« François »

Jorge Mario Bergoglio, « François », n’est pas Pape et n’a jamais été Pape de l’Eglise Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine.

Résumé : Jorge Mario Bergoglio est un antipape laïc, même pas prêtre puisqu’il a été ordonné en 1969 selon le nouveau rite d’ordination invalide.

Il s’agit d’un hérétique moderniste, dans la lignée de la doctrine pernicieuse du conciliabule de Vatican II.

Il a déjà nié un grand nombre de dogmes catholiques, et a même été jusqu’à blasphémer contre la Mère de Dieu.

C’est un adepte du faux œcuménisme hérétique qui conforte les infidèles, les hérétiques et les Juifs dans leurs erreurs.

Il a déclaré, dans un entretien avec le journaliste italien athée Eugenio Scalfari, à propos de ceux qui essaient de convertir, que le « prosélytisme est une pompeuse absurdité » (sic), et, par exemple, concernant ceux qui voudraient convertir des schismatiques orientaux, que c’était « un grand péché de vouloir convertir les schismatiques hérétiques orthodoxes » (sic).

Il a ainsi témoigné à maintes reprises son profond respect envers les Juifs, les musulmans et les bouddhistes, et soutient que toutes religions peuvent mener au Ciel – peuvent être des moyens de salut, comme l’enseigne Vatican II. Ceci est en totale contradiction avec l’enseignement bimillénaire de l’Eglise catholique qui a déclaré infailliblement que tous ceux qui sont hors de l’Eglise catholique iront dans le feu de l’Enfer, à moins qu’ils ne reviennent à résipiscence, ainsi se repentissent et fassent pénitence, avant la fin de leur vie.

Cet antipape a déjà plusieurs fois fait la promotion indirecte de la déviance contre-nature.

Il s’est par ailleurs dit favorable au mariage des prêtres, en complète aversion avec les lois ecclésiastiques posées par la Sainte Eglise catholique depuis des siècles.

Bien entendu, dans la lignée de ses prédécesseurs, il a poussé l’opprobre jusqu’à aller déposer un message sur le mur des lamentations à Jérusalem, niant par là le fait que l’Ancienne Alliance était révolue, « achevée », et commis un acte au moins contre la profession de la foi, sinon hérétique.

Cet antipape est d’une nullité particulière, moderniste jusqu’à la dernière fibre, et s’avère bien entendu très apprécié du monde moderne.

I. Résumé des actes hérétiques du laïc Jorge Mario Bergoglio dans la ligne directe de ses prédécesseurs

Comme indiqué plus haut, Jorge Mario Bergoglio n’est pas un prêtre valide puisqu’il a été « ordonné » en 1969 selon le nouveau rite d’ordination, lequel est invalide – lire le lien indiqué plus haut (attention ! référence provenant d’un site feeneyiste : prudence).

Il a exhorté les membres de toutes les religions et ceux n’appartenant à aucune « Eglise » à s’unir pour défendre la justice, la paix et l’environnement et ne pas laisser la valeur d’une personne être réduite à « ce qu’elle produit et ce qu’elle consomme ». (Cité du Vatican, le 21 mars 2013 – Reuters)

Il a nié le récit biblique de la multiplication des pains. Il a donc nié l’inerrance biblique et un miracle de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

Il a participé à des rites avec les Juifs – communicatio in sacris cum acatholicis.

Il a dit que le Ramadan des mahométans apporte des « fruits spirituels » (sic).

Il a dit aux « curés » qu’il est erroné de chercher à convertir au christianisme – il est donc contre toutes sortes de prosélytisme, à rebours de tous les enseignements, de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de ses vicaires.

Il a déclaré à la presse internationale qu’il ne peut pas juger les sodomites – « Qui suis-je pour juger ? » (sic).

Il n’a pas levé le petit doigt pour aider les enfants violés et sodomisés par ses cardinaux, évêques et prêtres.

Il a nommé un criminel, actuellement en prison, pour superviser sa banque du Vatican.

Il a dit penser que les athées ont autant de chances d’être sauvés que les chrétiens.

Il a appelé une « obsession » ceux qui sont préoccupés par les questions morales comme l’avortement et le mariage « gay ».

Il a déjà supprimé la Messe latine de 1962 (du franc-maçon Bugnini et à demie Novus Ordo – Vatican II) chez les Franciscains et a nommé « idéologues » tous ceux qui la préconisent.

Il a blasphémé la Mère de Dieu.

Il a fait la promotion des fausses religions païennes du diable – « Tous les dieux des païens sont des démons » nous enseigne pourtant l’Ecriture Sainte.

Et bien d’autres actes contre la loi naturelle, contre la loi divine, bref, d’autres actes d’hérésies et d’apostasies.

Note : son élection a par ailleurs été saluée par les loges maçonniques, notamment par la franc-maçonnerie hébraïque du B’Nai B’rith.

La franc-maçonnerie agissant comme une « Contre-Église » (après avoir agi en « Contre-Etat » et « Contre-Nation »), plusieurs obédiences accueillirent avec une officielle bienveillance l’élection du « pape » François :

– la Grande Loge d’Argentine (par la voix de son grand maître Angel Clavero) ;
– de Grandes Loges, donc obédiences, européennes, latino-américaines ainsi que celle du Liban. (Source : APMR, Agence de presse maçonnique, 16 mars 2013).

Le grand maître franc-maçon italien Raffi a déclaré : « avec le pape François, rien ne sera plus comme avant. C’est un choix clair de fraternité pour une Eglise de dialogue, non-contaminée par les logiques et les tentations du pouvoir temporel » (14 mars 2013).

Le B’Nai B’rith argentin salue l’élection de François

II. Hérésies de Bergoglio en rapport avec les Juifs

Le « cardinal » Bergoglio a envoyé ses meilleurs vœux à la communauté juive à l’occasion des grandes fêtes.

Chrétiens et Juifs : « rencontre et dans le dialogue, avec une attitude d’accueil réciproque nous a aidé a grandir comme hommes et comme croyants ».

25 juin 2013 : « De par nos racines communes, un chrétien ne peut être antisémite ! ». C’est ce qu’a affirmé avec fermeté le Pape François en recevant lundi matin 24 juin, les membres de l’International Jewish Committee on Interreligious Consultations. Après les avoir salués comme « frères aînés » et avec le traditionnel Shalom « cher aussi à la tradition chrétienne », le Pontife a mis l’accent sur les plus de quarante ans de « dialogue régulier » avec la Commission pour les rapports religieux avec le judaïsme, actuellement présidée par le cardinal Koch, desquels sont nés vingt-et-une rencontres qui « ont contribué à renforcer la compréhension réciproque et les liens d’amitié entre juifs et catholiques ». Il a rappelé ensuite qu’au cours des premiers mois de son pontificat « il a eu l’occasion de rencontrer d’éminentes personnalités du monde juif et qu’également au cours de son précèdent ministère comme archevêque de Buenos Aires il avait « eu la joie d’entretenir des relations d’amitié sincère avec des personnalités du monde juif. Nous nous sommes enrichis mutuellement, a -t-il dit à ce propos, dans la rencontre et dans le dialogue, avec une attitude d’accueil réciproque et cela nous a aidé a grandir comme hommes et comme croyants ». Il en est de même, a t-il ajouté « dans de nombreuses parties du monde, et ces relations d’amitiés constituent la base du dialogue qui se développe au niveau officiel ». De là, l’encouragement « à poursuivre » sur ce chemin, « en cherchant à impliquer aussi les nouvelles générations »…

La haine du juif est une faute morale grave, encore plus pour les catholiques. Mais dans la Foi catholique, le dialogue avec le judaïsme est un faux-œcuménisme qui apostasie la foi catholique et dogmatique traditionnelle (de la Tradition de l’Eglise) car les juifs comme les autres religions doivent se convertir et non pas être incités à demeurer en leur état :

Concile de Florence, Cantate Domino, 4 février 1442 (ex cathedra) : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu’aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges (Mt 25,41) à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ».

Déjeuner casher et prière en communion avec les juifs.

L’antipape François a déjeuné casher avec une délégation de rabbins juifs de son Argentine natale, jeudi 16 janvier 2014.

Le déjeuner a été fourni par Ba’Ghetto, l’un des restaurants les plus populaires de Rome spécialisés dans la cuisine juive casher.

Selon le rapport publié sur le site Web du Congrès juif mondial, « à la fin du déjeuner, le Pape et les dirigeants juifs ont entonné le Psaume 133 en hébreu » :

« Ah! Qu’il est bon, qu’il est doux pour des frères d’habiter ensemble !

« C’est comme l’huile précieuse qui, répandue sur la tête, coule sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, qui descend sur le bord de son vêtement.

« C’est comme la rosée de l’Hermon, qui descend sur les sommets de Sion. Car c’est là que Yahweh a établi la bénédiction, la vie, pour toujours. »

Pape Eugène IV, Cantate Domino, Concile de Florence, 4 février 1442 ex cathedra : «Elle [La sainte Eglise] croit fermement, professe et enseigne que les prescriptions légales de l’Ancien Testament qui se divisent en cérémonies, saints sacrifices, sacrements, parce qu’ils avaient été institués pour signifier quelque chose de futur, bien qu’en ce temps-là, ils aient été adaptés au culte divin, une fois venu notre Seigneur Jésus Christ qui était signifié par eux, ont pris fin et qu’ont commencé les sacrements du Nouveau Testament. Quiconque encore après la Passion met son espoir dans les prescriptions légales et se soumet à elles en les croyant nécessaires au salut, comme si la foi dans le Christ ne pouvait sauver sans elles, a péché mortellement. Elle ne nie pas cependant que, depuis la Passion du Christ jusqu’à la promulgation de l’Evangile, elles ont pu être respectées du moins dans la mesure où on les croyait si peu que ce fût nécessaires au salut. Mais, après la promulgation de l’Evangile, l’Eglise affirme qu’elles ne peuvent être respectées sans l’anéantissement du salut éternel.

«Donc elle dénonce comme étrangers à la foi du Christ tous ceux qui depuis ce temps-là observent la circoncision, le sabbat et les autres prescriptions légales, et affirme qu’ils ne peuvent pas du tout avoir part au salut éternel, sauf si un jour ils reviennent de ces erreurs. Donc à tous ceux qui se glorifient du nom de chrétiens, elle prescrit de manière absolue qu’à n’importe quel moment soit avant soit après le baptême il faut renoncer à la circoncision, que l’on place en elle ou non son espoir, elle ne peut être respectée sans anéantissement du salut éternel».

Pape Léon X, cinquième concile de Latran, 1512-1517, Séance 8 et 9, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité de la foi éclairée est totalement fausse et nous interdisons strictement l’enseignement autrement à être autorisé. Nous décrétons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, ainsi sèment des hérésies qui sont totalement condamnées, devrons être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique.

«… Tous les faux chrétiens et ceux avec de mauvais sentiments envers la foi, quelle que soit leur race ou nation, ainsi que les hérétiques et ceux souillés avec une certaine souillure d’hérésie, ou judaïsants, doivent être totalement exclus de la société des fidèles du Christ et expulsés de n’importe quelle position, en particulier de la curie romaine, et punis d’une peine adéquate … »

III. Hérésies de Bergoglio en rapport avec les protestants

Le « pseudo-cardinal » Bergoglio se soumet aux hérétiques : Il s’agenouille pour être «béni» par un pasteur de la secte hérétique protestante

IV. Hérésies de Bergoglio en rapport avec les schismatiques

Première réunion œcuménique de l’antipape François, 20 mars 2013, continuité des hérésies et de l’apostasie :

« (…) Tout d’abord je remercie mon frère Andrew [Bartholomée I] beaucoup de ce qu’il a dit. Merci beaucoup! Merci!

« C’est une source de joie particulière pour répondre aujourd’hui avec vous, les délégués des églises orthodoxes, les églises orthodoxes orientales et des communautés ecclésiales d’Occident. Merci d’avoir voulu prendre part à la célébration qui a marqué le début de mon ministère d’Evêque de Rome et successeur de Pierre.

« Hier matin, au cours de la Sainte Messe, à travers vos personnes, j’ai reconnu comme spirituellement présent les communautés que vous représentez. Dans cette manifestation de foi, il me semblait vivre d’une manière encore plus urgente la prière pour l’unité des croyants dans le Christ et en même temps de voir en quelque sorte préfiguré que la pleine réalisation, qui dépend du plan de Dieu et de notre collaboration loyale.

« Je commence mon ministère apostolique en cette année que mon vénéré prédécesseur, le Pape Benoît XVI, avec un aperçu vraiment inspiré, a proclamé l’Année de la foi pour l’Église catholique. Grâce à cette initiative, que je veux continuer et d’espoir est un stimulant pour le cheminement de foi de tous, il a souhaité marquer le 50e anniversaire du début du Deuxième Concile du Vatican, en proposant une sorte de pèlerinage vers ce qui est le plus essentiel pour chaque Chrétien : la relation personnelle et la transformation avec Jésus-Christ, Fils de Dieu, mort et ressuscité pour notre salut. Le cœur du message du Conseil réside précisément dans le désir d’annoncer ce trésor toujours valable de la foi aux hommes de notre temps.

« Avec vous, je ne peux pas oublier combien ce Conseil a signifié pour la route de l’œcuménisme. Je voudrais rappeler les paroles du bienheureux Jean XXIII, le 50e anniversaire de la mort duquel nous allons bientôt commémorer, où il a prononcé dans son discours d’inauguration mémorable: « l’Eglise catholique estime qu’il est de son devoir de chercher activement à remplir le grand mystère de cette l’unité que Jésus-Christ avec la plupart des prières ardentes imploré le Père céleste dans l’imminence de son sacrifice;. Elle bénéficie paix délicieuse, se sachant être intimement Unis au Christ dans ces prières » (AAS 54 [1962], 793) C’est le pape Jean.

« Oui, chers frères et sœurs dans le Christ, laissez-nous nous sentons tous intimement uni à la prière de notre Sauveur dans la dernière Cène, à son invocation: sint unum ut. Prions le Père miséricordieux de vivre en plénitude cette foi que nous avons reçue comme un cadeau le jour de notre baptême, et d’être en mesure de témoigner libre, courageux et joyeux à elle. Ce sera notre meilleur service à la cause de l’unité des chrétiens, un service d’espoir pour un monde encore marqué par les divisions, par le contraste et la rivalité. Plus nous sommes fidèles à sa volonté, dans nos pensées, paroles et actes, plus nous serons réellement et substantiellement marcher vers l’unité.

 » Pour ma part, je tiens à vous assurer, dans le sillage de mes prédécesseurs, de ma détermination à continuer sur la voie du dialogue œcuménique et je tiens à remercier à l’avance le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, pour l’aide qu’il sera continuer à offrir, en mon nom, pour cette noble cause. Je vous demande, chers frères et sœurs, d’apporter mon salut cordial et l’assurance de mon souvenir dans le Seigneur Jésus dans les églises et les communautés chrétiennes ici représentés, et demande à vous la charité d’une prière spéciale pour ma personne, à être un pasteur selon le cœur du Christ.

 » Et maintenant, je me tourne vers vous éminents représentants du peuple juif, auxquels nous sommes liés par un lien spirituel très spécial, puisque, comme le Concile Vatican II affirme, l’Église reconnaît que «les prémices de sa foi et de son élection sont déjà, selon le mystère divin du salut, dans les patriarches, Moïse et les prophètes »(déclaration confirmant. Nostra Aetate, 4). Merci de votre présence et je suis convaincu que, avec l’aide du Tout-Puissant, nous serons en mesure de continuer à profit ce dialogue fraternel que le Conseil a préconisé (cf. ibid.) Et qui a été effectivement réalisé, ce qui porte beaucoup de fruits, en particulier au cours des dernières décennies.

 » Je salue cordialement et vous remercie tous, chers amis appartenant à d’autres traditions religieuses; premier de tous les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et miséricordieux, et faire appel à Lui dans la prière, et à vous tous. Je vous remercie de votre présence: en elle, je vois un signe tangible de la volonté de croître dans l’estime mutuelle et la coopération pour le bien commun de l’humanité.

 » L’Eglise catholique est consciente de l’importance de promouvoir l’amitié et le respect entre les hommes et les femmes de différentes traditions religieuses – je tiens à le répéter: la promotion de l’amitié et le respect entre les hommes et les femmes de différentes traditions religieuses – il atteste également le travail précieux que le Pontifical Conseil pour le dialogue interreligieux effectue. Il est également conscient de la responsabilité que nous avons tous envers ce monde qui est le nôtre, vers toute la création, que nous devons aimer et protéger.Et nous pouvons faire beaucoup pour le bien des plus pauvres, ceux qui sont faibles et qui souffrent, de promouvoir la justice, de promouvoir la réconciliation et à construire la paix.Mais, par-dessus tout, nous devons garder vivante dans le monde de la soif d’absolu, ne permettant pas à l’emporter une vision unidimensionnelle de la personne humaine, selon laquelle l’homme est réduit à ce qu’il produit et consomme: c’est celui-ci des pièges les plus dangereux pour notre temps.

