la théologie catholique (1982), p. 229 : «La déclaration de la Congrégation … propose de répondre à la crise par une présentation positive particulière de ces points de doctrine de l’Église qui sont en litige et d’établir l’identité du catholicisme, non pas par l’exclusion de ceux qui ont des opinions opposées … » (110)

C’est manifestement hérétique.

Pape Eugène IV, Concile de Florence, 1441 : «C’est pourquoi la Sainte Eglise romaine condamne, réprouve, anathematise et déclare être à l’extérieur du corps du Christ, qui est l’Église, celui qui tient une position adverse ou des opinions contraires.  » (111)

BENOÎT XVI enseigne que «l’église» EXISTE à l’extérieur de l’église


Benoît XVI, 
Co-travailleurs de la Vérité, 1990, p. 29 : «… il ne peut ni ne doit y avoir tout désaveu de la présence du Christ et des valeurs chrétiennes entre chrétiens séparés … la théologie catholique doit indiquer plus clairement que jamais que, avec la présence réelle en dehors de ses frontières, l’Eglise est également présente, sous une forme ou une autre …  » (112)

Benoît XVI affirme que l’Eglise elle-même existe en dehors de l’Eglise. C’est le non-sens hérétique qui nie qu’il y ait une seule Eglise.

Credo de Nicée-Constantinople, 381, ex cathedra : « Nous croyons en … l’Eglise une sainte catholique et apostolique » (113)

BENOÎT XVI REJETTE TOTALEMENT L’UNITÉ DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE


L’unité ou l’unité de l’Eglise catholique est un dogme très important. C’est l’une des quatre marques de l’Eglise, comme dans une, sainte, catholique et apostolique. Lorsque les hérétiques forment des sectes, ils ne se cassent pas l’unité de l’Église catholique, car l’unité de l’Église ne peut être rompue. Ils ont tout simplement quitté l’église catholique.

Le pape Léon XIII, Satis Cognitum (n° 4), 29 juin 1896 :  » L’Église à l’égard de son unité appartient à la catégorie des choses indivisibles par nature …  » (114)

Le pape Léon XIII, Satis Cognitum (n° 5) : «…  Cette unité ne peut pas être rompue, ni un corps divisé par la séparation de ses parties constituantes ». (115)

AUTRES HERESIES de Benoît XVI

BENOÎT XVI DIT QUE JUDAS pourrait ne pas être EN ENFER

Benoît XVI, le 18 octobre 2006 : « Cela pose deux questions quand il s’agit d’expliquer ce qui s’est passé [Judas]. La première consiste à se demander comment il était possible que Jésus ait choisi cet homme et lui fasse confiance. En fait, bien que Judas est l’administrateur du groupe (cf. Jean 12, 6 b ; 13, 29 a), en réalité, il est aussi appelé «voleur» (Jean 12, 6 a). Le mystère du choix est encore plus grand, pour que Jésus prononce un jugement très sévère sur lui : «Malheur à l’homme par qui le fils de l’homme est livré» (Matthieu 26, 24). Ce mystère est encore plus profond si l’on pense à son destin éternelsachant que Judas « se repentit et ramena les 30 pièces d’argent aux chefs des prêtres et aux anciens », en disant : « J’ai péché en livrant un sang innocent » (Matthieu 27, 3-4). Même s’il les a quitté par la suite pour se pendre (cf. Matthieu 27, 5), ce n’est pas à nous de juger son geste, en nous mettant à la place de Dieu, qui est infiniment miséricordieux et juste ». (116)

Ces paroles de Benoît XVI indiquent qu’il tient que Judas ne serait pas en enfer. C’est un déni de l’Évangile. Si Judas n’est pas en enfer (comme Benoît XVI indique que ce soit possible), alors les paroles de Notre Seigneur dans Matthieu 26, 24 (citées ci-dessous) seraient fausses.

«Malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme doit être livré : il vaudrait mieux pour lui, que cet homme ne soit pas né » (Matthieu 26, 24).

Si Judas n’est pas allé en enfer, alors il est allé au purgatoire ou au paradis. Dans ce cas, Notre-Seigneur (Dieu omniscient) n’aurait pas pu dire qu’il valait mieux pour Judas de ne pas être né. C’est très clair et très simple, mais ces vérités simples de la foi catholique sont toutes jetées par la fenêtre par la secte non-catholique Vatican II.

Il est assez intéressant de noter que, dans ce discours, Benoît XVI cite la première partie de Matthieu 26, 24 («Malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré !»), mais pas la dernière partie (« il vaudrait mieux pour lui que cet homme ne soit pas né »). Vous pouvez voir son omission de cette partie critique du passage dans la citation ci-dessus. C’est l’exemple frappant d’un hérétique qui découpe la partie de l’Evangile qu’il n’aime pas ou est sur ​​le point de refuser !