 » Nous savons à quel point la violence a été produit dans l’histoire récente de la tentative d’éliminer Dieu et le divin de l’horizon de l’humanité, et nous faisons l’expérience de la valeur du témoignage dans nos sociétés à l’ouverture initiale à la transcendance qui est inhérent dans le cœur humain. En cela, nous nous sentons proches même à tous ces hommes et femmes qui, tout en ne se reconnaissant appartenance à une tradition religieuse, s’estiment néanmoins être à la recherche de la vérité, de la bonté et de la beauté, cette vérité, de la bonté et de la beauté de Dieu, et qui sont nos alliés précieux dans les efforts visant à défendre la dignité de l’homme, dans la construction d’une coexistence pacifique entre les peuples et à la garde de la création avec soin.

 » Chers amis, je vous remercie encore pour votre présence. Pour tous J’étends mon salut cordial et fraternel. « 

Les hérétiques sont de fins trompeurs qui mèlent subtilement le venin comme nous l’explique le pape Pie VI :

Le pape Pie VI, Bulle «Auctorem fidei» 28 août 1794 : « [Les anciens docteurs] connaissaient la capacité des innovateurs dans l’art de la tromperie. Afin de ne pas choquer les oreilles des catholiques, ils ont cherché à cacher les subtilités … par l’utilisation de mots apparemment inoffensifs qui leur permettrait d’insinuer l’erreur dans les âmes de la manière la plus douce. Une fois que la vérité a été compromise, ils pourraient, par le biais de légères modifications ou des ajouts dans la phraséologie, fausser la confession de la foi qui est nécessaire pour notre salut, et conduire les fidèles par des erreurs subtiles à leur damnation éternelle».

« … il ne peut pas être excusé de la façon dont on le voit faire, sous le prétexte erroné que des affirmations apparemment choquantes à un endroit soient développées le long de lignes orthodoxes dans d’autres endroits, et même encore en d’autres endroits corrigées, comme prévoyant la possibilité soit d’affirmer ou de nier la déclaration … telle a toujours été la méthode frauduleuse et l’audace utilisée par les innovateurs pour établir l’erreur, qui permet à la fois la possibilité de promouvoir l’erreur et de l’excuser…

« … C’est une technique plus répréhensible pour insinuer des erreurs doctrinales, condamnée depuis longtemps par notre prédécesseur saint Célestin qui a trouvé qu’elle était dans les écrits de Nestorius, évêque de Constantinople, et qu’il a exposé pour la condamner avec la plus grande gravité possible. Une fois que ces textes ont été examinés attentivement, l’imposteur a été exposé et confondu, car il s’est exprimé dans une pléthore de mots, mélangeant des choses vraies avec d’autres qui étaient obscures ; mélangeant parfois l’une avec l’autre de manière à ce qu’il soit également en mesure de confesser ces choses qui ont été niées alors qu’en même temps il possédait un motif pour nier ces phrases mêmes qu’il confessait « .

« Afin d’exposer ces pièges, ce qui est nécessaire à une certaine fréquence dans chaque siècle, aucune autre méthode n’est nécessaire que la suivante : dès qu’il devient nécessaire d’exposer DANS DES ÉTATS QUI déguisent une erreur OU UN DANGER SUSPECT sous le voile de l’ambiguïté, NOUS devons dénoncer LE SENS PERVERS dans lequel l’erreur SE RAPPORTANT AUX vérités catholiques est camouflée

L’antipape François et le pape Tawadros II

Les »orthodoxes » (en vérité des faux orthodoxes – car orthodoxe signifie droit dans la doctrine) sont des shismatiques qui refusent la primauté du Pape : ce sont des SCHISMATIQUES. Ils n’ont pas à être traités en « frères » (dans la foi) et doivent être exhortés à réintégrer l’Eglise catholique.

Antipape François, 24 mars 2014, suite au décès du patriarche schismatique Ignace Zakka Ier Iwas (patriarche syriaque « orthodoxe » d’Antioche et de tout l’Orient) :

« Le monde chrétien dans son entier a perdu un leader spirituel exceptionnel, courageux et sage. »

« un homme de dialogue et de paix à l’égard des disciples de toutes les traditions religieuses»

« son travail constant pour améliorer les relations entre les chrétiens ».

« sa contribution extraordinaire pour renforcer la communion entre chrétiens syro-orthodoxes et fidèles catholiques ».

« que le Tout-Puissant l’accueille dans son royaume et lui accorde le repos éternel »,

« que la mémoire de son long et dévoué service à l’Église » soit « un encouragement pour tous ».

Les soit-disants « orthodoxes » orientaux sont schismatiques et hérétiques. Un schismatique est hors de l’Eglise : il ne sert pas l’Eglise, et n’est pas sauvé, c’est le dogme catholique.

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Cela prouve, une fois de plus qu’il est un hérétique total.

IV | Hérésies de Bergoglio en rapport avec la secte boudhiste

MESSAGE AUX BOUDDHISTES

Bureau de presse du saint-siège : Vatican Information Service http://visnews-fr.blogspot.fr/2013/05/message-aux-bouddhistes.html

Cité du Vatican, 2 mai 2013 (VIS). « Aimer, défendre et promouvoir la vie humaine », tel est le titre du message que le Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux adresse aux bouddhistes pour la fête de Vesakh 2013 (ère bouddhiste 2556), sous la signature de son Président le Cardinal Jean-Louis Tauran:

« Dès le début de son ministère, le Pape François a réaffirmé la nécessité du dialogue amical entre les fidèles des différentes religions, rappelant combien l’Eglise est consciente de la responsabilité que nous avons tous à l’égard de notre monde, de la création tout entière, qu’il nous faut aimer et protéger. Nous pouvons faire beaucoup pour venir en aide aux pauvres, aux nécessiteux et à ceux qui souffrent, et pour favoriser la justice, promouvoir la réconciliation et construire la paix. Le message pour la Journée mondiale de la paix 2013 indique que le chemin pour atteindre le bien commun et la paix est avant tout celui du respect de la vie humaine dans tous ses aspects, à commencer par sa conception, en passant par son développement et en allant jusqu’à sa fin naturelle. Les véritables artisans de paix sont donc ceux qui aiment, défendent et promeuvent la vie humaine dans toutes ses dimensions, personnelle, communautaire et transcendante. La vie dans sa plénitude est l’apogée de la paix. Celui qui aime la paix ne peut tolérer des attaques et des crimes contre la paix. L’Eglise catholique montre un respect sincère pour votre noble tradition religieuse. Nous remarquons bien souvent une consonance avec les valeurs exprimées aussi dans vos livres religieux, tels le respect pour la vie, la contemplation, le silence et la simplicité. Notre dialogue fraternel a besoin de manifester que nous, bouddhistes et chrétiens, ayons en commun, spécialement le fait que nous partageons un profond respect pour la vie.

Chers amis bouddhistes, votre premier précepte vous apprend à vous abstenir de détruire la vie de tout être sensible, et par conséquent il interdit le meurtre de soi-même et des autres. La pierre d’angle de votre éthique réside dans une réelle affection pour tous les êtres. Nous, chrétiens, nous croyons que le cœur de l’enseignement moral de Jésus est double: amour de Dieu et amour du prochain. Jésus dit Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour. Et encore Voici mon commandement: Aimez- vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Le cinquième commandement chrétien Tu ne tueras pas s’harmonise très bien avec votre premier précepte. Nostra Aetate enseigne que l’Eglise catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions. Je pense, par conséquent, que ce qui est urgent pour les bouddhistes aussi bien que pour les chrétiens, sur la base du patrimoine spécifique de nos traditions religieuses, est de créer un climat de paix pour aimer, défendre et promouvoir la vie humaine. Mais en dépit de ces nobles enseignements sur la sainteté de la vie humaine, le mal sous différentes formes contribue à la déshumanisation de la personne en affaiblissant le sens de l’humanité chez les individus et dans les communautés. Cette situation tragique nous invite à unir nos efforts pour démasquer les menaces contre la vie humaine et à réveiller la conscience morale de nos fidèles respectifs pour provoquer une renaissance spirituelle et morale des individus et des sociétés afin d’être de véritables artisans de paix qui aiment, défendent et promeuvent la vie humaine dans toutes ses dimensions. Continuons donc à collaborer dans un esprit de compassion et de fraternité renouvelées, pour soulager les souffrances de la famille humaine en favorisant le caractère sacré de la vie humaine. C’est dans cet esprit que je vous souhaite une fête de Vesakh remplie de paix et de joie ».

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino , 1441, ex-cathedra : Elle [La très sainte Eglise romaine] croit fermement, professe et prêche qu’«qu’aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement païens» mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent pas devenir participants à la vie éternelle, mais iront «dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges» [Mt 25, 41], à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés; …

Les bouddhistes sont des païens, une fausse religion du diable et l’antipape l’approuve : ces gens ont à être exhorter de se convertir au Christ et non pas de rester dans leur fausse religion pour être perdus. La charité chrétienne n’est certainement pas de laisser des hommes se damner, ou c’est de la fausse charité parce que la foi qui en est la base est fausse et non-catholique. C’est cela l’oeucuménisme apostat vatican 2.

IV | Hérésies de Bergoglio en rapport avec les schismatiques Anglicans

Rencontre du « pape François » (le laïc Bergoglio) et de l’archevêque anglican Justin Welby

Rome, 14 juin 2013 : « L’engagement pour la recherche de l’unité entre les chrétiens ne découle pas de raisons d’ordre pratique, mais de la volonté même du Seigneur Jésus-Christ », rappelle le pape : dans ce contexte, la prière « est d’une importance fondamentale », « c’est par la prière que se renouvellera jour après jour cet engagement à marcher vers l’unité » (http://www.osservatoreromano.va/portal/dt?JSPTabContainer.setSelected=JSPTabContainer%252FHome)

C’est tout le contraire de l’enseignement du Magistère de l’Eglise sur son unité.

C’est contraire à la condamnation des anglicans par Léon XIII.

SATIS COGNITUM Léon XIII SUR L’UNITE DE L’EGLISE : …« Je crois à l’Eglise… une ». elle est une, quoique les hérésies essayent de la déchirer en plusieurs sectes. Nous disons que l’antique et catholique Eglise est une : elle a l’unité de nature, de sentiment, de d’excellence… (Clemens Alexandrinus, Stromatum, lib. VII, cap.17).

MORTALIUM ANIMOS Pie XI SUR L’UNITE DE L’EGLISE : …Ils soutiennent, en effet, que l’unité de foi et de gouvernement, caractéristique de la véritable et unique Eglise du Christ, n’a presque jamais existé jusqu’à présent et n’existe pas aujourd’hui; que cette unité peut, certes, être souhaitée et qu’elle sera peut-être un jour établie par une entente commune des volontés, mais qu’il faut entre-temps la tenir pour une sorte de rêve. Ils ajoutent que l’Eglise, en elle-même, de sa nature, est divisée en parties, c’est-à-dire constituée de très nombreuses églises ou communautés particulières, encore séparées, qui, malgré quelques principes communs de doctrine, diffèrent pour tout le reste; que chaque église jouit de droits parfaitement identiques; que l’Eglise ne fut une et unique que tout au plus depuis l’âge apostolique jusqu’aux premiers conciles oecuméniques.

IV | Hérésie de la liberté religieuse et promotion des autres confessions religieuse à la suite de ses prédecesseurs antipapes

«Dans la prière de tous les jours, disons à Jésus : « Seigneur, regarde ce frère, regarde cette sœur qui souffre tant, qui souffre tant ! ». Ils font l’expérience de la limite, précisément de la limite entre la vie et la mort. Et cette expérience doit nous conduire nous aussi à promouvoir la liberté religieuse pour tous, pour tous ! Chaque homme et chaque femme doivent être libres dans leur confession religieuse, quelle qu’elle soit. Pourquoi ? Parce que cet homme et cette femme sont des enfants de Dieu » (http://www.vatican.va/holy_father/francesco/speeches/2013/may/documents/papa-francesco_20130518_veglia-pentecoste_fr.html)

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Saint Thomas d’Aquin enseigne qu’un chrétien qui irait sur la tombe de Mahomet serait hérétique et apostat.

FAUX ŒCUMENISME de vatican 2 = tout le contraire de l’enseignement du Magistère de l’Eglise sur son unité.

Luthériens et catholiques : relire 500 ans d’histoire :

Catéchèse du « pape François » (monsieur Bergoglio) en italien – 19 juin 2013 « Tous unis, toujours : voilà la voie de Jésus »

Les divisions entre nous, mais aussi les divisions entre communautés : chrétiens évangéliques, chrétiens orthodoxes, chrétiens catholiques, mais pourquoi sommes-nous divisés ? Nous devons chercher à apporter l’unité. Je vais vous raconter quelque chose : aujourd’hui, avant de sortir de chez moi, j’ai passé quarante minutes, plus ou moins, une demi-heure, avec un pasteur évangélique et nous avons prié ensemble et recherché l’unité. Mais nous devons prier entre nous, catholiques, et aussi avec les autres chrétiens, prier pour que le Seigneur nous donne l’unité, l’unité entre nous. Mais comment aurons-nous l’unité entre chrétiens si nous ne sommes pas capables de l’avoir entre catholiques ? de l’avoir dans nos familles ? Tant de familles se disputent et sont divisées. Cherchez l’unité, l’unité qui fait l’Église. L’unité vient de Jésus-Christ. Il nous envoie l’Esprit-Saint pour faire l’unité.

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Faux œucuménisme : Une salutation de la fausse religion païenne du diable et ses démons (faux dieux)

Message aux hindous pour la fête de Deepavali : Chrétiens et hindous doivent favoriser les relations humaines par l’amitié et la solidarité

Cité du Vatican, 28 octobre 2013 : Chrétiens et hindous doivent favoriser les relations humaines par l’amitié et la solidarité. Tel est le titre du traditionnel message du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux aux hindous pour la fête de Deepavali (3 novembre), qui marque la victoire de la vérité sur le mensonge, de la lumière sur les ténèbres, du bien sur le mal, de la vie sur la mort :

Dans un monde toujours plus compétitif, individualiste et matérialiste, écrit le Cardinal Jean-Louis Tauran, ces caractéristiques « affectent les relations humaines et créent souvent des divisions au sein des familles et de la société tout entière. Nous voudrions partager avec vous nos pensées sur la manière dont les chrétiens et les hindous peuvent favoriser les relations humaines, pour le bien de l’humanité, à travers l’amitié et la solidarité. Or ces relations sont fondamentales pour l’existence humaine. La sécurité et la paix dans les communautés, tant au niveau local, national ou international, sont largement déterminées par la qualité des interactions humaines. L’expérience enseigne que plus nos relations humaines sont profondes, plus nous sommes en mesure d’avancer dans la coopération, la construction de la paix, la solidarité et l’harmonie véritables. La capacité à favoriser des relations respectueuses est la mesure d’un authentique progrès humain, essentiel pour promouvoir la paix et le développement intégral. De telles relations devraient jaillir spontanément de notre humanité partagée. En effet, les relations humaines sont au cœur de l’existence et du progrès humain qui, spontanément, engendrent un sens de solidarité envers les autres. Indépendamment de notre identité ethnique, culturelle, religieuse et idéologique, nous appartenons tous, de fait, à une seule famille humaine. Malheureusement, dans une société matérialiste et méprisante à l’égard des plus profondes valeurs spirituelles et religieuses, la croissance s’accompagne d’une tendance pernicieuse à accorder une valeur identique aux choses matérielles et aux relations humaines. Le quelqu’un qu’est la personne est alors réduit à un quelque chose que l’on peut mettre de côté à sa discrétion. En outre, les tendances individualistes engendrent un faux sentiment de sécurité qui favorise ce que le Pape François a décrit comme une culture de l’exclusion, une culture du déchet dans la mondialisation de l’indifférence. La promotion d’une culture du respect et de la solidarité est donc un impératif pour tous les peuples. Elle nous invite à favoriser les relations fondées sur l’amitié et le respect mutuel au bénéfice de toute la famille humaine. Cela exige que la dignité inhérente à la personne humaine soit reconnue et encouragée. Il est évident que l’amitié et la solidarité sont étroitement liées. Enfin, la culture de la solidarité c’est voir dans l’autre non un concurrent ou un numéro, mais un frère. Et nous sommes tous frères » comme l’a rappelé le Pape à Rio le 25 juillet dernier. « En conclusion, nous tenons à affirmer notre conviction que la culture de la solidarité n’aboutit que lorsqu’elle est le résultat d’un effort concerté de tous pour le bien commun. Soutenus par les enseignements de nos religions respectives et conscients de l’importance de construire des relations authentiques, puissions-nous, hindous et chrétiens, agir individuellement et collectivement avec toutes les traditions religieuses et les personnes de bonne volonté, pour encourager et renforcer la famille humaine à travers l’amitié et la solidarité. Heureuse fête de Deepavali! ».

L’apostat Tauran dit :

« pour la fête de Deepavali (3 novembre), qui marque la victoire de la vérité sur le mensonge, de la lumière sur les ténèbres, du bien sur le mal, de la vie sur la mort » :

Il dit que la fausse religion païenne hindouiste qui rend un culte aux démons, est « victoire de la vérité sur le mensonge, de la lumière sur les ténèbres, du bien sur le mal, de la vie sur la mort » !

« les chrétiens et les hindous peuvent favoriser les relations humaines, pour le bien de l’humanité, à travers l’amitié et la solidarité … la coopération, la construction de la paix, la solidarité et l’harmonie véritables … des relations respectueuses … un authentique progrès humain, pour promouvoir la paix et le développement… nous appartenons tous, de fait, à une seule famille humaine. nous sommes tous frères » :

Non, tous les hommes n’ont pas le même Père des cieux, le père de Notre Seigneur Jésus-Christ. Les fausses religions perdent les hommes en enfer selon l’enseignement infaillible de l’Eglise.

« Soutenus par les enseignements de nos religions respectives … agir individuellement et collectivement avec toutes les traditions religieuses  » :

Il dit que les enseignements d’autres fausses religions sont un soutien et prône l’action avec toutes les traditions religieuses fausses et païenne des démons : C’est l’apostasie complète de la liberté religieuse et du faux œucuménisme qui salue le culte de Satan..

Faux œcuménisme archi-hérétique, apostat et non-catholique.

Le témoignage œcuménique « doit se concentrer sur le cœur de la foi, sur l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est manifesté dans le Christ », déclare le pape François, qui encourage à « un œcuménisme spirituel ».

L’antipape François a reçu ce 17 janvier 2014 une délégation œcuménique de l’Église luthérienne de Finlande, à l’occasion de son pèlerinage annuel à Rome, pour célébrer saint Henri, patron du pays (16 janvier).

« À vous grâce et paix de par Dieu notre Père et le Seigneur Jésus Christ » (Rm 1,7). Je vous souhaite une chaleureuse bienvenue, comme l’ont fait depuis plus de 25 ans mes prédécesseurs, le bienheureux Jean-Paul II et Benoît XVI, en accueillant la visite de vos délégations œcuméniques, à l’occasion de la fête de saint Henri, patron de la Finlande.

Aux membres de la communauté de Corinthe, marquée par des divisions, l’apôtre demande : « Le Christ est-il divisé ? » (1 Co 1,13). Cette question a été choisie comme thème de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, qui commencera demain ; aujourd’hui, c’est à nous que s’adresse cette question. Face à certaines voix qui ne considèrent plus l’unité pleine et visible de l’Église comme un objectif à poursuivre, nous sommes invités à ne pas renoncer à nos efforts œcuméniques, fidèles à la prière que le Seigneur Jésus a adressée à son Père : que « tous soient un » (Jn 17,21).

À l’heure actuelle, la voie de l’œcuménisme et les relations entre chrétiens connaissent des changements importants, dus tout d’abord au fait que nous professons notre foi dans un contexte social et culturel où la référence à Dieu, et à tout ce qui rappelle la dimension transcendante de la vie, est de moins en moins présente. C’est surtout vrai en Europe, mais pas uniquement.

C’est précisément pour cette raison que notre témoignage doit se concentrer sur le cœur de notre foi, sur l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est manifesté dans le Christ, son Fils. Il y a là un espace pour grandir dans la communion et l’unité entre nous, en encourageant un œcuménisme spirituel qui vient directement du commandement de l’amour laissé par Jésus à ses disciples. Le concile Vatican II se référait aussi à cette dimension : « Cette conversion du cœur et cette sainteté de vie, ensemble avec les prières publiques et privées pour l’unité des chrétiens, doivent être regardées comme l’âme de tout l’œcuménisme et peuvent à bon droit être appelées œcuménisme spirituel » (Décr. Unitatis redintegratio, 8). En effet, l’œcuménisme est un processus spirituel qui se réalise dans l’obéissance fidèle au Père, dans l’accomplissement de la volonté du Christ et sous la conduite de l’Esprit-Saint ». …

C’est un dogme infaillible que Hors de l’Eglise catholique il n’y a pas de salut. Ce type n’est pas catholique ni ceux en communion avec lui.

JORGE BERGOGLIO ET TAOISME

Dans son numéro d’Octobre 2013, le magazine TAO (Argentine) dispose d’une photo du cardinal Bergoglio avec un moine taoïste. Un titre explique la photo : « Liu Ming, le médecin oriental du pape François ».

Dans l’edition en ligne de Perfil, l’entrevue avec Ming [Liu Ming, le médecin oriental du « pape » François] est publiée sous le titre :  » François vivra jusqu’à 140 ans, dit son médecin chinois. « 

Hérésies avec les musulmans.

François baise les pieds des femmes et d’un homme musulman dans le rite du Jeudi saint le 17 avril 2014.

Le rite du Jeudi Saint représente le Sacerdoce de Christ purifiant Ses fidèles. Pas ceux hors de l’Église. Apostasie totale.

Antipape François à la mosquée bleue d’Istanbul, le 29 novembre 2014 : « Musulmans et Chrétiens, nous sommes dépositaires d’inestimables trésors spirituels parmi lesquels nous reconnaissons des éléments qui nous sont communs».

Comme ses prédecesseurs antipapes et apostats Paul 6, Jean-Paul 2 et Benoit 16, l’antipape François (ou monsieur Bergoglio, un laïc apostat) à la tête de la secte vatican 2, honore la fausse religion de Mahomet au lieu d’exhorter les musulmans à se convertir au Christ et à son Eglise une, sainte, catholique et apostolique pour pouvoir être sauvés.

1. Il dit «musulmans et Chrétiens, nous sommes dépositaires d’inestimables trésors spirituels parmi lesquels nous reconnaissons des éléments qui nous sont communs» : c’est une hérésie et une apostasie de la foi.

2. De plus, il ne confesse pas la foi catholique exhortant à se convertir pour être sauvé : c’est un péché mortel.

3. Il met les pieds à la mosquée : c’est un acte d’apostasie publique.

4. Il entraîne les autres au mêmes péchés et à la damnation : c’est un péché de scandale.

Jamais un pape ne mettrait les pieds dans un temple d’une fausse religion : un hérétique (et apostat) ne peut pas être pape.

Ceux qui persistent à croire que ce type est un pape, en voyant cela, sont des hérétiques, et sont perdus, à moins qu’ils se coupent de leurs sectes non-catholiques, de leurs hérésies, pour se convertir à la foi catholique.

IV | Diverses hérésies de Bergoglio contre les dogmes catholiques

« Communion » accordée à des défenseurs acharnés de l’avortement

Celle-ci fut donnée à Joe Biden, vice-président des É.-U., ainsi qu’à Nancy Pelosi, membre du parti Démocrate américain et Oratrice de la Chambre des représentants (équivalents de députés et dont la majorité est, au moins jusqu’en 2014, Démocrate) lors de la messe d’installation du pape François Ier. Nancy Pelosi a fait bloc avec l’administration Obama afin d’imposer, aux hôpitaux et aux assurances médicales catholiques, l’obligation d’accepter la gestion et prise en compte des avortements et des moyens de contraception. Perceptiblement, Joe Biden et Nancy Pelosi ont reçu l’hostie mais, en vérité, à ceux qui sont en état de péché mortel, la sainte communion est refusée. Une vraie charité aurait amené le pape à réprouver les pécheurs publics et à leur refuser l’eucharistie, à refuser le sacrilège; voire à les exhorter à la repentance sous peine d’excommunication.
Le cardinal Bergoglio avait pourtant réaffirmé, en 2007, sa ferme opposition aux « communions » accordées à des politiciens défendant des positions opposées aux dogmes et lois morales essentielles de l’Église.

Modernisme du laïc Bergoglio

Sermon du Père Cantalamessa du récent vendredi saint, au Vatican devant Bergoglio qui l’approuve :

Il y cite le conte du juif athée Kafka, en comparant l’Eglise à une forteresse devenue prison pour le Christ qui frappe à la porte non pour entrer dans l’Eglise mais pour en sortir, empêché ainsi de transmettre son message au monde à cause “des murs de séparation, à partir de ceux qui séparent les différentes églises chrétiennes entre elles, l’excès du bureaucratie, les résidus de cérémonies, les lois et controverses passées, devenus désormais de simples détritus”… (http://kairosterzomillennio.blogspot.it/2013/03/padre-cantalamessa-predica-del-venerdi.html)

Hérésie sur l’Ecriture sainte

LES PAINS NE SE MULTIPLIERENT PAS…

Jorge M. Bergoglio, 17 mai 2013, Cité du Vatican : « (…) En particulier pour ce qui est des pains et des poissons, ceux-ci “ne se multiplièrent pas”, a-t-il expliqué, mais « simplement ils furent sans limite, comme fut sans limite l’huile de la veuve. Quand on dit “multiplier”, on peut se tromper et croire qu’il s’agit d’un tour de magie… non, simplement, c’est la grandeur de Dieu et de l’amour qui a mis ceci dans notre cœur : que si nous le voulons, ce que nous possédons n’a pas de fin (…) » (http://www.zenit.org/it/articles/papa-francesco-si-vendano-le-chiese-per-dare-da-mangiare-ai-piu-poveri)

Proposition n°14 condamnée par le Saint Office par le décret Lamentabili du 7 juillet 1907 : « Les Évangélistes rapportèrent, dans de nombreux récits, bien moins ce qui se produisit réellement que ce qu’eux-mêmes considérèrent de plus utile pour les lecteurs, cela fût-il faux ».

Hérésie sur les athés

Les athés sont sauvés !

Le 22 mai 2013, le Père François, «Evêque de Rome» (sic) a déclaré : « Le Seigneur a racheté tout le monde avec le sang du Christ , tous, pas seulement les catholiques, tous. Et les athées ? Eux aussi, tous. C’est ce sang qui fait de nous des fils de Dieu ! » (Osservatore Romano News-va – 22 mai 2013)

L’antipape François assure aux athées : Vous n’avez pas à croire en Dieu pour aller au ciel.

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Il dit que le Seigneur a racheté LES ATHES AUSSI : APOSTASIE TOTALE de le FOI cxatholique. Qui nie le dogme et refuse le Christ ne peut être sauvé.

François pas si opposé au mariage des « prêtres ».

Canon 9, 24ème session du Concile de Trente : « Que celui-là soit hérétique, qui soutient que les ecclésiastiques promus aux ordres sacrés, ou les moines qui ont fait vœu de chasteté peuvent se marier, et que leur mariage est valide, nonobstant les lois ecclésiastiques qui l’ont défendu. »

Pape Pie XI, Encyclique Ad catholici sacerdotii fastigium, 20 décembre 1935 : «De fait, la loi du célibat ecclésiastique, dont la première trace écrite, qui suppose évidemment une coutume plus ancienne, se rencontre dans un canon du Concile d’Elvire au début du IVe siècle, alors que la persécution sévissait encore, ne fait que rendre obligatoire une certaine exigence morale, pourrions-nous dire, qui ressort de l’Evangile et la prédication apostolique. Constater la haute estime dont le divin Maître avait fait montre pour la chasteté en l’exaltant comme une chose qui dépasse les forces ordinaires (cf. Mt 19, 11) ; savoir qu’il était  » fleur d’une mère vierge « , et depuis l’enfance élevé dans la famille virginale de Marie et de Joseph ; voir sa prédilection pour les âmes pures, comme les deux Jean, le Baptiste et l’Evangéliste ; entendre le grand Apôtre Paul, fidèle interprète de la loi évangélique et des pensées du Christ, prêcher le prix inestimable de la virginité, spécialement dans le but d’un service de Dieu plus assidu : celui qui est sans épouse se préoccupe des choses du Seigneur ; il cherche comment plaire à Dieu (1 Co 7, 32) ; tout cela devrait pour ainsi dire nécessairement faire sentir aux prêtres de la Nouvelle Alliance l’attrait céleste de cette vertu choisie, leur faire désirer d’être du nombre de ceux à qui il a été donné de comprendre cette parole (cf. Mt 19, 11), et leur faire adopter spontanément cette observance, sanctionnée très tôt par une loi très grave dans toute l’Eglise latine, « afin que ce que les Apôtres ont enseigné – comme l’affirme à la fin du IVe siècle le IIIe Concile de Carthage – et ce que nos prédécesseurs ont observé, nous aussi, nous y soyons fidèles…. Ainsi libéré des principaux liens qui pourraient le tenir attaché au monde, le prêtre sera davantage enflammé de ce feu céleste de l’amour, l’amour des âmes s’entend, qui jaillit du Cœur de Jésus-Christ et ne cherche qu’à se communiquer aux cœurs apostoliques et à embraser toute la terre».

Pour monsieur Bergoglio Dieu n’est pas CATHOLIQUE

Il confesse enfin croire en Dieu, « non en un Dieu catholique – il n’existe pas un Dieu catholique, il existe Dieu ».

Une Tradition non traditionnelle…?… !

« L’Église est apostolique à cause de son lien profond et constitutif avec les Apôtres, choisis, appelés et envoyés par Jésus. Elle est fondée sur leur prédication et l’autorité que Jésus leur a donnée.
Elle est comme un édifice formé de pierres vivantes que sont les chrétiens, et dont la pierre angulaire est Jésus. L’Église est apostolique en ce sens qu’elle garde et transmet, avec l’aide de l’Esprit Saint, l’enseignement, le bon dépôt, les saines paroles entendues des apôtres.
Elle conserve la Sainte Écriture, la doctrine, les Sacrements, le ministère des Pasteurs, de telle sorte que nous puissions être fidèles au Christ et participer à sa vie.
L’Église est apostolique, car elle est envoyée pour porter l’Évangile au monde entier.
Une Église qui s’enferme sur elle-même et sur son passé trahit sa propre identité.
Découvrons alors toute la beauté et la responsabilité d’être Église apostolique. »

François : « qui suis-je pour juger une personne gay ? »

Monsieur Bergoglio est un hérétique doublé d’un apostat : tout chrétien (catholique) qui obéit à la parole de Dieu peut dire que l’homosexualité est contre-nature et est une idolâtrie :

Romains 1 : « Parce que, quand ils ont connu Dieu, ils ne l’ont pas glorifié comme Dieu, ou ne Lui ont pas rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été assombri … qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge ; et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions honteuses. Car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature. Et, de la même manière, les hommes aussi, abandonnant l’usage naturel de la femme, ont brûlé dans leurs désirs les uns envers les autres, les hommes avec les hommes dans un commerce infâme, et recevant en eux-mêmes la récompense qui était due à leur erreur … ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, et pas seulement ceux qui les font, mais aussi ceux qui les approuvent ».

Les homosexuels, non-repentis véritablement et convertis vraiment, n’héritent pas du ciel mais descendent en enfer :

Apocalypse 21, 8 : « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l’étang ardent de feu et de soufre: c’est la seconde mort.. »

Apocalypse 22, 15 : « Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne ! »

L' »encyclique » monstrueuse bicéphale à quatre mains.

Lumen Fidei (Lumière de la Foi) encyclique écrite à “quatre mains” par l’antipape François et l’antipape « émérite » Benoît 16 parue le 5 juillet…

Le texte de 82 pages souligne que il n’y a pas de contradiction entre la foi catholique et le monde moderne et appelle à plus de dialogue avec les scientifiques, les autres religions et les non-croyants.

Lumen fidei – François

Ce texte est un bla bla sans matière mélangeant le faux – citations de philosophes, New-Age, et le vrai – citations de saints, de doctrine de l’Eglise et de l’Ecriture Sainte – pour mieux noyer l’apostasie d’humanisme-naturalisme-illuminisme-écologisme de la religion universelle du nouvel ordre mondial.

C’est effectivement la « lumière de la foi » non-catholique, la lumière luciférienne de l’apostasie.

L' »exhortation apostolique » du 27 novembre 2013 de l’antipape François : ce ne sont plus les fidèles qui reçoivent la Parole de Dieu et les directives de l’Eglise hiérarchique, ce sont eux qui pilotent ensemble avec les quelques « pasteurs ».
C’est bien tout le contraire de la Tradition : exactement la doctrine de l’encyclique « Pascendi » de saint Pie X (septembre 1907) à l’envers, où cette doctrine était condamnée.

Hérésies de l’EXHORTATION APOSTOLIQUE EVANGELII GAUDIUM SUR L’ANNONCE DE L’ÉVANGILE DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI

Extraits hérétiques et apostats :

52. La relation avec les croyants de l’Islam acquiert à notre époque une grande importance. Ils sont aujourd’hui particulièrement présents en de nombreux pays de tradition chrétienne, où ils peuvent célébrer librement leur culte et vivre intégrés dans la société. Il ne faut jamais oublier qu’ils « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour ».[198] Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie sont objet de profonde vénération ; et il est admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres.