Ce qui réfute plus l’antipape Benoît XVI est le fait que Notre Seigneur dit aussi que Judas est «perdu» et le «fils de perdition», qui signifie «le fils de la damnation». Judas a fini sa vie dans le péché mortel de suicide sans appel.

Jean 17, 12 :  » Aucun d’entre eux n’est perdu, sinon le fils de perdition, afin que l’Écriture fût accomplie. « 

L’Eglise catholique a toujours soutenu que Judas est allé en enfer, sur la base des termes clairs de Notre Seigneur.

Saint Alphonse, préparation à la mort, p. 127 :  » Mauvais Judas ! Voici 1700 années se sont écoulées depuis qu’il a été en enfer et son enfer est encore à ses débuts.  » (117)

Mais tout comme les autres dogmes définis sur le salut, même les mots et les messages les plus clairs de l’Évangile sont refusés par le non-catholique, manifestement hérétique de la secte Vatican II et ses antipapes.

Saint Pie X, Pascendi (n° 3), le 8 septembre 1907 : « En outre, ils [les modernistes] ne se contentent pas de hacher les branches et les pousses, mais la racine même, qui est la foi et ses fibres les plus profondes. Et une fois qu’ils ont frappé cette racine de l’immortalité, ils procèdent à diffuser le poison à travers la totalité de l’arbre, de sorte qu’il n’y a pas de partie de la vérité catholique qu’ils laissent intacte, aucune qu’ils ne cherchent pas à corrompre ». (118)

BENOÎT XVI RESPECTE LE CHEMIN DE HANS KUNG QUI NIE JÉSUS-CHRIST !

Pour ceux qui ne le connaissent pas, Hans Kung nie l’infaillibilité papale et la divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ, entre autres choses.

Hans Kung

 
Hans Kung peut être correctement décrit comme un arien, car il nie que Notre-Seigneur soit de la même substance que le Père.

Benoît XVI, sel de la terre, 1996, pp 95-96 : « Q. Et sur ​​le chemin de Hans Kung ? Je veux dire, il espère maintenant une réhabilitation. R. … il [Hans Kung] n’a rien repris de sa contestation de la fonction papale, en effet, il a encore radicalisé ses positions. Dans la christologie et la théologie trinitaire, il a également pris ses distances avec la foi de l’Église. Je respecte son chemin, qu’il prend en accord avec sa conscience, mais il ne doit pas alors exiger le sceau de l’Eglise de l’approbation mais doit admettre les questions essentielles pour lesquelles il en est venu à des décisions différentes très personnelles de lui-même ». (119)

Benoît XVI ne se contente pas de dire qu’il respecte Hans Kung, ce qui serait assez mauvais, il dit qu’il respecte son chemin – c’est le refus de Jésus-Christ ! C’est l’apostasie totale.

BENOÎT XVI nie la résurrection de la chair


La résurrection du corps est un dogme très important. En plus d’être une partie du Credo des Apôtres, ce dogme a été défini plus que n’importe quel autre dogme de la foi.

Le pape Grégoire X, Concile de Lyon, 1274, ex cathedra : «La même très sainte Église romaine croit et déclare fermement que, néanmoins, le jour du jugement, tous les hommes seront réunis avec leur corps devant le tribunal du Christ pour rendre un compte de leurs propres actes ». (120)

Le pape Innocent III, 1215, ex cathedra : «… qui tous ressusciteront avec leurs corps qu’ils ont maintenant …  » (121)

Le pape Benoît XII, 1336, ex-cathedra : «… tous les hommes avec leur corps se tiendront prêts à rendre compte de leurs propres actes …  » (122)

Benoît XVI refuse ouvertement ce dogme et prouve encore une fois qu’il est un hérétique manifeste.

Benoît XVI, Introduction au christianisme, 2004, p. 349 :  » Il devient clair que le véritable cœur de la foi dans la résurrection ne consiste pas du tout dans l’idée de la restauration des corps, à laquelle nous avons réduit notre pensée ; tel est le cas, même si c’est l’image picturale utilisée tout au long de la Bible ». (123)

Benoît XVI, Introduction au christianisme, p. 353 : « Les réflexions qui précèdent peuvent avoir clarifié dans une certaine mesure ce qui est impliqué dans les déclarations bibliques sur la résurrection : leur contenu essentiel n’est pas la conception d’une restauration des corps avec les âmes après un long intervalle …  » (124)

Benoît XVI, Introduction au christianisme, 2004, pp 357-358 : «En résumé, Paul n’enseigne pas la résurrection des corps physiques, mais la résurrection de personnes …  » (125)

Nous pouvons voir que Benoît XVI refuse ce dogme dans son livre Introduction au christianisme (comme cité ci-dessus) en enseignant que saint Paul n’a pas enseigné la résurrection des corps physiques, et que la résurrection ne consiste pas en la restauration du corps. C’est une hérésie stupéfiante.