111. L’évangélisation est la tâche de l’Église. Mais ce sujet de l’évangélisation est bien plus qu’une institution organique et hiérarchique, car avant tout c’est un peuple qui est en marche vers Dieu. Il s’agit certainement d’un mystère qui plonge ses racines dans la Trinité, mais qui a son caractère concret historique dans un peuple pèlerin et évangélisateur, qui transcende toujours toute expression institutionnelle même nécessaire.

119. Dans tous les baptisés, du premier au dernier, agit la force sanctificatrice de l’Esprit qui incite à évangéliser. Le Peuple de Dieu est saint à cause de cette onction que le rend infaillible “in credendo”. Cela signifie que quand il croit il ne se trompe pas, même s’il ne trouve pas les paroles pour exprimer sa foi. L’Esprit le guide dans la vérité et le conduit au salut. [Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. dogm. Lumen gentium, sur l’Église, n. 12.] Comme faisant partie de son mystère d’amour pour l’humanité, Dieu dote la totalité des fidèles d’un instinct de la foi – lesensus fidei – qui les aide à discerner ce qui vient réellement de Dieu. La présence de l’Esprit donne aux chrétiens une certaine connaturalité avec les réalités divines et une sagesse qui leur permet de les comprendre de manière intuitive, même s’ils ne disposent pas des moyens appropriés pour les exprimer avec précision.

120. En vertu du Baptême reçu, chaque membre du Peuple de Dieu est devenu disciple missionnaire (cf. Mt 28, 19). Chaque baptisé, quelle que soit sa fonction dans l’Église et le niveau d’instruction de sa foi, est un sujet actif de l’évangélisation, et il serait inadéquat de penser à un schéma d’évangélisation utilisé pour des acteurs qualifiés, où le reste du peuple fidèle serait seulement destiné à bénéficier de leurs actions. La nouvelle évangélisation doit impliquer que chaque baptisé soit protagoniste d’une façon nouvelle. Cette conviction se transforme en un appel adressé à chaque chrétien, pour que personne ne renonce à son engagement pour l’évangélisation, car s’il a vraiment fait l’expérience de l’amour de Dieu qui le sauve, il n’a pas besoin de beaucoup de temps de préparation pour aller l’annoncer, il ne peut pas attendre d’avoir reçu beaucoup de leçons ou de longues instructions. Tout chrétien est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l’amour de Dieu en Jésus Christ ; nous ne disons plus que nous sommes « disciples » et « missionnaires », mais toujours que nous sommes« disciples-missionnaires ». Si nous n’en sommes pas convaincus, regardons les premiers disciples, qui immédiatement, après avoir reconnu le regard de Jésus, allèrent proclamer pleins de joie : « Nous avons trouvé le Messie » (Jn 1, 41). La samaritaine, à peine eut-elle fini son dialogue avec Jésus, devint missionnaire, et beaucoup de samaritains crurent en Jésus « à cause de la parole de la femme » (Jn 4, 39). Saint Paul aussi, à partir de sa rencontre avec Jésus Christ, « aussitôt se mit à prêcher Jésus » (Ac 9, 20 ). Et nous, qu’attendons-nous ?

246. Étant donné la gravité du contre témoignage de la division entre chrétiens, particulièrement en Asie et en Afrique, la recherche de chemins d’unité devient urgente. Les missionnaires sur ces continents répètent sans cesse les critiques, les plaintes et les moqueries qu’ils reçoivent à cause du scandale des chrétiens divisés. Si nous nous concentrons sur les convictions qui nous unissent et rappelons le principe de la hiérarchie des vérités, nous pourrons marcher résolument vers des expressions communes de l’annonce, du service et du témoignage. La multitude immense qui n’a pas reçu l’annonce de Jésus Christ ne peut nous laisser indifférents. Néanmoins, l’engagement pour l’unité qui facilite l’accueil de Jésus Christ ne peut être pure diplomatie, ni un accomplissement forcé, pour se transformer en un chemin incontournable d’évangélisation. Les signes de division entre les chrétiens dans des pays qui sont brisés par la violence, ajoutent d’autres motifs de conflit de la part de ceux qui devraient être un actif ferment de paix. Elles sont tellement nombreuses et tellement précieuses, les réalités qui nous unissent ! Et si vraiment nous croyons en la libre et généreuse action de l’Esprit, nous pouvons apprendre tant de choses les uns des autres ! Il ne s’agit pas seulement de recevoir des informations sur les autres afin de mieux les connaître, mais de recueillir ce que l’Esprit a semé en eux comme don aussi pour nous. Simplement, pour donner un exemple, dans le dialogue avec les frères orthodoxes, nous les catholiques, nous avons la possibilité d’apprendre quelque chose de plus sur le sens de la collégialité épiscopale et sur l’expérience de la synodalité. À travers un échange de dons, l’Esprit peut nous conduire toujours plus à la vérité et au bien.

247. Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’Alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée, parce que « les dons et les appels de Dieu sont sans repentance » (Rm 11, 29). L’Église, qui partage avec le Judaïsme une part importante des Saintes Écritures, considère le peuple de l’Alliance et sa foi comme une racine sacrée de sa propre identité chrétienne (cf. Rm 11, 16-18). En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas considérer le judaïsme comme une religion étrangère, ni classer les juifs parmi ceux qui sont appelés à laisser les idoles pour se convertir au vrai Dieu (cf. 1Th 1, 9). Nous croyons ensemble en l’unique Dieu qui agit dans l’histoire, et nous accueillons avec eux la commune Parole révélée.

248. Le dialogue et l’amitié avec les fils d’Israël font partie de la vie des disciples de Jésus. L’affection qui s’est développée nous porte à nous lamenter sincèrement et amèrement sur les terribles persécutions dont ils furent l’objet, en particulier celles qui impliquent ou ont impliqué des chrétiens.

249. Dieu continue à œuvrer dans le peuple de la première Alliance et fait naître des trésors de sagesse qui jaillissent de sa rencontre avec la Parole divine. Pour cela, l’Église aussi s’enrichitlorsqu’elle recueille les valeurs du Judaïsme. Même si certaines convictions chrétiennes sont inacceptables pour le Judaïsme, et l’Église ne peut pas cesser d’annoncer Jésus comme Seigneur et Messie, il existe une riche complémentarité qui nous permet de lire ensemble les textes de la Bible hébraïque et de nous aider mutuellement à approfondir les richesses de la Parole, de même qu’à partager beaucoup de convictions éthiques ainsi que la commune préoccupation pour la justice et le développement des peuples.

253. Pour soutenir le dialogue avec l’Islam une formation adéquate des interlocuteurs est indispensable, non seulement pour qu’ils soient solidement et joyeusement enracinés dans leur propre identité, mais aussi pour qu’ils soient capables de reconnaître les valeurs des autres, de comprendre les préoccupations sous jacentes à leurs plaintes, et de mettre en lumière les convictions communes. Nous chrétiens, nous devrions accueillir avec affection et respect les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays, de la même manière que nous espérons et nous demandons à être accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique. Je prie et implore humblement ces pays pour qu’ils donnent la liberté aux chrétiens de célébrer leur culte et de vivre leur foi, prenant en compte la liberté dont les croyants de l’Islam jouissent dans les pays occidentaux ! Face aux épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent, l’affection envers les vrais croyants de l’Islam doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations, parce que le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. »

DOGME INFAILLIBLE DE L’EGLISE à tenir sous peine de péché mortel et d’excommunication ipso facto d’hérésie en connaissance de cause (si on le connait et qu’on s’obstine à le nier) :

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino , 1441, ex-cathedra : Elle [La très sainte Eglise romaine] croit fermement, professe et prêche qu’«aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement païens» mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent pas devenir participants à la vie éternelle, mais iront «dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges» [Mt 25, 41], à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés; …

Pape Eugène IV, Concile de Florence , Athanase, Sess. 8, le 22 novembre 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, à moins qu’il la conserve intègre et inviolée, il périra sans aucun doute pour l’éternité. – Mais la foi catholique est que nous adorons un seul Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’unité …
« Mais il est nécessaire pour le salut éternel qu’il croit fidèlement aussi à l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ … le Fils de Dieu est Dieu et homme … Telle est la foi catholique ; si chacun ne garde cette foi fidèlement et fermement, il ne peut pas être sauvé « .

Pape Vigile, deuxième concile de Constantinople , 553, ex cathedra : « L’hérétique, même s’il n’a pas été condamné officiellement par un individu, en réalité apporte anathème sur lui-même, s’étant coupé du chemin de la vérité par son hérésie. Quelle réponse ces personnes peuvent apporter à l’Apôtre quand il écrit : Comme pour quelqu’un qui est factieux, après l’avoir repris une ou deux fois, ne plus rien avoir à faire avec lui, sachant qu’une telle personne est perverti et pécheresse, il est auto-condamné (Tite 3:10). « 

Pape Léon X, cinquième Concile de Latran, Session 8, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons strictement l’enseignement contraire à être autorisé. Nous décretons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, sèment des hérésies qui sont totalement condamnées, et devraient être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique ».

Evangelii Gaudium totalement hérétique

L' »exhortation apostolique » du 27 novembre 2013 de l’antipape François : ce ne sont plus les fidèles qui reçoivent la Parole de Dieu et les directives de l’Eglise hiérarchique, ce sont eux qui pilotent ensemble avec les quelques « pasteurs ».
C’est bien tout le contraire de la Tradition : exactement la doctrine de l’encyclique « Pascendi » de saint Pie X (septembre 1907) à l’envers, où cette doctrine était condamnée.

Hérésies de l’EXHORTATION APOSTOLIQUE EVANGELII GAUDIUM SUR L’ANNONCE DE L’ÉVANGILE DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI

Extraits hérétiques et apostats :

52. La relation avec les croyants de l’Islam acquiert à notre époque une grande importance. Ils sont aujourd’hui particulièrement présents en de nombreux pays de tradition chrétienne, où ils peuvent célébrer librement leur culte et vivre intégrés dans la société. Il ne faut jamais oublier qu’ils « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour ».[198] Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie sont objet de profonde vénération ; et il est admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres.

111. L’évangélisation est la tâche de l’Église. Mais ce sujet de l’évangélisation est bien plus qu’une institution organique et hiérarchique, car avant tout c’est un peuple qui est en marche vers Dieu. Il s’agit certainement d’un mystère qui plonge ses racines dans la Trinité, mais qui a son caractère concret historique dans un peuple pèlerin et évangélisateur, qui transcende toujours toute expression institutionnelle même nécessaire.

119. Dans tous les baptisés, du premier au dernier, agit la force sanctificatrice de l’Esprit qui incite à évangéliser. Le Peuple de Dieu est saint à cause de cette onction que le rend infaillible “in credendo”. Cela signifie que quand il croit il ne se trompe pas, même s’il ne trouve pas les paroles pour exprimer sa foi. L’Esprit le guide dans la vérité et le conduit au salut. [Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. dogm. Lumen gentium, sur l’Église, n. 12.] Comme faisant partie de son mystère d’amour pour l’humanité, Dieu dote la totalité des fidèles d’un instinct de la foi – lesensus fidei – qui les aide à discerner ce qui vient réellement de Dieu. La présence de l’Esprit donne aux chrétiens une certaine connaturalité avec les réalités divines et une sagesse qui leur permet de les comprendre de manière intuitive, même s’ils ne disposent pas des moyens appropriés pour les exprimer avec précision.

120. En vertu du Baptême reçu, chaque membre du Peuple de Dieu est devenu disciple missionnaire (cf. Mt 28, 19). Chaque baptisé, quelle que soit sa fonction dans l’Église et le niveau d’instruction de sa foi, est un sujet actif de l’évangélisation, et il serait inadéquat de penser à un schéma d’évangélisation utilisé pour des acteurs qualifiés, où le reste du peuple fidèle serait seulement destiné à bénéficier de leurs actions. La nouvelle évangélisation doit impliquer que chaque baptisé soit protagoniste d’une façon nouvelle. Cette conviction se transforme en un appel adressé à chaque chrétien, pour que personne ne renonce à son engagement pour l’évangélisation, car s’il a vraiment fait l’expérience de l’amour de Dieu qui le sauve, il n’a pas besoin de beaucoup de temps de préparation pour aller l’annoncer, il ne peut pas attendre d’avoir reçu beaucoup de leçons ou de longues instructions. Tout chrétien est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l’amour de Dieu en Jésus Christ ; nous ne disons plus que nous sommes « disciples » et « missionnaires », mais toujours que nous sommes« disciples-missionnaires ». Si nous n’en sommes pas convaincus, regardons les premiers disciples, qui immédiatement, après avoir reconnu le regard de Jésus, allèrent proclamer pleins de joie : « Nous avons trouvé le Messie » (Jn 1, 41). La samaritaine, à peine eut-elle fini son dialogue avec Jésus, devint missionnaire, et beaucoup de samaritains crurent en Jésus « à cause de la parole de la femme » (Jn 4, 39). Saint Paul aussi, à partir de sa rencontre avec Jésus Christ, « aussitôt se mit à prêcher Jésus » (Ac 9, 20 ). Et nous, qu’attendons-nous ?

246. Étant donné la gravité du contre témoignage de la division entre chrétiens, particulièrement en Asie et en Afrique, la recherche de chemins d’unité devient urgente. Les missionnaires sur ces continents répètent sans cesse les critiques, les plaintes et les moqueries qu’ils reçoivent à cause du scandale des chrétiens divisés. Si nous nous concentrons sur les convictions qui nous unissent et rappelons le principe de la hiérarchie des vérités, nous pourrons marcher résolument vers des expressions communes de l’annonce, du service et du témoignage. La multitude immense qui n’a pas reçu l’annonce de Jésus Christ ne peut nous laisser indifférents. Néanmoins, l’engagement pour l’unité qui facilite l’accueil de Jésus Christ ne peut être pure diplomatie, ni un accomplissement forcé, pour se transformer en un chemin incontournable d’évangélisation. Les signes de division entre les chrétiens dans des pays qui sont brisés par la violence, ajoutent d’autres motifs de conflit de la part de ceux qui devraient être un actif ferment de paix. Elles sont tellement nombreuses et tellement précieuses, les réalités qui nous unissent ! Et si vraiment nous croyons en la libre et généreuse action de l’Esprit, nous pouvons apprendre tant de choses les uns des autres ! Il ne s’agit pas seulement de recevoir des informations sur les autres afin de mieux les connaître, mais de recueillir ce que l’Esprit a semé en eux comme don aussi pour nous. Simplement, pour donner un exemple, dans le dialogue avec les frères orthodoxes, nous les catholiques, nous avons la possibilité d’apprendre quelque chose de plus sur le sens de la collégialité épiscopale et sur l’expérience de la synodalité. À travers un échange de dons, l’Esprit peut nous conduire toujours plus à la vérité et au bien.

247. Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’Alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée, parce que « les dons et les appels de Dieu sont sans repentance » (Rm 11, 29). L’Église, qui partage avec le Judaïsme une part importante des Saintes Écritures, considère le peuple de l’Alliance et sa foi comme une racine sacrée de sa propre identité chrétienne (cf. Rm 11, 16-18). En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas considérer le judaïsme comme une religion étrangère, ni classer les juifs parmi ceux qui sont appelés à laisser les idoles pour se convertir au vrai Dieu (cf. 1Th 1, 9). Nous croyons ensemble en l’unique Dieu qui agit dans l’histoire, et nous accueillons avec eux la commune Parole révélée.

248. Le dialogue et l’amitié avec les fils d’Israël font partie de la vie des disciples de Jésus. L’affection qui s’est développée nous porte à nous lamenter sincèrement et amèrement sur les terribles persécutions dont ils furent l’objet, en particulier celles qui impliquent ou ont impliqué des chrétiens.

249. Dieu continue à œuvrer dans le peuple de la première Alliance et fait naître des trésors de sagesse qui jaillissent de sa rencontre avec la Parole divine. Pour cela, l’Église aussi s’enrichitlorsqu’elle recueille les valeurs du Judaïsme. Même si certaines convictions chrétiennes sont inacceptables pour le Judaïsme, et l’Église ne peut pas cesser d’annoncer Jésus comme Seigneur et Messie, il existe une riche complémentarité qui nous permet de lire ensemble les textes de la Bible hébraïque et de nous aider mutuellement à approfondir les richesses de la Parole, de même qu’à partager beaucoup de convictions éthiques ainsi que la commune préoccupation pour la justice et le développement des peuples.

253. Pour soutenir le dialogue avec l’Islam une formation adéquate des interlocuteurs est indispensable, non seulement pour qu’ils soient solidement et joyeusement enracinés dans leur propre identité, mais aussi pour qu’ils soient capables de reconnaître les valeurs des autres, de comprendre les préoccupations sous jacentes à leurs plaintes, et de mettre en lumière les convictions communes. Nous chrétiens, nous devrions accueillir avec affection et respect les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays, de la même manière que nous espérons et nous demandons à être accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique. Je prie et implore humblement ces pays pour qu’ils donnent la liberté aux chrétiens de célébrer leur culte et de vivre leur foi, prenant en compte la liberté dont les croyants de l’Islam jouissent dans les pays occidentaux ! Face aux épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent, l’affection envers les vrais croyants de l’Islam doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations, parce que le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. »

DOGME INFAILLIBLE DE L’EGLISE à tenir sous peine de péché mortel et d’excommunication ipso facto d’hérésie en connaissance de cause (si on le connait et qu’on s’obstine à le nier) :

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino , 1441, ex-cathedra : Elle [La très sainte Eglise romaine] croit fermement, professe et prêche qu’«aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement païens» mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent pas devenir participants à la vie éternelle, mais iront «dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges» [Mt 25, 41], à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés; …

Pape Eugène IV, Concile de Florence , Athanase, Sess. 8, le 22 novembre 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, à moins qu’il la conserve intègre et inviolée, il périra sans aucun doute pour l’éternité. – Mais la foi catholique est que nous adorons un seul Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’unité …
« Mais il est nécessaire pour le salut éternel qu’il croit fidèlement aussi à l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ … le Fils de Dieu est Dieu et homme … Telle est la foi catholique ; si chacun ne garde cette foi fidèlement et fermement, il ne peut pas être sauvé « .

Pape Vigile, deuxième concile de Constantinople , 553, ex cathedra : « L’hérétique, même s’il n’a pas été condamné officiellement par un individu, en réalité apporte anathème sur lui-même, s’étant coupé du chemin de la vérité par son hérésie. Quelle réponse ces personnes peuvent apporter à l’Apôtre quand il écrit : Comme pour quelqu’un qui est factieux, après l’avoir repris une ou deux fois, ne plus rien avoir à faire avec lui, sachant qu’une telle personne est perverti et pécheresse, il est auto-condamné (Tite 3:10). « 

Pape Léon X, cinquième Concile de Latran, Session 8, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons strictement l’enseignement contraire à être autorisé. Nous décretons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, sèment des hérésies qui sont totalement condamnées, et devraient être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique ».

L’hérésiarque françois comme TOUS ses prédécésseurs hérésiarques de la secte vatican 2, dit que l’Islam a le même dieu que les « catholiques » (qui sont non catholiques).

Ces archi-hérétiques manifestes vatican 2 DOIVENT, en connaissance de cause, être évités dans TOUS les sens du terme.

Les hérétiques en effet, sont pire que les assassins car ils tuent éternellement les âmes.

Très grave hérésie de François : Jésus est consubstantiel à sa Mère. Et un blasphème : le nom de Dieu est chacun.

(à l’occasion de son 77ème anniversaire avec des sans-abri à la maison Sainte-Marthe Rome, 17 décembre 2013)

Antipape François : « Une fois, j’ai entendu quelqu’un dire : « Ce passage de l’Evangile semble l’annuaire ! Non, c’est autre chose : ce passage de l’Evangile est l’histoire et a un argument important. C’est l’histoire, parce que Dieu, comme le dit saint Léon le Pape, Dieu a envoyé son Fils. Et Jésus est consubstantiel au Père, Dieu, mais aussi inséparable de la mère, une femme. Et c’est une consubstantialité de la mère [1]. Dieu a fait l’histoire. Dieu a voulu faire de l’histoire. Il est avec nous. Il a fait le voyage avec nous.

 » Dieu prend le prénom [de chacun] pour en faire son nom : “Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, de Pedro, de Marietta, d’Harmony, de Marisa, de Simon, de tous !”. Le nom de Dieu, c’est chacun [2]». »

Explication :

[1] Concile de Tolède (675) : « Les trois personnes divines sont un seul Dieu et non trois dieux parce qu’elles sont une seule substance, une essence, une nature, une immensité, une éternité. »

Pourquoi l’Eglise at-elle distingué la nature et la substance ? Parce que Dieu seul partage une même substance en trois Personnes. Deux êtres humains partagent la même nature, mais non la même substance. Le Christ ne peut pas pas partager sa substance avec sa Mère, mais sa nature (humanité).

Si le Christ est consubstantiel à sa mère cela signifie qu’elle est Dieu ! Qui oserait le penser ?

[2] Dieu ne partage pas sa substance avec aucune créature et dire que le nom de Dieu c’est l’homme est un blasphème et c’est mettre l’homme à la place de Dieu : c’est antéchrist.

L’hérésie (nier le dogme) est un pire péché contre la foi qui excommunie ipso facto (anathème).

Un hérétique ne peut pas être pape puisqu’il est hors de l’Eglise catholique. Celui qui est en communion avec un hérétique connu est excommunié.

François blasphème la Mère de Dieu

«La mère de Jésus était l’icône parfaite du silence de la proclamation de sa maternité exceptionnelle au Calvaire. Combien de fois elle est restée calme et combien de fois elle n’a pas dit ce qu’elle sentait pour garder le mystère de sa relation avec son fils, jusqu’au silence le plus brut au pied de la croix. L’Evangile ne nous dit rien : si elle disait un mot ou pas … Elle se tut, mais dans son cœur, combien de choses [elle] dit au Seigneur !, et d’autre que nous lisons,

«Vous, ce jour-là, vous m’aviez dit qu’il serait bien, vous m’aviez dit que vous lui auriez donné le trône de David, son ancêtre, qu’il aurait régné à jamais et maintenant je le vois là ! Notre-Dame était humaine ! Et peut-être qu’elle a même envie de dire : «Mensonges ! Je me trompais ! Jean-Paul II disait cela, parlant de Notre-Dame à ce moment. Mais elle, avec son silence, a permis au mystère caché qu’elle ne comprenait pas, de croître et de s’épanouir dans l’espérance».

« Pape : garder le silence de sa relation avec Dieu », Radio Vatican, le 20 décembre 2013

Encore une hérésie de plus de François, le 20 janvier 2014

« Partager notre expérience en portant cette croix pour arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies : il est important que vous fassiez cela lors de vos réunions. Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le coran. La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer ».

Pour dire cela, il faut n’être pas catholique du tout et un méchant anti-christ, car c’est dire à des âmes dans une fausse religion d’y continuer pour aller dans l’enfer éternel au lieu de leur enseigner « Jésus-Christ, le seul nom par lequel on peut être sauvés ».

Francois = « amour », pas le dogme : Il s’agit d’un prêche satanique.

Voir vidéo François : vers le syncrétisme religieux ?

Hérésie puissance hérésie

Antipape François, interview au journal argentin La Nacion, 5 octobre 2014 : «… Le monde a changé et l’Église ne peut pas s’enfermer dans des interprétations présumées du dogme ».

Il n’y a qu’une seule façon de croire le dogme : comme la sainte mère Église l’a déclaré une fois pour toutes.

Un hérétique est un baptisé qui rejette ou nie un dogme ou une vérité à croire de foi divine et catholique de l’Eglise Catholique. Les hérétiques sont automatiquement excommuniés par l’Eglise sans aucune déclaration, pour rejeter un enseignement bien fondé de la foi catholique.

Pape Pie IX, premier concile du Vatican , Sess. 3, chap. 2, sur la Révélation, 1870, ex cathedra : « Ainsi, également, la compréhension de ses dogmes sacrés doit être perpétuellement retenue, telle que la Sainte Mère l’Église a une fois déclaré, et il ne doit jamais y avoir une récession à partir de cette signification sous le nom spécieux d’une compréhension plus profonde».

Un des principaux problèmes avec des groupes plus traditionnels «catholiques» et avec le Concile hérétique vatican 2 – « I’église » vatican 2 – est l’écart constant et obstiné du vrai sens littéral des dogmes comme ils ont été une fois infailliblement déclarés. Comme nous l’apprenons ci-dessus, il ne peut jamais avoir une récession de la véritable signification des dogmes tels qu’ils ont été une fois déclarés sous le nom spécieux de compréhension.

Ainsi, nous sommes obligés d’accepter les dogmes tels qu’ils sont écrits sous peine de péché mortel.

Cette définition du Concile du Vatican (Vatican I, 1870) est d’une importance cruciale pour la pureté dogmatique, parce que le principal moyen que le diable tente d’utiliser pour corrompre les doctrines du Christ est d’obtenir que les hommes reculent (s’éloignent) à partir des dogmes de l’Eglise tels qu’ils ont été une fois déclarés. Il n’y a pas d’autre sens d’un dogme que ce que les mots eux-mêmes sont et déclarent, de sorte que le diable essaie d’amener les hommes à «comprendre» et «interpréter» ces mots d’une manière qui est différente de la façon dont la sainte mère l’Église les a déclarés.

L’apostat François ne nie pas seulement le dogme catholique révélé, il remet carrément en cause ce qu’est le dogme, c’est-à-dire ce qui fait ce qu’il est.: il nie qu’il existe un dogme révélé, infaillible, immuable définissant la foi, c’est-à-dire qu’il nie la foi catholique et l’Eglise catholiquen’a pas été l’Eglise.

Hérésies contre la loi naturelle

L’hérésiarque François, en s’inclinant, a embrassé la main d’un prêtre leader homosexuel activiste.

L’hérésiarque François, en s’inclinant, a embrassé la main d’un prêtre leader homosexuel activiste, Michele de Paolis, faisant campagne pour que l’Eglise change son enseignement sur l’homosexualité. Auparavant les deux hommes ont « concélébré ». Ce prêtre est cofondateur d’une organisation gay Agedo Foggia opposée à la doctrine chrétienne. http://shoebat.com/2014/06/05/catholic-priest-says-homosexuality-gift-god-bible-word-god-pope-francis-kisses-hand-praises/

Déclaration hérétique sur l’évolution

Antipape François, à l’Académie « pontificale » des sciences, 28 octobre 2014 : « la foi n’est pas incompatible avec le Big Bang ni la théorie de l’évolution »

Fausses canonisations

« Canonisation » de Jean-Paul 2 (procédure médicale truquée des « miracles ») et Jean 23 (sans 2ème « miracle » et par procédure « simplifiée »).

Les canonisations de l’Eglise catholique sont infaillibles, cela prouve que ce sont des faux papes imposteurs qui ne sont pas papes et chefs d’une église fausse qui n’est pas l’Eglise de Notre Seigneur Jésus-Christ CAR le Magistère infaillible de l’Eglise dit qu’un HERETIQUE NE PEUT PAS ETRE PAPE donc encore moins être « canonisé ».

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Le diable a désormais ses « saints » : L’antipape François (en présence de l’antipape Benoit XVI) « canonise » les apostats-hérésiarques Jean 23 et Jean-Paul 2.

«Ad honorem Sanctæ et Individuæ Trinitatis, ad exaltationem fidei catholicæ et vitæ christianæ incrementum, auctoritate Domini nostri Iesu Christi, beatorum Apostolorum Petri et Pauli ac Nostra, matura deliberatione præhabitaet divina ope sæpius implorata, ac de plurimorum fratrum Nostrorum consilio, Beatos Ioannem XXIII et Ioannem Paulum II Sanctos esse decernimus et definimus, ac Sanctorum catalogo adscribimus, statuentes eos in universa Ecclesia inter Sanctos pia devotione recoli debere. In nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti.

«En l’honneur de la Sainte Trinité, par l’exaltation de la foi catholique et l’accroissement de la vie chrétienne, avec l’autorité de Notre Seigneur Jésus Christ, des saints apôtres Pierre et Paul, après avoir longuement réfléchi, invoqué plusieurs fois l’aide de Dieu et écouté l’avis de beaucoup de nos frères dans l’épiscopat, nous déclarons et définissons saints les bienheureux Jean XXIII et Jean Paul II, et nous les inscrivons dans le catalogue des saints et établissons que dans toute l’Eglise ils soient dévotement honorés parmi les saints. » Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. »

L’apostat et hérétique François utilise la formule consacrée de l’Eglise, il s’agit d ‘un sacrilège et un blasphème, maintenant il est officiel que le diable est assis sur le siège prenant la place de Dieu.

Seul un antipape peut « canoniser » des apostats-hérésiarques complets : Les canonisations de l’Église catholique sont infaillibles, il est hérétique que des apostats et hérétiques qui sont hors de l’Église soient proclamé saints. Ces anti-canonisations sont la preuve que la secte vatican 2 n’est pas l’Église.

Si vous acceptez ces canonisations, vous êtes hérétique pour nier le dogme d’infaillibilité papale.

IV. Dernières apostasies de Bergoglio en date

CONTINUATION DE L’APOSTASIE (rejet de la seule foi), DE L’HERESIE (négation obstinée du dogme révélé), DE L’HUMANISME NATURALISTE (homme au centre à la place de Dieu) ET DU NOMINALISME (chacun sa vérité) ET L’ESTIME ET PROMOTION DES FAUSSES RELIGIONS.

L’antipape François en terre sainte avec et en faveur des schismatiques, hérétiques, fausses religions, les juifs et les musulmans.

Antipape François, télégramme au président israélien Shimon Peres (2 jours avant de le rencontrer), 24 mai 2014 : Il dit sa hâte de la rencontre et sa prière demandant « d’abondantes bénédictions divines ».

Antipape François au roi Abdallah II, 24 mai 2014 : «… Je profite de cette occasion pour renouveler mon profond respect et mon estime pour la communauté musulmane, et manifester mon appréciation pour le rôle de guide joué par Sa Majesté le Roi dans la promotion d’une plus juste compréhension des vertus proclamées par l’Islam,…

«J’exprime ma reconnaissance à la Jordanie pour avoir encouragé diverses initiatives importantes en faveur du dialogue interreligieux pour la promotion de la compréhension entre Juifs, Chrétiens et Musulmans, parmi lesquelles le « Message Interreligieux d’Amman », et pour avoir promu au sein de l’ONU la célébration annuelle de la « Semaine d’Harmonie entre les Religions. … dans le respect de la liberté religieuse qui est un droit humain fondamental … à la fois au niveau individuel et collectif, la liberté de suivre sa conscience en matière religieuse et la liberté de culte… la liberté de choisir la religion que l’on juge être vraie et de manifester publiquement sa propre croyance » (Benoît XVI, Exort. Ap. Ecclesia in Medio Oriente, n. 26). ».

Antipape François, 24 mai 2014 à Amman : « L’Esprit Saint est descendu sur Jésus près du Jourdain et a commencé son œuvre de rédemption pour libérer le monde du péché et de la mort. Demandons-lui de préparer nos cœurs à la rencontre avec nos frères au-delà des différences d’idées, de langues, de cultures, de religions ; demandons-lui d’oindre tout notre être de l’huile de sa miséricorde qui guérit les blessures des erreurs, des incompréhensions, des controverses ; demandons-lui de nous envoyer avec humilité et douceur sur les sentiers exigeants, mais féconds, de la recherche de la paix.

«… la diversité de personnes et de pensée ne doit pas provoquer refus et obstacles, parce que la variété est toujours un enrichissement ». Au sein de cette diversité, il s’agit aussi de reconnaître que les hommes ont « tous le même sang » et font « partie du genre humain » : se reconnaître « tous frères » aide à « éloigner de rancunes et divisions » et à « aimer fraternellement ».

François au Président Mahmoud Abbas, 25 mai 2014 : «La liberté religieuse … Le respect de ce droit humain fondamental est, en effet, une des conditions inaliénables de la paix, de la fraternité et de l’harmonie ; il dit au monde qu’il est nécessaire et possible de trouver un bon accord entre cultures et religions différentes ; il témoigne que les choses que nous avons en commun sont si nombreuses et si importantes qu’il est possible de trouver une voie de cohabitation sereine, ordonnée et pacifique, dans l’accueil des différences et dans la joie d’être frères parce que enfants d’un unique Dieu».

« L’unité des chrétiens » :

L’antipape recoit le « patriarche œcuménique » schismatique de Constantinople, Bartholomaios Ier à la Délégation apostolique, où ils signeront une déclaration conjointe.

Ils se rendent ensuite à la basilique de la Résurrection – le Saint-Sépulcre – pour une prière publique au lieu de la résurrection du Christ, avec des représentants d’autres confessions chrétiennes.

A ces trois rencontres entre le l’antipape et le « patriarche » schismatique s’ajoutera la visite de l’antipape au patriarcat grec orthodoxe schismatique de Jérusalem.

Comme ses prédécesseurs apostats Benoit 16 et Jean-Paul 2, l’antipape François dépose une « prière » au mur des lamentations.

Pie VII, Encyclique Post tam diuturnas, 29 avril 1814 : « Par cela même qu’on établit la liberté de tous les cultes sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur et l’on met au rang des sectes hérétiques et même de la perfidie judaïque, l’épouse sainte et immaculée du Christ, l’Eglise hors de laquelle il n’y a pas de salut. En outre, en promettant faveur et appui aux sectes des hérétiques et à leurs ministres, on tolère et on favorise non seulement leurs personnes, mais encore leurs erreurs. C’est implicitement la désastreuse et à jamais déplorable hérésie que saint Augustin mentionne en ces termes : « Elle affirme que tous les hérétiques sont dans la bonne voie et disent vrai, absurdité si monstrueuse que je ne puis croire qu’une secte la professe réellement».