VIII | Hérésies de Ratzinger sur la fausse liberté religieuse

 

La liberté religieuse au sens catholique désigne la liberté de pouvoir pratiquer la vraie religion. Pour Ratzinger et autres traîtres modernistes, cette expression désigne la licence de pouvoir choisir entre la vraie religion et toutes les fausses croyances. Cette interprétation est bien entendu condamnée par l’Eglise, et entièrement hérétique.

BENOÎT XVI affirme qu’il est important que chaque personne puisse appartenir à la religion de son CHOIX

Benoît XVI, adresse, le 18 mai 2006 : «De même, la paix s’enracine dans le respect de la liberté religieuse, qui est un aspect fondamental et primordial de la liberté de conscience des personnes et la liberté des peuples. Il est important que, partout dans le monde chaque personne puisse appartenir à la religion de son choix et pratiquer librement sans crainte, car nul ne peut fonder sa vie sur la quête de l’être matériel seul». (126)

Selon Benoît XVI, il est important que chaque personne puisse appartenir à la religion de son choix. C’est plus que l’indifférentisme religieux. Benoît XVI explique alors sa raison de dire ceci : « car personne ne peut fonder sa vie sur la quête de l’être matériel seul»En d’autres termes, la vie est plus que l’être matériel, elle est une réalité spirituelle, il est donc important d’adopter une religion – la religion de votre choix ! C’est un apostat.

BENOÎT XVI prononce PLUS d’hérésies sur la LIBERTÉ RELIGIEUSE, en contradiction directe avec l’enseignement dogmatique du pape Pie IX

Benoît XVI, Discours à lambassadeur d’Espagne, le 20 mai 2006 : « L’Eglise insiste également sur ​​le droit inaliénable des personnes à professer leur propre foi religieuse sans entrave, à la fois publiquement et en privé, ainsi que le droit des parents pour leurs enfants de recevoir une éducation conforme à leurs valeurs et leurs croyances, sans discrimination explicite ou implicite « . (127)

C’est précisément le contraire de l’enseignement infaillible de l’Église catholique. L’Eglise condamne la chose même qu’il dit selon laquelle l’Eglise insiste ! Voyez vous-même comment est clairement opposé l’enseignement de Benoît XVI à l’enseignement dogmatique du pape Pie IX. Remarquez en particulier la partie soulignée, et comparez la à l’enseignement de Benoît XVI :

Le pape Pie IX, Quanta Cura (s ‘# 3-6), 8 déc 1864, ex cathedra : «Totalement fausse est l’idée de gouvernement social qu’ils ne craingnent pas de favoriser, cette opinion erronée, la plus fatale dans ses effets sur l’Église catholique et le salut des âmes, appelée par Notre prédécesseur, Grégoire XVI, une folie, à savoir que «la liberté de conscience et de culte est le droit personnel de chaque homme, qui doit être légalement proclamé et affirmé A RAISON dans toute société CONSTITUEE, et qu’un droit réside chez les citoyens à une liberté absolue, qui ne devrait être retenu par aucune autorité ecclésiastique ou civile si, par lequel ils peuvent être en mesure ouvertement et publiquement de manifester et de déclarer QUOI QUE CE SOIT de leurs idées, de bouche à oreille, par la presse, OU DE TOUTE AUTRE MANIERE. Mais alors qu’ils l’affirment imprudemment, ils ne comprennent pas et notent qu’ils prêchent la liberté de perdition … Par conséquent, PAR NOTRE POUVOIR APOSTOLIQUE, NOUS réprouvons, proscrivons, et condamnons toutes les opinions et les doctrines singulières et MAUVAISES d’une mention spéciale dans cette lettre, ET VOULONS ET COMMANDONS qu’elles soient tenues par tous les enfants de l’Eglise catholique comme réprouvées, proscrites et condamnées « . (128)

Benoît XVI vs l’enseignement catholique ex cathedra :

L’Eglise insiste également sur le droit inaliénable des personnes à professer leur propre foi religieuse sans entrave, à la fois publiquement et en privé. … Qu’un droit réside chez les citoyens … PAR LEQUEL ILS PEUVENT ÊTRE CAPABLE ouvertement et publiquement de manifester et de déclarer QUOI QUE SOIT de leurs idées … , PAR NOTRE POUVOIR APOSTOLIQUE, NOUS réprouvons, proscrivons, et condamnons [une telle opinion mauvaise]

 

 

IX | Hérésie de Benoît XVI sur le faux oeucuménisme

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442,ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu’aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Extraits du message de Benoît XVI à l’occasion du vingtième anniversaire de la Rencontre interreligieuse de prière pour la paix (Assise, 4-5 septembre 1986)
Cette année, on célèbre le vingtième anniversaire de la rencontre interreligieuse de prière pour la paix, voulue par mon vénéré prédécesseur, Jean-Paul II, le 27 octobre 1986, dans cette cité d’Assise. À une telle rencontre, on le sait, il convia non seulement les chrétiens de diverses confessions, mais aussi des représentants des différentes religions. 