« La porte est toujours ouverte » sur le mariage des « prêtres » (qui n’en sont pas).

Antipape François, durant le vol de retour de son voyage en terre sainte : «L’Eglise catholique a des prêtres mariés. Catholique grecque, copte catholique, dans le rite oriental. Pourquoi ne pas débattre non sur le dogme, mais sur une règle de vie que j’apprécie et qui est un don à l’Église. N’étant pas un dogme de foi, la porte est toujours ouverte».

Canon 9, 24ème session du Concile de Trente : « Que celui-là soit hérétique, qui soutient que les ecclésiastiques promus aux ordres sacrés, ou les moines qui ont fait vœu de chasteté peuvent se marier, et que leur mariage est valide, nonobstant les lois ecclésiastiques qui l’ont défendu. »

Pape Pie XI, Encyclique Ad catholici sacerdotii fastigium, 20 décembre 1935 : «De fait, la loi du célibat ecclésiastique, dont la première trace écrite, qui suppose évidemment une coutume plus ancienne, se rencontre dans un canon du Concile d’Elvire au début du IVe siècle, alors que la persécution sévissait encore, ne fait que rendre obligatoire une certaine exigence morale, pourrions-nous dire, qui ressort de l’Evangile et la prédication apostolique. Constater la haute estime dont le divin Maître avait fait montre pour la chasteté en l’exaltant comme une chose qui dépasse les forces ordinaires (cf. Mt 19, 11) ; savoir qu’il était  » fleur d’une mère vierge « , et depuis l’enfance élevé dans la famille virginale de Marie et de Joseph ; voir sa prédilection pour les âmes pures, comme les deux Jean, le Baptiste et l’Evangéliste ; entendre le grand Apôtre Paul, fidèle interprète de la loi évangélique et des pensées du Christ, prêcher le prix inestimable de la virginité, spécialement dans le but d’un service de Dieu plus assidu : celui qui est sans épouse se préoccupe des choses du Seigneur ; il cherche comment plaire à Dieu (1 Co 7, 32) ; tout cela devrait pour ainsi dire nécessairement faire sentir aux prêtres de la Nouvelle Alliance l’attrait céleste de cette vertu choisie, leur faire désirer d’être du nombre de ceux à qui il a été donné de comprendre cette parole (cf. Mt 19, 11), et leur faire adopter spontanément cette observance, sanctionnée très tôt par une loi très grave dans toute l’Eglise latine, « afin que ce que les Apôtres ont enseigné – comme l’affirme à la fin du IVe siècle le IIIe Concile de Carthage – et ce que nos prédécesseurs ont observé, nous aussi, nous y soyons fidèles…. Ainsi libéré des principaux liens qui pourraient le tenir attaché au monde, le prêtre sera davantage enflammé de ce feu céleste de l’amour, l’amour des âmes s’entend, qui jaillit du Cœur de Jésus-Christ et ne cherche qu’à se communiquer aux cœurs apostoliques et à embraser toute la terre».

L’antipape François réalise un nouvel acte d’apostasie au vatican :

Il réunit « catholiques » « orthodoxes », juifs et musulmans à la prière pour la paix, le dimanche de la pentecôte.

En plus, l’imam musulman, « prie » pour « la victoire sur les infidèles » (jihad) devant eux : Pour la première fois, le Coran est récité au Vatican. Voir Islam

Invocation hérétique pour la paix de l’antipape François le dimanche 8 juin 2014 (document vatican 2) : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/speeches/2014/june/documents/papa-francesco_20140608_invocazione-pace.html

Condamnations de l’Eglise :

Pape Léon X, cinquième concile de Latran, Session 8 et 9, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons strictement d’autre enseignement que celui autorisé. Nous décrétons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, ainsi semence d’hérésies qui sont totalement condamnées, devraient être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique.

«… Tous les faux chrétiens et ceux avec de mauvais sentiments envers la foi, quelle que soit leur race ou nation qu’ils soient, ainsi que les hérétiques et ceux souillés avec une certaine souillure de l’hérésie, ou judaïsants, doivent être totalement exclus de la société des fidèles du Christ et expulsés de n’importe quelle position, en particulier de la curie romaine, et puni d’une peine adéquate … »

Pape Vigile, deuxième concile de Constantinople , 553, ex cathedra : « L’hérétique, même s’il n’a pas été condamné officiellement par un individu, en réalité apporte anathème sur lui-même, s’étant coupé du chemin de la vérité par son hérésie. Quelle réponse ces personnes peuvent apporter à l’Apôtre quand il écrit : Comme pour quelqu’un qui est factieux, après l’avoir repris une ou deux fois, ne plus rien avoir à faire avec lui, sachant qu’une telle personne est perverti et pécheresse, il est auto-condamné (Tite 3:10). »

III ème Concile de Constantinople , 680-681: « Si un ecclésiastique ou un laïc doit aller dans la synagogue des Juifs, ou les lieux de réunion des hérétiques pour se joindre à la prière avec eux, qu’ils soient destitués et privés de communion [excommunié] . Si un évêque ou un prêtre ou un diacre doit s’unir à la prière avec les hérétiques, qu’il soit suspendu de communion [excommunié]. »

Concile de Laodicée, 4ème siècle, (# Canon 6) : « Nul ne peut prier en commun avec les hérétiques et les schismatiques … Il n’est pas permis aux hérétiques d’entrer dans la maison de Dieu, tandis qu’ils continuent dans l’hérésie.

Concile de Carthage : «Il ne faut ni prier ni chanter des psaumes avec les hérétiques, et quiconque communique avec ceux qui sont coupés de la communion de l’Eglise, que ce soit le clergé ou laïc : qu’il soit excommunié.»

Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928 : «…d’aucuns s’efforcent d’obtenir dans les choses qui regardent l’ordre de la Loi nouvelle, apportée par le Christ Notre Seigneur. Convaincus qu’il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l’espoir qu’il serait possible d’amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences, religieuses, à une entente fraternelle sur la profession de certaines doctrines considérées comme un fondement commun de vie spirituelle. C’est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, fréquentés par un nombre appréciable d’auditeurs, et, à leurs discussions, ils invitent tous les hommes indistinctement, les infidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, et même ceux qui, par malheur, se sont séparés du Christ ou qui, avec âpreté et obstination, nient la divinité de sa nature et de sa mission.

«De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu’elles s’appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance. En vérité, les partisans de cette théorie s’égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient, et ils versent par étapes dans le naturalisme et l’athéisme. La conclusion est claire: se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c’est s’éloigner complètement de la religion divinement révélée».

* * *

Jorge Mario Bergoglio, antipape François 0, n’est pas, et n’a jamais été, Pape de l’Eglise Catholique

Résumé :

Bergoglio est un antipape laïc, n’étant même pas prêtre puisqu’il a été ordonné en 1969 selon le novus ordo invalide.

Il s’agit d’un hérétique moderniste, dans la lignée de la doctrine pernicieuse du conciliabus de Vatican II.

Il a déjà nié un grand nombre de dogmes catholiques, et a même été jusqu’à blasphémer contre la mère de Dieu.

C’est un adepte du faux œcuménisme hérétique, qui conforte les infidèles, les hérétiques et les juifs dans leur erreur.

Il a ainsi témoigné à maintes reprises son profond respect envers les juifs, les musulmans et les boudhiste, et soutient que toutes religions peut mener au Ciel. Ceci en totale contradiction avec la position de l’église catholique qui a déclaré infailliblement que tous ceux qui sont hors de l’église iront dans le feu de l’enfer, à moins qu’ils ne se repentissent avant la fin de leur vie.

Cet antipape a déjà fait la promotion indirecte de la déviance contre-nature.

Il s’est par ailleurs dit favorable au mariage des prêtres, en complète aversion avec les lois ecclésiastiques posés par la Sainte Eglise catholique.

Bien entendu, dans la lignée de ses prédécesseurs, il a poussé l’opprobre jusqu’à aller déposer un message sur le mur des lamentations à Jérusalem, niant par la le fait que l’Ancienne Alliance était révolue, et commis un acte hérétique.

Cet antipape est d’une nullité particulière, moderniste jusqu’à la dernière fibre, et s’avère bien entendu très apprecié du monde moderne.

I | Résumé des actes hérétiques du laïc Bergoglio dans la ligne directe de ses prédecesseurs apostats

Jose Bergoglio n’est pas un prêtre valide, il a été « ordonné » en 1969 selon le novus ordo invalide et il n’est pas catholique.

Il a exhorté les membres de toutes les religions et ceux n’appartenant à aucune église à s’unir pour défendre la justice, la paix et l’environnement et ne pas laisser la valeur d’une personne être réduite à « ce qu’elle produit et ce qu’elle consomme « . (CITE DU VATICAN, 21 mars 2013 – Reuters)

Il a nié le récit biblique de la multiplication des pains.

Il a participé à des rites avec les Juifs.

Il a déclaré que le Ramadan mahométan apporte des «fruits spirituels».

Il a dit aux curés qu’il est erroné de chercher à convertir au christianisme.

Il a déclaré à la presse internationale qu’il ne peut pas juger les sodomites.

Il n’a pas levé le petit doigt pour aider les enfants violés et sodomisés par ses cardinaux, évêques et prêtres.

Il a nommé un criminel, actuellement en prison, pour superviser sa banque du Vatican.

Il a dit penser que les athées ont autant de chances d’être sauvé que les chrétiens.

Il a appelé une «obsession» ceux qui sont préoccupés par les questions morales comme l’avortement et le mariage «gay».

Il a déjà supprimé la Messe latine de 1962 (du franc-maçon Bugnini et à demie Novus Ordo / Vatican 2) chez les franciscains et a nommé «idéologues» tous ceux qui la préconisent.

Il a blasphémé la Mère de Dieu.

Il a fait la promotion des fausses religions païennes du diable.

Et bien d’autres actes d’hérésies et d’apostasies…

Note : Son élection a par ailleurs été saluée par les loges maçonniques, notamment par la franc-maçonnerie hebraïque du B’Nai B’rith

La franc-maçonnerie agissant comme une « Contre-Église », plusieurs obédiences accueillirent avec une officielle bienveillance l’élection du pape François Ier :
– la Grande Loge d’Argentine (par la voix de son grand maître, Angel Clavero ) ;
– de Grandes Loges, donc obédiences, européennes, latino-américaines ainsi que celle du Liban.
APMR, Agence de presse maçonnique (16 mars 2013)

Le grand maître franc-maçon italien Raffi : “avec le pape François, rien ne sera plus comme avant. C’est un choix clair de fraternité pour une Eglise de dialogue, non-contaminée par les logiques et les tentations du pouvoir temporel” (14 mars 2013).

http://www.grandeoriente.it/comunicati/2013/03/il-gran-maestro-raffi-con-papa-francesco-nulla-sara-piu-come-prima.aspx

Le B’Nai B’rith argentin salue l’élection de François : http://www.bnaibrith.org.ar/website/contenido.asp?sys=2&id=1372

II | Hérésies de Bergoglio en rapport avec les juifs
Le « cardinal » Bergoglio a envoyé ses meilleurs voeux à la communauté juive à l’occasion des grandes fêtes.

 

Chrétiens et juifs : « rencontre et dans le dialogue, avec une attitude d’accueil réciproque nous a aidé a grandir comme hommes et comme croyants ».

25 juin 2013 : « De par nos racines communes, un chrétien ne peut être antisémite ! ». C’est ce qu’a affirmé avec fermeté le Pape François en recevant lundi matin 24 juin, les membres de l’International Jewish Committee on Interreligious Consultations. Après les avoir salués comme « frères ainés » et avec le traditionnel Shalom « cher aussi à la tradition chrétienne », le Pontife a mis l’accent sur les  plus de quarante ans de « dialogue régulier » avec la Commission pour les rapports religieux avec le judaïsme, actuellement présidée par le cardinal Koch, desquels sont nés vingt-et-une rencontres qui « ont contribué à renforcer la compréhension réciproque et les liens d’amitié entre juifs et catholiques ». Il a rappelé ensuite qu’au cours des premiers mois de son pontificat « il a eu l’occasion de rencontrer d’éminentes personnalités du monde juif et qu’également au cours de son précèdent ministère comme archevêque de Buenos Aires il avait « eu la joie d’entretenir des relations d’amitié sincère avec des personnalités du monde juif. Nous nous sommes enrichis mutuellement, a -t-il dit à ce propos, dans la rencontre et dans le dialogue, avec une attitude d’accueil réciproque et cela nous a aidé a grandir comme hommes et comme croyants ». Il en est de même, a t-il ajouté « dans de nombreuses parties du monde, et ces relations d’amitiés constituent la base du dialogue qui se développe au niveau officiel ». De là, l’encouragement « à poursuivre » sur ce chemin, « en cherchant à impliquer aussi les nouvelles générations »…

 

La haine du juif est une faute morale grave, encore plus pour les catholiques. Mais dans la Foi catholique, le dialogue avec le judaisme est un faux-œcuménisme qui apostasie la foi catholique et dogmatique traditionnelle (de la Tradition de l’Eglise) car les juifs comme les autres religions doivent se convertir et non pas être incités à demeurer en leur état :

 

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Déjeuner casher et prière en communion avec les juifs.

L’antipape François a déjeuné casher avec une délégation de rabbins juifs de son Argentine natale, jeudi 16 janvier 2014. 

 

Le déjeuner a été fourni par Ba’Ghetto, l’un des restaurants les plus populaires de Rome spécialisés dans la cuisine juive casher. 

 

Selon le rapport publié sur le site Web du Congrès juif mondial, « à la fin du déjeuner, le Pape et les dirigeants juifs ont entonné le Psaume 133 en hébreu » :

 

« Ah! Qu’il est bon, qu’il est doux pour des frères d’habiter ensemble !

 

« C’est comme l’huile précieuse qui, répandue sur la tête, coule sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, qui descend sur le bord de son vêtement.

 

« C’est comme la rosée de l’Hermon, qui descend sur les sommets de Sion. Car c’est là que Yahweh a établi la bénédiction, la vie, pour toujours. »

Pape Eugène IV, Cantate Domino, Concile de Florence, 4 février 1442 ex cathedra : «Elle [La sainte Eglise] croit fermement, professe et enseigne que les prescriptions légales de l’Ancien Testament qui se divisent en cérémonies, saints sacrifices, sacrements, parce qu’ils avaient été institués pour signifier quelque chose de futur, bien qu’en ce temps-là, ils aient été adaptés au culte divin, une fois venu notre Seigneur Jésus Christ qui était signifié par eux, ont pris fin et qu’ont commencé les sacrements du Nouveau Testament. Quiconque encore après la Passion met son espoir dans les prescriptions légales et se soumet à elles en les croyant nécessaires au salut, comme si la foi dans le Christ ne pouvait sauver sans elles, a péché mortellement. Elle ne nie pas cependant que, depuis la Passion du Christ jusqu’à la promulgation de l’Evangile, elles ont pu être respectées du moins dans la mesure où on les croyait si peu que ce fût nécessaires au salut. Mais, après la promulgation de l’Evangile, l’Eglise affirme qu’elles ne peuvent être respectées sans l’anéantissement du salut éternel.

«Donc elle dénonce comme étrangers à la foi du Christ tous ceux qui depuis ce temps-là observent la circoncision, le sabbat et les autres prescriptions légales, et affirme qu’ils ne peuvent pas du tout avoir part au salut éternel, sauf si un jour ils reviennent de ces erreurs. Donc à tous ceux qui se glorifient du nom de chrétiens, elle prescrit de manière absolue qu’à n’importe quel moment soit avant soit après le baptême il faut renoncer à la circoncision, que l’on place en elle ou non son espoir, elle ne peut être respectée sans anéantissement du salut éternel».

Pape Léon X, cinquième concile de Latran, 1512-1517, Séance 8 et 9, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité de la foi éclairée est totalement fausse et nous interdisons strictement l’enseignement autrement à être autorisé. Nous décrétons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, ainsi sèment des hérésies qui sont totalement condamnées, devrons être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique.

«… Tous les faux chrétiens et ceux avec de mauvais sentiments envers la foi, quelle que soit leur race ou nation, ainsi que les hérétiques et ceux souillés avec une certaine souillure d’hérésie, ou judaïsants, doivent être totalement exclus de la société des fidèles du Christ et expulsés de n’importe quelle position, en particulier de la curie romaine, et punis d’une peine adéquate … »

 

II | Hérésies de Bergoglio en rapport avec les protestants

Le « pseudo-cardinal » Bergoglio se soumet aux hérétiques : Il s’agenouille pour être «béni» par un pasteur de la secte hérétique protestante 

III | Hérésies de Bergoglio en rapport avec les schismatiques

Première réunion œcuménique de l’antipape François, 20 mars 2013, continuité des hérésies et de l’apostasie :

 » … Tout d’abord je remercie mon frère Andrew [Bartholomée I] beaucoup de ce qu’il a dit. Merci beaucoup! Merci!