L’initiative eut un large écho dans l’opinion publique : elle constitua un message vibrant en faveur de la paix et se révéla un événement destiné à laisser un signe dans l’histoire de notre temps. Il est alors compréhensible que le souvenir d’un tel événement continue de susciter des initiatives de réflexion et d’engagement. Plusieurs sont déjà prévus justement à Assise, à l’occasion du vingtième anniversaire de cet événement. Je pense à la célébration organisée par la communauté de Sant’Egidio, en accord avec le diocèse, comme chaque année. A l’occasion de cet anniversaire, un congrès se tiendra ensuite sous l’égide de l’Institut de théologie d’Assise, et les Églises particulières de la région se retrouveront au cours de l’eucharistie concélébrée par les évêques d’Ombrie dans la basilique SaintFrançois. Enfin, le conseil pontifical pour le dialogue interreligieux animera une rencontre de dialogue, de prière et de formation à la paix destinée aux jeunes catholiques et d’autres religions. 

Ces initiatives, chacune avec sa dimension propre, mettent en évidence la valeur de l’intuition qu’a eue Jean-Paul II et en montrent l’actualité à la lumière des événements qui ont eu lieu ces vingt dernières années, et de la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui l’humanité.
(…) Ce fut, à l’époque, un moment d’espérance générale de paix, qui a conduit beaucoup à rêver d’un monde différent, dans lequel les relations entre les peuples se développeraient à l’abri du cauchemar de la guerre, et où le processus de « mondialisation » se serait placé sous le signe d’une confrontation pacifique entre les peuples et la culture, dans le cadre d’un droit international partagé, inspiré par le respect de l’exigence de la vérité, de la justice, de la solidarité.
Malheureusement, ce rêve de paix ne s’est pas réalisé. Le troisième millénaire s’est au contraire ouvert sur des épisodes de terrorisme et de violence qui ne paraissent pas devoir disparaître. Le fait que les confrontations armées se développent, aujourd’hui surtout, sur fond de tensions géopolitiques dans beaucoup de régions, peut donner l’impression que, non seulement les diversités culturelles, mais aussi les différences religieuses constituent des motifs d’instabilité ou de menaces pour les perspectives de paix.
Justement, et sous cet angle, l’initiative promue il y a déjà vingt ans par Jean-Paul II prend le caractère d’une prophétie d’actualité. Son invitation aux leaders des religions du monde, pour un témoignage commun de paix, a permis de mettre en lumière, sans équivoque possible, que 
la religion ne peut être que porteuse de paix. Comme le concile Vatican II l’a enseigné dans la déclaration Nostra Aetate sur les relations de l’Église avec les religions non chrétiennes, « Nous ne pouvons invoquer Dieu, Père de tous les hommes, si nous refusons de nous conduire fraternellement envers certains des hommes créés à l’image de Dieu » (n° 5).

Malgré les différences qui caractérisent les divers chemins religieux, la reconnaissance de l’existence de Dieu, à qui les hommes peuvent parvenir seulement à partir de l’expérience de la création, ne peut pas ne pas disposer les croyants à considérer les autres êtres humains comme des frères. Il n’est donc permis à personne de prendre argument de la différence religieuse comme présupposé ou prétexte à une attitude belliqueuse à l’égard d’autres êtres humains. On pourra objecter que l’histoire connaît le triste phénomène des guerres de religion. Nous savons cependant que de telles manifestations de violence ne peuvent être attribuées à la religion en tant que telle, mais aux limites culturelles avec lesquelles elle est vécue et se développe dans le temps. (…) La rencontre promue à Assise par le serviteur de Dieu Jean-Paul II a mis opportunément l’accent sur les valeurs de la prière dans la construction de la paix.

Nous sommes conscients, en fait, de l’ampleur de la difficulté du chemin vers ce bien fondamental et nous sommes parfois humainement désespérés. La paix est une valeur dans laquelle entrent tellement d’éléments. Pour la construire, les moyens culturels, politiques, économiques sont certainement importants. En premier lieu cependant, la paix doit être construite dans les cœurs. Là en effet, se développent les sentiments qui peuvent l’alimenter, ou, au contraire, la menacer, l’affaiblir, l’étouffer. Le cœur de l’homme est ainsi le lieu des interventions de Dieu. Par conséquent, à côté de la dimension horizontale des rapports entre les hommes sur ce sujet, la dimension verticale du rapport de chacun avec Dieu, dans lequel tout trouve son origine, se révèle également d’une importance fondamentale. C’est précisément cela que le pape Jean-Paul II a voulu rappeler avec force au monde avec l’initiative de 1986. Il a voulu demander une prière authentique, qui englobe l’existence entière. Il a voulu que cette prière soit accompagnée du jeûne et exprimée par un pèlerinage, symbole du chemin entrepris vers Dieu. Et il a expliqué : « La prière comporte de notre part la conversiondu cœur » (Enseignements de Jean-Paul II, 1986, vol. II, p. 1253).

Entre les divers aspects importants de la rencontre de 1986, il faut souligner que cette valeur de la prière dans la construction de la paix fut attestée par les représentants des diverses traditions religieuses, et cela eut lieu non pas à distance, mais dans le contexte d’une rencontre. De cette manière, les priants des diverses religions purent montrer, avec le langage du témoignage, comment la prière ne divise pas mais unit, et constitue un élément déterminant pour une pédagogie efficace de la paix, centrée sur l’amitié, l’accueil réciproque, le dialogue entre les hommes de diverses cultures et diverses religions. De cette pédagogie nous avons plus que jamais besoin, spécialement en ce qui concerne les nouvelles générations. Tant de jeunes, dans les zones du monde marquées par le conflit, sont éduqués aux sentiments de haine et de vengeance, à l’intérieur d’un contexte idéologique dans lequel se cultivent les semences d’antiques rancœurs et où les esprits se préparent aux violences futures.

Il faut abattre de telles barrières et favoriser la rencontre. C’est pourquoi je suis heureux que les initiatives programmées cette année à Assise aillent dans cette direction et que le conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, en particulier, ait pensé à en proposer une application destinéeaux jeunes. (…) 

J’adresse à tous un salut affectueux, avec ma bénédiction, qu’accompagnent le souhait et la prière du Poverello d’Assise : « Que le Seigneur vous donne sa paix ! » 

Discours du Cardinal Koch (pseudo- cardinal sous la responsabilité de Benoît 16)

« Il n’est donc pas question de remplacer le Yom Kippour juif par la croix du Christ, même si les chrétiens voient dans la croix ‘le Yom Kippour permanent et universel ». Cardinal Koch, à propos de la journée d’Assise 2011 (27 octobre), appelé personnellement par Benoît 16 à être président du conseil pontifical pour l’unité des chrétiens et du dialogue avec le judaïsme. C’est l’un des cardinaux de curie les plus proches du point de vue de Benoit 16.

Voilà un exemple de l’oecuménisme apostat de vatican 2.

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février1442 ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Les juifs, comme les autres religions fausses ont a se convertir à la foi catholique pour se sauver et non pas à demeurer dans la négation du Christ Rédempteur. S’ils persistent dans la religion du diable après la Rédemption, ils n’ont pas à recevoir d’éloges sur leur pratique, mais à être exhorter.

X | Ratzinger et ses prises de positions déviantes sur à

propos des préservatifs

Dans « Lumière du monde » Benoît XVI admet l’utilisation du préservatif « dans certains cas »« pour réduire les risques de contamination » par le virus du sida. 

À la question « l’Église catholique n’est-elle pas fondamentalement contre l’utilisation de préservatifs ? », il répond, selon la version originale allemande :« Dans certains cas, quand l’intention est de réduire le risque de contamination, cela peut quand même être un premier pas pour ouvrir la voie à une sexualité plus humaine, vécue autrement. » 

Benoit 16 donne l’exemple d’un « homme prostitué » (texte original allemand et versions anglaise et française, tandis qu’un extrait en italien cité par le quotidien du Vatican évoque une prostituée). Il considère, dans ce cas précis, que cela peut être « un premier pas vers une moralisation, un début de responsabilité permettant de prendre à nouveau conscience que tout n’est pas permis et que l’on ne peut pas faire tout ce que l’on veut ». Précisant : « Ce n’est pas la façon à proprement parler de venir à bout du mal de l’infection du VIH. La bonne réponse réside forcément dans l’humanisation de la sexualité. » 

Lumière du Monde, publié mardi 23 novembre 2010 en versions allemande et italienne et, le 3 décembre, en version française aux éditions Bayard Presse.

Il est à noter également que Ratzinger est suspecté d’être un pervers inverti (un sodomite), selon le livre de Randy Engel « Le rite de la sodomie ».

XI | Conclusion sur les hérésies de Ratzinger


Benoît XVI est un hérétique manifeste. Nous l’avons prouvé sans aucun doute. Il enseigne que Notre Seigneur peut ne pas être le Messie ; que l’Ancienne Alliance est valide ; que les Juifs et d’autres peuvent être sauvés sans croire en Christ, que les schismatiques et les protestants n’ont pas besoin de conversion ; que les non-catholiques ne sont pas tenus d’accepter Vatican I ; que des monastères protestants doivent être constitués ; que le protestantisme n’est même pas une hérésie, que la messe est valide sans paroles de consécration, que le baptême des enfants n’a pas de but ; que l’Écriture est remplie de mythes, que la fausse religion de l’Islam est noble ; que les religions païennes sont hautes ; que le salut peut être fait en dehors de l’Église ; que les dogmes catholiques doivent être purgés, que Vatican II a rejeté la doctrine catholique sur la liberté religieuse ; qu’il n’existe pas l’unité de l’Église, et que la résurrection du corps ne se produira pas, 
pour n’en nommer que quelques-unes.