 » C’est une source de joie particulière pour répondre aujourd’hui avec vous, les délégués des églises orthodoxes, les églises orthodoxes orientales et des communautés ecclésiales d’Occident. Merci d’avoir voulu prendre part à la célébration qui a marqué le début de mon ministère d’Evêque de Rome et successeur de Pierre.

 » Hier matin, au cours de la Sainte Messe, à travers vos personnes, j’ai reconnu comme spirituellement présent les communautés que vous représentez. Dans cette manifestation de foi, il me semblait vivre d’une manière encore plus urgente la prière pour l’unité des croyants dans le Christ et en même temps de voir en quelque sorte préfiguré que la pleine réalisation, qui dépend du plan de Dieu et de notre collaboration loyale.

 » Je commence mon ministère apostolique en cette année que mon vénéré prédécesseur, le Pape Benoît XVI, avec un aperçu vraiment inspiré, a proclamé l’Année de la foi pour l’Église catholique. Grâce à cette initiative, que je veux continuer et d’espoir est un stimulant pour le cheminement de foi de tous, il a souhaité marquer le 50e anniversaire du début du Deuxième Concile du Vatican, en proposant une sorte de pèlerinage vers ce qui est le plus essentiel pour chaque Chrétien : la relation personnelle et la transformation avec Jésus-Christ, Fils de Dieu, mort et ressuscité pour notre salut. Le cœur du message du Conseil réside précisément dans le désir d’annoncer ce trésor toujours valable de la foi aux hommes de notre temps.

 » Avec vous, je ne peux pas oublier combien ce Conseil a signifié pour la route de l’œcuménisme. Je voudrais rappeler les paroles du bienheureux Jean XXIII, le 50e anniversaire de la mort duquel nous allons bientôt commémorer, où il a prononcé dans son discours d’inauguration mémorable: « l’Eglise catholique estime qu’il est de son devoir de chercher activement à remplir le grand mystère de cette l’unité que Jésus-Christ avec la plupart des prières ardentes imploré le Père céleste dans l’imminence de son sacrifice;. Elle bénéficie paix délicieuse, se sachant être intimement Unis au Christ dans ces prières »(AAS 54 [1962], 793) C’est le pape Jean.

 » Oui, chers frères et sœurs dans le Christ, laissez-nous nous sentons tous intimement uni à la prière de notre Sauveur dans la dernière Cène, à son invocation: sint unum ut. Prions le Père miséricordieux de vivre en plénitude cette foi que nous avons reçue comme un cadeau le jour de notre baptême, et d’être en mesure de témoigner libre, courageux et joyeux à elle. Ce sera notre meilleur service à la cause de l’unité des chrétiens, un service d’espoir pour un monde encore marqué par les divisions, par le contraste et la rivalité. Plus nous sommes fidèles à sa volonté, dans nos pensées, paroles et actes, plus nous serons réellement et substantiellement marcher vers l’unité.

 » Pour ma part, je tiens à vous assurer, dans le sillage de mes prédécesseurs, de ma détermination à continuer sur la voie du dialogue œcuménique et je tiens à remercier à l’avance le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, pour l’aide qu’il sera continuer à offrir, en mon nom, pour cette noble cause. Je vous demande, chers frères et sœurs, d’apporter mon salut cordial et l’assurance de mon souvenir dans le Seigneur Jésus dans les églises et les communautés chrétiennes ici représentés, et demande à vous la charité d’une prière spéciale pour ma personne, à être un pasteur selon le cœur du Christ.

 » Et maintenant, je me tourne vers vous éminents représentants du peuple juif, auxquels nous sommes liés par un lien spirituel très spécial, puisque, comme le Concile Vatican II affirme, l’Église reconnaît que «les prémices de sa foi et de son élection sont déjà, selon le mystère divin du salut, dans les patriarches, Moïse et les prophètes »(déclaration confirmant. Nostra Aetate, 4). Merci de votre présence et je suis convaincu que, avec l’aide du Tout-Puissant, nous serons en mesure de continuer à profit ce dialogue fraternel que le Conseil a préconisé (cf. ibid.) Et qui a été effectivement réalisé, ce qui porte beaucoup de fruits, en particulier au cours des dernières décennies.

 » Je salue cordialement et vous remercie tous, chers amis appartenant à d’autres traditions religieuses; premier de tous les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et miséricordieux, et faire appel à Lui dans la prière, et à vous tous. Je vous remercie de votre présence: en elle, je vois un signe tangible de la volonté de croître dans l’estime mutuelle et la coopération pour le bien commun de l’humanité.

 » L’Eglise catholique est consciente de l’importance de promouvoir l’amitié et le respect entre les hommes et les femmes de différentes traditions religieuses – je tiens à le répéter: la promotion de l’amitié et le respect entre les hommes et les femmes de différentes traditions religieuses – il atteste également le travail précieux que le Pontifical Conseil pour le dialogue interreligieux effectue. Il est également conscient de la responsabilité que nous avons tous envers ce monde qui est le nôtre, vers toute la création, que nous devons aimer et protéger.Et nous pouvons faire beaucoup pour le bien des plus pauvres, ceux qui sont faibles et qui souffrent, de promouvoir la justice, de promouvoir la réconciliation et à construire la paix.Mais, par-dessus tout, nous devons garder vivante dans le monde de la soif d’absolu, ne permettant pas à l’emporter une vision unidimensionnelle de la personne humaine, selon laquelle l’homme est réduit à ce qu’il produit et consomme: c’est celui-ci des pièges les plus dangereux pour notre temps.

 » Nous savons à quel point la violence a été produit dans l’histoire récente de la tentative d’éliminer Dieu et le divin de l’horizon de l’humanité, et nous faisons l’expérience de la valeur du témoignage dans nos sociétés à l’ouverture initiale à la transcendance qui est inhérent dans le cœur humain. En cela, nous nous sentons proches même à tous ces hommes et femmes qui, tout en ne se reconnaissant appartenance à une tradition religieuse, s’estiment néanmoins être à la recherche de la vérité, de la bonté et de la beauté, cette vérité, de la bonté et de la beauté de Dieu, et qui sont nos alliés précieux dans les efforts visant à défendre la dignité de l’homme, dans la construction d’une coexistence pacifique entre les peuples et à la garde de la création avec soin.

 » Chers amis, je vous remercie encore pour votre présence. Pour tous J’étends mon salut cordial et fraternel. « 

 

Les hérétiques sont de fins trompeurs qui mèlent subtilement le venin comme nous l’explique le pape Pie VI :

Le pape Pie VI, Bulle «Auctorem fidei» 28 août 1794 : « [Les anciens docteurs] connaissaient la capacité des innovateurs dans l’art de la tromperie. Afin de ne pas choquer les oreilles des catholiques, ils ont cherché à cacher les subtilités … par l’utilisation de mots apparemment inoffensifs qui leur permettrait d’insinuer l’erreur dans les âmes de la manière la plus douce. Une fois que la vérité a été compromise, ils pourraient, par le biais de légères modifications ou des ajouts dans la phraséologie, fausser la confession de la foi qui est nécessaire pour notre salut, et conduire les fidèles par des erreurs subtiles à leur damnation éternelle». 

« … il ne peut pas être excusé de la façon dont on le voit faire, sous le prétexte erroné que des affirmations apparemment choquantes à un endroit soient développées le long de lignes orthodoxes dans d’autres endroits, et même encore en d’autres endroits corrigées, comme prévoyant la possibilité soit d’affirmer ou de nier la déclaration … telle a toujours été la méthode frauduleuse et l’audace utilisée par les innovateurs pour établir l’erreur, qui permet à la fois la possibilité de promouvoir l’erreur et de l’excuser…

« … C’est une technique plus répréhensible pour insinuer des erreurs doctrinales, condamnée depuis longtemps par notre prédécesseur saint Célestin qui a trouvé qu’elle était dans les écrits de Nestorius, évêque de Constantinople, et qu’il a exposé pour la condamner avec la plus grande gravité possible. Une fois que ces textes ont été examinés attentivement, l’imposteur a été exposé et confondu, car il s’est exprimé dans une pléthore de mots, mélangeant des choses vraies avec d’autres qui étaient obscures ; mélangeant parfois l’une avec l’autre de manière à ce qu’il soit également en mesure de confesser ces choses qui ont été niées alors qu’en même temps il possédait un motif pour nier ces phrases mêmes qu’il confessait « .

« Afin d’exposer ces pièges, ce qui est nécessaire à une certaine fréquence dans chaque siècle, aucune autre méthode n’est nécessaire que la suivante : dès qu’il devient nécessaire d’exposer DANS DES ÉTATS QUI déguisent une erreur OU UN DANGER SUSPECT sous le voile de l’ambiguïté, NOUS devons dénoncer LE SENS PERVERS dans lesquel l’erreur SE RAPPORTANT AUX vérités catholiques est camouflée

L’antipape François et le pape Tawadros II
Les »orthodoxes » (en vérité des faux orthodoxes – orthodoxe signifie droit dans la doctrine) sont des shismatiques qui refusent la primauté du Pape : ce sont des SCHISMATIQUES. Ils n’ont pas à être traités en « frères » (dans la foi) et doivent être exhortés à réintégrer l’Eglise catholique.

Antipape François, 24 mars 2014, suite au décès du patriarche schismatique Ignace Zakka Ier Iwas (patriarche syriaque « orthodoxe » d’Antioche et de tout l’Orient) :

« Le monde chrétien dans son entier a perdu un leader spirituel exceptionnel, courageux et sage. »

 

« un homme de dialogue et de paix à l’égard des disciples de toutes les traditions religieuses »

 

« son travail constant pour améliorer les relations entre les chrétiens ».

 

« sa contribution extraordinaire pour renforcer la communion entre chrétiens syro-orthodoxes et fidèles catholiques ».

 

« que le Tout-Puissant l’accueille dans son royaume et lui accorde le repos éternel »,

 

« que la mémoire de son long et dévoué service à l’Église » soit « un encouragement pour tous ».

 

Les soit-disants « orthodoxes » orientaux sont schismatiques et hérétiques. Un schismatique est hors de l’Eglise : il ne sert pas l’Eglise, et n’est pas sauvé, c’est le dogme catholique.

 

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

 

Cela prouve, une fois de plus qu’il est un hérétique total.

IV | Hérésies de Bergoglio en rapport avec la secte boudhiste

MESSAGE AUX BOUDDHISTES

Bureau de presse du saint-siège : Vatican Information Service http://visnews-fr.blogspot.fr/2013/05/message-aux-bouddhistes.html

Cité du Vatican, 2 mai 2013 (VIS). « Aimer, défendre et promouvoir la vie humaine », tel est le titre du message que le Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux adresse aux bouddhistes pour la fête de Vesakh 2013 (ère bouddhiste 2556), sous la signature de son Président le Cardinal Jean-Louis Tauran:

 

« Dès le début de son ministère, le Pape François a réaffirmé la nécessité du dialogue amical entre les fidèles des différentes religions, rappelant combien l’Eglise est consciente de la responsabilité que nous avons tous à l’égard de notre monde, de la création tout entière, qu’il nous faut aimer et protéger. Nous pouvons faire beaucoup pour venir en aide aux pauvres, aux nécessiteux et à ceux qui souffrent, et pour favoriser la justice, promouvoir la réconciliation et construire la paix. Le message pour la Journée mondiale de la paix 2013 indique que le chemin pour atteindre le bien commun et la paix est avant tout celui du respect de la vie humaine dans tous ses aspects, à commencer par sa conception, en passant par son développement et en allant jusqu’à sa fin naturelle. Les véritables artisans de paix sont donc ceux qui aiment, défendent et promeuvent la vie humaine dans toutes ses dimensions, personnelle, communautaire et transcendante. La vie dans sa plénitude est l’apogée de la paix. Celui qui aime la paix ne peut tolérer des attaques et des crimes contre la paix. L’Eglise catholique montre un respect sincère pour votre noble tradition religieuse. Nous remarquons bien souvent une consonance avec les valeurs exprimées aussi dans vos livres religieux, tels le respect pour la vie, la contemplation, le silence et la simplicité. Notre dialogue fraternel a besoin de manifester que nous, bouddhistes et chrétiens, ayons en commun, spécialement le fait que nous partageons un profond respect pour la vie.

 

Chers amis bouddhistes, votre premier précepte vous apprend à vous abstenir de détruire la vie de tout être sensible, et par conséquent il interdit le meurtre de soi-même et des autres. La pierre d’angle de votre éthique réside dans une réelle affection pour tous les êtres. Nous, chrétiens, nous croyons que le cœur de l’enseignement moral de Jésus est double: amour de Dieu et amour du prochain. Jésus dit Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour. Et encore Voici mon commandement: Aimez- vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Le cinquième commandement chrétien Tu ne tueras pas s’harmonise très bien avec votre premier précepte. Nostra Aetate enseigne que l’Eglise catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions. Je pense, par conséquent, que ce qui est urgent pour les bouddhistes aussi bien que pour les chrétiens, sur la base du patrimoine spécifique de nos traditions religieuses, est de créer un climat de paix pour aimer, défendre et promouvoir la vie humaine. Mais en dépit de ces nobles enseignements sur la sainteté de la vie humaine, le mal sous différentes formes contribue à la déshumanisation de la personne en affaiblissant le sens de l’humanité chez les individus et dans les communautés. Cette situation tragique nous invite à unir nos efforts pour démasquer les menaces contre la vie humaine et à réveiller la conscience morale de nos fidèles respectifs pour provoquer une renaissance spirituelle et morale des individus et des sociétés afin d’être de véritables artisans de paix qui aiment, défendent et promeuvent la vie humaine dans toutes ses dimensions. Continuons donc à collaborer dans un esprit de compassion et de fraternité renouvelées, pour soulager les souffrances de la famille humaine en favorisant le caractère sacré de la vie humaine. C’est dans cet esprit que je vous souhaite une fête de Vesakh remplie de paix et de joie ».

 

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino , 1441, ex-cathedra : Elle [La très sainte Eglise romaine] croit fermement, professe et prêche qu’«qu’aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement païens» mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent pas devenir participants à la vie éternelle, mais iront «dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges» [Mt 25, 41], à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés; …

Les bouddhistes sont des païens, une fausse religion du diable et l’antipape l’approuve : ces gens ont à être exhorter de se convertir au Christ et non pas de rester dans leur fausse religion pour être perdus. La charité chrétienne n’est certainement pas de laisser des hommes se damner, ou c’est de la fausse charité parce que la foi qui en est la base est fausse et non-catholique. C’est cela l’oeucuménisme apostat vatican 2.

IV | Hérésies de Bergoglio en rapport avec les schismatiques Anglicans

Rencontre du « pape François » (le laïc Bergoglio) et de l’archevêque anglican Justin Welby

Rome, 14 juin 2013 : « L’engagement pour la recherche de l’unité entre les chrétiens ne découle pas de raisons d’ordre pratique, mais de la volonté même du Seigneur Jésus-Christ », rappelle le pape : dans ce contexte, la prière « est d’une importance fondamentale », « c’est par la prière que se renouvellera jour après jour cet engagement  à marcher vers l’unité » (http://www.osservatoreromano.va/portal/dt?JSPTabContainer.setSelected=JSPTabContainer%252FHome)

C’est tout le contraire de l’enseignement du Magistère de l’Eglise sur son unité.

C’est contraire à la condamnation des anglicans par Léon XIII.

SATIS COGNITUM Léon XIII SUR L’UNITE DE L’EGLISE : …« Je crois à l’Eglise… une ». elle est une, quoique les hérésies essayent de la déchirer en plusieurs sectes. Nous disons que l’antique et catholique Eglise est une : elle a l’unité de nature, de sentiment, de d’excellence… (Clemens Alexandrinus, Stromatum, lib. VII, cap.17).

MORTALIUM ANIMOS Pie XI SUR L’UNITE DE L’EGLISE : …Ils soutiennent, en effet, que l’unité de foi et de gouvernement, caractéristique de la véritable et unique Eglise du Christ, n’a presque jamais existé jusqu’à présent et n’existe pas aujourd’hui; que cette unité peut, certes, être souhaitée et qu’elle sera peut-être un jour établie par une entente commune des volontés, mais qu’il faut entre-temps la tenir pour une sorte de rêve. Ils ajoutent que l’Eglise, en elle-même, de sa nature, est divisée en parties, c’est-à-dire constituée de très nombreuses églises ou communautés particulières, encore séparées, qui, malgré quelques principes communs de doctrine, diffèrent pour tout le reste; que chaque église jouit de droits parfaitement identiques; que l’Eglise ne fut une et unique que tout au plus depuis l’âge apostolique jusqu’aux premiers conciles oecuméniques.