Comme c’est un hérétique, il n’aurait pas pu être un pape validement élu. Comme déjà cité, le pape Paul IV a solennellement enseigné dans sa Bulle, Cum ex Apostolatus officio du 15 février 1559, qu’il est impossible pour un hérétique d’être élu validement pape.

Par conséquent, selon l’enseignement de l’Eglise catholique, Benoît XVI n’est pas un pape, mais un antipape non catholique que les catholiques doivent rejeter complètement. Il préside la nouvelle religion de Vatican 2, un catholicisme de contrefaçon qui a abandonné les traditions et les dogmes de l’Église catholique.

Le rôle principal de cet antipape fut de rallier la FSSPX à la secte conciliare, ce qui, finalement, échoua.

Il renonça donc finalement à son pseudo-pontificat le 11 février 2013 en la fête de Notre-Dame de Lourdes. Ce même jour, un éclair vint frapper la basilique Saint-Pierre du Vatican. Ainsi, les prières des fidèles conservateurs de la FSSPX ont finalement trouvé grâce auprès de Marie, et cet antipape a été remplacé par un navet (François 0). Néanmoins tant que la FSSPX n’aura pas abandonné ses positions erronées, elle continuera à s’exposer aux pièges de l’ennemi.

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(1) Les décrets des conciles œcuméniques, Sheed & Ward et Georgetown University Press, 1990, Vol. 1, pp 550-553; Denzinger, Les sources du dogme catholique, B. Herder livre. Co., trentième édition, 1957, no. 39-40.

(2) Denzinger 712.

(3) http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/pcb_documents/rc_con_cfaith_doc_20020212_popolo-ebraico_en.html

(4) http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/pcb_documents/rc_con_cfaith_doc_20020212_popolo-ebraico_en.html

(5) Benoît XVI, Dieu et le monde, San Francisco, CA: Ignatius Press, 2000, p. 209.

(6) Benoît XVI, Jalons, Ignatius Press, 1998, pp 53-54.

(7) Zenit.org, nouvelles pour le 5 septembre 2000.

(8) Benoît XVI, Dieu et le monde, p. 209.

(9) Les sermons du dimanche des Grands Pères, Regnery, Co: Chicago, IL, 1963, vol.III, p. 223.

(10) Photos de Synagogue: European Jewish Press, http://www.ejpress.org

(11) Les décrets des conciles œcuméniques, vol. 1, p. 578; Denzinger 714.

(12) L’Osservatore Romano (le journal du Vatican), le 25 janv., 2006, p. 2.

(13) L’Osservatore Romano, le 24 janv., 2007, p. 11.

(14) Les décrets des conciles œcuméniques, vol. 1, p. 479.

(15) Warren H. Carroll, Une histoire de la chrétienté, Front Royal, VA: la chrétienté Press, 1993, Vol. 3 (La Gloire de la chrétienté), p. 571.

(16) L’Osservatore Romano, le 27 sept., 2006, p. 11.

(17) L’Osservatore Romano, le 3 janv. 2007, p. 7.

(18) Benoît XVI, sel de la terre, Ignatius Press, 1996, p. 244

(19) L’Osservatore Romano, le 24 Août, 2005, p. 9.

(20) L’Osservatore Romano du 31 Août, 2005, p. 11.

(21) L’Osservatore Romano, le 27 sept., 2006, p. 2.

(22) L’Osservatore Romano, le 13 décembre 2006, p. 11.

(23) L’Osservatore Romano, 6 décembre 2006, p. 2.

(24) Benoît XVI, pèlerin de bourses de la foi, p. 273.

(25) http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/speeches/2006/september/documents/hf_ben-xvi_spe_20060912_university-regensburg_en.html#_ftn3

(26) Reuters.com, Ven 1er décembre 2006.

(27) L’Osservatore Romano, le 13 décembre 2006, p. 11.

(28) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 198.

(29) Denzinger 1826-1827.

(30) Denzinger 469.

(31) Les encycliques papales, par Claudia Carlen, Raleigh: Le Pierian Press, 1990, vol.3 (1903-1939), p. 315.

(32) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, pp 216-217.

(33) Denzinger 1831.

(34) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, pp 198-199.

(35) Denzinger 1824.

(36) Adista 26 février 2001.

(37) L’Osservatore Romano, le 24 Août, 2005, p. 8.

(38) Adista 26 février 2001.

(39) L’Osservatore Romano, le 24 Août, 2005, p. 8.

(40) Les encycliques papales, vol. 3 (1903-1939), p. 317.

(41) L’Osservatore Romano, 7 décembre 2005, p. 4.

(42) P.. John Laux, Histoire de l’Église, Rockford, IL: Tan Books, 1989, pp 295-296.

(43) L’Osservatore Romano, le 20 sept., 2006, p. 10.

(44) L’Osservatore Romano, le 20 sept., 2006, p. 10.

(45) Les encycliques papales, vol. 3 (1903-1939), p. 317.

(46) http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/6194224.stm

(47) www.zenit.org, Zenit rapport de nouvelles, le 30 nov. 2006.

(48) Les encycliques papales, vol. 2 (1878-1903), pp 400-401.

(49) L’Osservatore Romano, le 23 nov., 2005, p. 9.

(50) L’Osservatore Romano, 6 décembre 2006, p. 6.

(51) L’Osservatore Romano, le 15 nov., 2006, p. 5.

(52) L’Osservatore Romano du 31 mai 2006, p. 3.

(53) L’Osservatore Romano, le 29 nov., 2006, p. 6.

(54) Cité dans Nouvelles catholiques famille, « déni de Père Ratzinger supplémentaire Ecclesia [sic] Nulla Salus, » Juillet 2005, Postscript de l’éditeur, p. 11.

(55) http://www.nationalcatholicreporter.org/word/word081205.htm # protestante

(56) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 263.

(57) L’Osservatore Romano, le 21 déc / 28, p. 5.

(58) ​​http://www.taize.fr/en

(59) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 304.

(60) Nouvelles Service Catholique 2005

(61) L’Osservatore Romano, le 24 Août, 2005, p. 19; Zenit Nouvelles rapport, le 17 août 2005.

(62) L’Osservatore Romano, le 24 Août, 2005, p. 9.

(63) Benoît XVI, Audience générale, le 16 août, 2006; L’Osservatore Romano, le 23 Août, 2006, p. 11.

(64) Cité par le pape Grégoire XVI en Summo Iugiter Studio # 5, le 27 mai 1832, le nonce encycliques, Vol. 1 (1740-1878), p. 230.

(65) Benoît XVI, pèlerin de bourses de la foi, Ignatius Press, 2002, p. 248.

(66) Benoît XVI, pèlerin de bourses de la foi, p. 251.

(67) Les encycliques papales, vol. 1 (1740-1878), p. 229.

(68) Benoît XVI, Le Sens de la Fraternité chrétienne, Ignatius Press, pp 87-88.

(69) Les encycliques papales, vol. 3 (1903-1939), p. 242.

(70) Benoît XVI, pèlerin de bourses de la foi, p. 232.

(71) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 377.

(72) Denzinger 695.

(73) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 43.

(74) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 401.

(75) Denzinger 1792.

(76) Benoît XVI, une nouvelle chanson pour le Seigneur, New York, NY: Crossroad Publishing, 1995, p. 86.

(77) Les encycliques papales, vol. 2 (1878-1903), p. 335.

(78) Benoît XVI, Dieu et le monde, pp 165-166, 168.

(79) Benoît XVI, Dieu et le monde, p. 153.

(80) Benoît XVI, Dieu et le monde, p. 76.

(81) Zenit.org, Zenit rapport de nouvelles, le 21 février 2002.

(82) L’Osservatore Romano, le 13 sept., 2006, p. 3.

(83) Benoît XVI, Dieu et le monde, 2000, p. 373

(84) La Vie et les Lettres de saint François Xavier par Henry James Coleridge, SJ (Originally published: London: Burns et Oates, 1874) Deuxième Reprint, New Delhi: services éducatifs asiatique, 2004, vol. 1, p. 154.

(85) Les encycliques papales, vol. 4 (1939-1958), p. 113.

(86) Benoît XVI, sel de la terre, p. 23.

(87) Les encycliques papales, vol. 2 (1878-1903), p. 307.

(88) L’Osservatore Romano, le 13 sept., 2006, p. 7.

(89) Les encycliques papales, vol. 2 (1878-1903), p. 304.

(91) Les encycliques papales, vol. 3 (1903-1939), p. 76.

(92) Benoît XVI, sel de la terre, p. 24.

(93) Benoît XVI, la vérité et la tolérance, 2004, p. 207.

(94) Denzinger 714.

(95) Benoît XVI, Co-travailleurs de la Vérité, Ignatius Press, 1990, p. 217.

(96) Les encycliques papales, vol. 1 (1740-1878), p. 201.

(97) Benoît XVI, sel de la terre, p. 29.

(98) Benoît XVI, Fête de la Foi, Ignatius Press, 1981, p. 130.

(99) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, pp 247-248.

(100) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 100.

(101) Denzinger 1792.

(102) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 378.

(103) Benoît XVI, In the Beginning (A compréhension catholique de l’histoire de la Création et de la Chute), Grand Rapids, MI: William B. Eerdmans Publishing Co., 1986, p. 72.

(104) Voir session V du concile de Trente (17 Juin, 1546), Denzinger 787.

(105) Benoît XVI, Introduction au christianisme, Ignatius Press, 2004, p. 326.

(106) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 381.

(107) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 385.

(108) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 391.

(109) Benoît XVI, Dieu et le monde, p. 436.

(110) Benoît XVI, les principes de la théologie catholique, p. 229.

(111) Denzinger 705.

(112) Benoît XVI, Co-travailleurs de la Vérité, p. 29.

(113) Denzinger 86.

(114) Les encycliques papales, vol. 2 (1878-1903), p. 389.

(115) Les encycliques papales, vol. 2 (1878-1903), p. 390.

(116) L’Osservatore Romano, le 25 oct., 2006, p. 11.

(117) saint Alphonse de Liguori, préparation à la mort, Tan Books, version abrégée, p.127.

(118) Les encycliques papales, vol. 3 (1903-1939), p. 72.

(119) Benoît XVI, sel de la terre, pp 95-96.

(120) Denzinger 464.

(121) Denzinger 429.

(122) Denzinger 531.

(123) Benoît XVI, Introduction au christianisme, p. 349.

(124) Benoît XVI, Introduction au christianisme, p. 353.

(125) Benoît XVI, Introduction au christianisme, pp 357-358.

(126) L’Osservatore Romano, le 24 mai 2006, p. 5.

(127) L’Osservatore Romano, 7 Juin, 2006, p. 4.

(128) Denzinger 1690, 1699.

| Annexe : Benoît a ordonné des modifications au rite de

baptême avant de démissionner

Une petite mais significative changement semble être à venir, selon Sandro Magister: 


Le dimanche après l’Épiphanie est le dimanche de baptême de Jésus. Et sur chacun de ces dimanches, année après année, Benoît XVI a administré le premier sacrement de l’initiation chrétienne à un certain nombre d’enfants, dans la chapelle Sixtine.
Chaque fois que, par conséquent, il a eu l’occasion de prononcer les formules fournies par le rite du baptême en vigueur depuis 1969. Mais deux des mots dans ce rite jamais totalement convaincu.

Et donc, avant de renoncer à la chaire de Pierre, il ordonna qu’ils devraient être modifiés dans l’original latin, et par conséquent dans les langues modernes ainsi.
La disposition, qui a été traité par la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a été publié dans le bulletin officiel du dicastère, « Notitiae. » Son existence a été souligné, au milieu du silence des médias du Vatican, par le journal de la conférence épiscopale italienne, « Avvenire ».

Le décret qui introduit l’innovation, publié en latin, commence comme suit:
« La porte de la vie et du royaume, le baptême est un sacrement de la foi, par laquelle les hommes sont incorporés dans l’unique Église du Christ, qui subsiste dans l’Église catholique, gouvernée par le successeur de Pierre et par les évêques en communion avec lui ».
C’est précisément sur la base de cette considération que la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a justifié la variation dans la deuxième latin «édition typique» de la campagne 1973 rite pour le baptême des enfants (qui, dans la formule en question est identique à la première «édition typique» de 1969):
«Alors que, dans ce même plus léger de rite peut être faite sur l’enseignement doctrinal de la tâche et le devoir de la Mère Église les sacrements pour être célébré. »
La variation introduite est la suivante.

A partir de maintenant, à la fin du rite de réception, avant de signer avec la croix sur le front de l’enfant ou des enfants, le prêtre va plus dire: «Magno Gaudio 
communitas christiana te (VOS) excipit», mais plutôt: « Magno Gaudio Ecclesia Dei te (VOS) excipit « .
Dans la pratique, le pape Joseph Ratzinger, comme théologien sophistiqué, a voulu que dans le rite baptismal, il devrait être clairement dit que c’est l’Église de Dieu – qui subsiste pleinement dans l’Église catholique – qui reçoit ceux qui sont baptisés, et non générique de la «communauté chrétienne», un terme qui signifie également chacune des communautés locales ou des confessions non catholiques, comme les protestants.
Le décret publié dans « Notitiae » précise que Benoît XVI « bienveillance établi » la variation susmentionnée au cours d’une audience accordée au Préfet de la congrégation, le cardinal Antonio Cañizares Llovera, le 28 Janvier 2013, à peine deux semaines avant l’annonce de sa démission en tant que pape.
Le décret porte la date du 22 Février 2013, la fête de la chaire de saint Pierre, et est signé par le cardinal préfet et par le secrétaire, Mgr Arthur Roche. Et il y est dit qu’il est entré en vigueur le 31 Mars 2013, déjà sous le règne du pape était Francis, qui avait évidemment rien à objecter à l’égard de la décision de son prédécesseur.
L’introduction de la variation dans les langues modernes sera supervisé par les conférences épiscopales respectives.
Actuellement en anglais la phrase dans laquelle les deux mots «communauté chrétienne» doivent être remplacés par « l’Eglise de Dieu» est: «La communauté chrétienne vous accueille avec une grande joie ».

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