IV | Hérésie de la liberté religieuse et promotion des autres confessions religieuse à la suite de ses prédecesseurs antipapes

«Dans la prière de tous les jours, disons à Jésus : « Seigneur, regarde ce frère, regarde cette sœur qui souffre tant, qui souffre tant ! ». Ils font l’expérience de la limite, précisément de la limite entre la vie et la mort. Et cette expérience doit nous conduire nous aussi à promouvoir la liberté religieuse pour tous, pour tous ! Chaque homme et chaque femme doivent être libres dans leur confession religieuse, quelle qu’elle soit. Pourquoi ? Parce que cet homme et cette femme sont des enfants de Dieu » (http://www.vatican.va/holy_father/francesco/speeches/2013/may/documents/papa-francesco_20130518_veglia-pentecoste_fr.html)

 

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Saint Thomas d’Aquin enseigne qu’un chrétien qui irait sur la tombe de Mahomet serait hérétique et apostat.

FAUX ŒCUMENISME de vatican 2 = tout le contraire de l’enseignement du Magistère de l’Eglise sur son unité.

Luthériens et catholiques : relire 500 ans d’histoire :

Catéchèse du « pape François » (monsieur Bergoglio) en italien  – 19 juin 2013 « Tous unis, toujours : voilà la voie de Jésus »

Les divisions entre nous, mais aussi les divisions entre communautés : chrétiens évangéliques, chrétiens orthodoxes, chrétiens catholiques, mais pourquoi sommes-nous divisés ? Nous devons chercher à apporter l’unité. Je vais vous raconter quelque chose : aujourd’hui, avant de sortir de chez moi, j’ai passé quarante minutes, plus ou moins, une demi-heure, avec un pasteur évangélique et nous avons prié ensemble et recherché l’unité. Mais nous devons prier entre nous, catholiques, et aussi avec les autres chrétiens, prier pour que le Seigneur nous donne l’unité, l’unité entre nous. Mais comment aurons-nous l’unité entre chrétiens si nous ne sommes pas capables de l’avoir entre catholiques ? de l’avoir dans nos familles ? Tant de familles se disputent et sont divisées. Cherchez l’unité, l’unité qui fait l’Église. L’unité vient de Jésus-Christ. Il nous envoie l’Esprit-Saint pour faire l’unité.

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

 

Faux œucuménisme : Une salutation de la fausse religion païenne du diable et ses démons (faux dieux) 

Message aux hindous pour la fête de Deepavali : Chrétiens et hindous doivent favoriser les relations humaines par l’amitié et la solidarité

Cité du Vatican, 28 octobre 2013 : Chrétiens et hindous doivent favoriser les relations humaines par l’amitié et la solidarité. Tel est le titre du traditionnel message du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux aux hindous pour la fête de Deepavali (3 novembre), qui marque la victoire de la vérité sur le mensonge, de la lumière sur les ténèbres, du bien sur le mal, de la vie sur la mort :

 

Dans un monde toujours plus compétitif, individualiste et matérialiste, écrit le Cardinal Jean-Louis Tauran, ces caractéristiques « affectent les relations humaines et créent souvent des divisions au sein des familles et de la société tout entière. Nous voudrions partager avec vous nos pensées sur la manière dont les chrétiens et les hindous peuvent favoriser les relations humaines, pour le bien de l’humanité, à travers l’amitié et la solidarité. Or ces relations sont fondamentales pour l’existence humaine. La sécurité et la paix dans les communautés, tant au niveau local, national ou international, sont largement déterminées par la qualité des interactions humaines. L’expérience enseigne que plus nos relations humaines sont profondes, plus nous sommes en mesure d’avancer dans la coopération, la construction de la paix, la solidarité et l’harmonie véritables. La capacité à favoriser des relations respectueuses est la mesure d’un authentique progrès humain, essentiel pour promouvoir la paix et le développement intégral. De telles relations devraient jaillir spontanément de notre humanité partagée. En effet, les relations humaines sont au cœur de l’existence et du progrès humain qui, spontanément, engendrent un sens de solidarité envers les autres. Indépendamment de notre identité ethnique, culturelle, religieuse et idéologique, nous appartenons tous, de fait, à une seule famille humaine. Malheureusement, dans une société matérialiste et méprisante à l’égard des plus profondes valeurs spirituelles et religieuses, la croissance s’accompagne d’une tendance pernicieuse à accorder une valeur identique aux choses matérielles et aux relations humaines. Le quelqu’un qu’est la personne est alors réduit à un quelque chose que l’on peut mettre de côté à sa discrétion. En outre, les tendances individualistes engendrent un faux sentiment de sécurité qui favorise ce que le Pape François a décrit comme une culture de l’exclusion, une culture du déchet dans la mondialisation de l’indifférence. La promotion d’une culture du respect et de la solidarité est donc un impératif pour tous les peuples. Elle nous invite à favoriser les relations fondées sur l’amitié et le respect mutuel au bénéfice de toute la famille humaine. Cela exige que la dignité inhérente à la personne humaine soit reconnue et encouragée. Il est évident que l’amitié et la solidarité sont étroitement liées. Enfin, la culture de la solidarité c’est voir dans l’autre non un concurrent ou un numéro, mais un frère. Et nous sommes tous frères » comme l’a rappelé le Pape à Rio le 25 juillet dernier. « En conclusion, nous tenons à affirmer notre conviction que la culture de la solidarité n’aboutit que lorsqu’elle est le résultat d’un effort concerté de tous pour le bien commun. Soutenus par les enseignements de nos religions respectives et conscients de l’importance de construire des relations authentiques, puissions-nous, hindous et chrétiens, agir individuellement et collectivement avec toutes les traditions religieuses et les personnes de bonne volonté, pour encourager et renforcer la famille humaine à travers l’amitié et la solidarité. Heureuse fête de Deepavali! ».

 

L’apostat Tauran dit :

« pour la fête de Deepavali (3 novembre), qui marque la victoire de la vérité sur le mensonge, de la lumière sur les ténèbres, du bien sur le mal, de la vie sur la mort » :

Il dit que la fausse religion païenne hindouiste qui rend un culte aux démons, est « victoire de la vérité sur le mensonge, de la lumière sur les ténèbres, du bien sur le mal, de la vie sur la mort » !

« les chrétiens et les hindous peuvent favoriser les relations humaines, pour le bien de l’humanité, à travers l’amitié et la solidarité … la coopération, la construction de la paix, la solidarité et l’harmonie véritables … des relations respectueuses … un authentique progrès humain, pour promouvoir la paix et le développement… nous appartenons tous, de fait, à une seule famille humaine. nous sommes tous frères » :

Non, tous les hommes n’ont pas le même Père des cieux, le père de Notre Seigneur Jésus-Christ. Les fausses religions perdent les hommes en enfer selon l’enseignement infaillible de l’Eglise.

« Soutenus par les enseignements de nos religions respectives … agir individuellement et collectivement avec toutes les traditions religieuses  » :

Il dit que les enseignements d’autres fausses religions sont un soutien et prône l’action avec toutes les traditions religieuses fausses et païenne des démons : C’est l’apostasie complète de la liberté religieuse et du faux œucuménisme qui salue le culte de Satan..

Faux œcuménisme archi-hérétique, apostat et non-catholique.

Le témoignage œcuménique « doit se concentrer sur le cœur de la foi, sur l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est manifesté dans le Christ », déclare le pape François, qui encourage à « un œcuménisme spirituel ».

 

L’antipape  François a reçu ce 17 janvier 2014 une délégation œcuménique de l’Église luthérienne de Finlande, à l’occasion de son pèlerinage annuel à Rome, pour célébrer saint Henri, patron du pays (16 janvier).

 

« À vous grâce et paix de par Dieu notre Père et le Seigneur Jésus Christ » (Rm 1,7). Je vous souhaite une chaleureuse bienvenue, comme l’ont fait depuis plus de 25 ans mes prédécesseurs, le bienheureux Jean-Paul II et Benoît XVI, en accueillant la visite de vos délégations œcuméniques, à l’occasion de la fête de saint Henri, patron de la Finlande.

 

Aux membres de la communauté de Corinthe, marquée par des divisions, l’apôtre demande : « Le Christ est-il divisé ? » (1 Co 1,13). Cette question a été choisie comme thème de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, qui commencera demain ; aujourd’hui, c’est à nous que s’adresse cette question. Face à certaines voix qui ne considèrent plus l’unité pleine et visible de l’Église comme un objectif à poursuivre, nous sommes invités à ne pas renoncer à nos efforts œcuméniques, fidèles à la prière que le Seigneur Jésus a adressée à son Père : que « tous soient un » (Jn 17,21).

 

À l’heure actuelle, la voie de l’œcuménisme et les relations entre chrétiens connaissent des changements importants, dus tout d’abord au fait que nous professons notre foi dans un contexte social et culturel où la référence à Dieu, et à tout ce qui rappelle la dimension transcendante de la vie, est de moins en moins présente. C’est surtout vrai en Europe, mais pas uniquement.

 

C’est précisément pour cette raison que notre témoignage doit se concentrer sur le cœur de notre foi, sur l’annonce de l’amour de Dieu qui s’est manifesté dans le Christ, son Fils. Il y a là un espace pour grandir dans la communion et l’unité entre nous, en encourageant un œcuménisme spirituel qui vient directement du commandement de l’amour laissé par Jésus à ses disciples. Le concile Vatican II se référait aussi à cette dimension : « Cette conversion du cœur et cette sainteté de vie, ensemble avec les prières publiques et privées pour l’unité des chrétiens, doivent être regardées comme l’âme de tout l’œcuménisme et peuvent à bon droit être appelées œcuménisme spirituel » (Décr. Unitatis redintegratio, 8). En effet, l’œcuménisme est un processus spirituel qui se réalise dans l’obéissance fidèle au Père, dans l’accomplissement de la volonté du Christ et sous la conduite de l’Esprit-Saint ». …

 

C’est un dogme infaillible que Hors de l’Eglise catholique il n’y a pas de salut. Ce type n’est pas catholique ni ceux en communion avec lui.

JORGE BERGOGLIO ET TAOISME

Dans son numéro d’Octobre 2013, le magazine TAO (Argentine) dispose d’une photo du cardinal Bergoglio avec un moine taoïste. Un titre explique la photo : « Liu Ming, le médecin oriental du pape François ».

Dans l’edition en ligne de Perfil, l’entrevue avec Ming [Liu Ming, le médecin oriental du « pape » François] est publiée sous le titre :  » François vivra jusqu’à 140 ans, dit son médecin chinois.  » 

Hérésies avec les musulmans. 

François baise les pieds des femmes et d’un homme musulman dans le rite du Jeudi saint le 17 avril 2014.

Le rite du Jeudi Saint représente le Sacerdoce de Christ purifiant Ses fidèles. Pas ceux hors de l’Église. Apostasie totale.

Antipape François à la mosquée bleue d’Istanbul, le 29 novembre 2014 : « Musulmans et Chrétiens, nous sommes dépositaires d’inestimables trésors spirituels parmi lesquels nous reconnaissons des éléments qui nous sont communs».

 

Comme ses prédecesseurs antipapes et apostats Paul 6, Jean-Paul 2 et Benoit 16, l’antipape François (ou monsieur Bergoglio, un laïc apostat) à la tête de la secte vatican 2, honore la fausse religion de Mahomet au lieu d’exhorter les musulmans à se convertir au Christ et à son Eglise une, sainte, catholique et apostolique pour pouvoir être sauvés.

 

1. Il dit «musulmans et Chrétiens, nous sommes dépositaires d’inestimables trésors spirituels parmi lesquels nous reconnaissons des éléments qui nous sont communs» : c’est une hérésie et une apostasie de la foi.

 

2. De plus, il ne confesse pas la foi catholique exhortant à se convertir pour être sauvé : c’est un péché mortel.

 

3. Il met les pieds à la mosquée : c’est un acte d’apostasie publique.

 

4. Il entraîne les autres au mêmes péchés et à la damnation : c’est un péché de scandale.

 

Jamais un pape ne mettrait les pieds dans un temple d’une fausse religion : un hérétique (et apostat) ne peut pas être pape.

 

Ceux qui persistent à croire que ce type est un pape, en voyant cela, sont des hérétiques, et sont perdus, à moins qu’ils se coupent de leurs sectes non-catholiques, de leurs hérésies, pour se convertir à la foi catholique.

 

IV | Diverses hérésies de Bergoglio contre les dogmes catholiques

« Communion » accordée à des défenseurs acharnés de l’avortement

Celle-ci fut donnée à Joe Biden, vice-président des É.-U., ainsi qu’à Nancy Pelosi, membre du parti Démocrate américain et Oratrice de la Chambre des représentants (équivalents de députés et dont la majorité est, au moins jusqu’en 2014, Démocrate) lors de la messe d’installation du pape François Ier. Nancy Pelosi a fait bloc avec l’administration Obama afin d’imposer, aux hôpitaux et aux assurances médicales catholiques, l’obligation d’accepter la gestion et prise en compte des avortements et des moyens de contraception. Perceptiblement, Joe Biden et Nancy Pelosi ont reçu l’hostie mais, en vérité, à ceux qui sont en état de péché mortel, la sainte communion est refusée. Une vraie charité aurait amené le pape à réprouver les pécheurs publics et à leur refuser l’eucharistie, à refuser le sacrilège; voire à les exhorter à la repentance sous peine d’excommunication.
Le cardinal Bergoglio avait pourtant réaffirmé, en 2007, sa ferme opposition aux « communions » accordées à des politiciens défendant des positions opposées aux dogmes et lois morales essentielles de l’Église.

Modernisme du laïc Bergoglio

 

Sermon du Père Cantalamessa du récent vendredi saint, au Vatican devant Bergoglio qui l’approuve :

Il y cite le conte du juif athée Kafka, en comparant l’Eglise à une forteresse devenue prison pour le Christ qui frappe à la porte non pour entrer dans l’Eglise mais pour en sortir, empêché ainsi de transmettre son message au monde à cause “des murs de séparation, à partir de ceux qui séparent les différentes églises chrétiennes entre elles, l’excès du bureaucratie, les résidus de cérémonies, les lois et controverses passées, devenus désormais de simples détritus”… (http://kairosterzomillennio.blogspot.it/2013/03/padre-cantalamessa-predica-del-venerdi.html)

Hérésie sur l’Ecriture sainte

LES PAINS NE SE MULTIPLIERENT PAS…

 

Jorge M. Bergoglio, 17 mai 2013, Cité du Vatican : « (…) En particulier pour ce qui est des pains et des poissons, ceux-ci “ne se multiplièrent pas”, a-t-il expliqué, mais « simplement ils furent sans limite, comme fut sans limite l’huile de la veuve. Quand on dit “multiplier”, on peut se tromper et croire qu’il s’agit d’un tour de magie… non, simplement, c’est la grandeur de Dieu et de l’amour qui a mis ceci dans notre cœur : que si nous le voulons, ce que nous possédons n’a pas de fin (…) » (http://www.zenit.org/it/articles/papa-francesco-si-vendano-le-chiese-per-dare-da-mangiare-ai-piu-poveri)

 

Proposition n°14 condamnée par le Saint Office par le décret Lamentabili du 7 juillet 1907 : « Les Évangélistes rapportèrent, dans de nombreux récits, bien moins ce qui se produisit réellement que ce qu’eux-mêmes considérèrent de plus utile pour les lecteurs, cela fût-il faux ».

 

 Hérésie sur les athés

 

Les athés sont sauvés !

Le 22 mai 2013, le Père François, «Evêque de Rome» (sic) a déclaré : « Le Seigneur a racheté tout le monde avec le sang du Christ , tous, pas seulement les catholiques, tous. Et les athées ? Eux aussi, tous. C’est ce sang qui fait de nous des fils de Dieu ! » (Osservatore Romano News-va – 22 mai 2013)

 

L’antipape François assure aux athées : Vous n’avez pas à croire en Dieu pour aller au ciel.

 

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

 

Il dit que le Seigneur a racheté LES ATHES AUSSI : APOSTASIE TOTALE de le FOI cxatholique. Qui nie le dogme et refuse le Christ ne peut être sauvé.

François pas si opposé au mariage des « prêtres ».

 

Canon 9, 24ème session du Concile de Trente : « Que celui-là soit hérétique, qui soutient que les ecclésiastiques promus aux ordres sacrés, ou les moines qui ont fait vœu de chasteté peuvent se marier, et que leur mariage est valide, nonobstant les lois ecclésiastiques qui l’ont défendu. »  

 

Pape Pie XI, Encyclique Ad catholici sacerdotii fastigium, 20 décembre 1935 : «De fait, la loi du célibat ecclésiastique, dont la première trace écrite, qui suppose évidemment une coutume plus ancienne, se rencontre dans un canon du Concile d’Elvire  au début du IVe siècle, alors que la persécution sévissait encore, ne fait que rendre obligatoire une certaine exigence morale, pourrions-nous dire, qui ressort de l’Evangile et la prédication apostolique. Constater la haute estime dont le divin Maître avait fait montre pour la chasteté en l’exaltant comme une chose qui dépasse les forces ordinaires (cf. Mt 19, 11) ; savoir qu’il était  » fleur d’une mère vierge « , et depuis l’enfance élevé dans la famille virginale de Marie et de Joseph ; voir sa prédilection pour les âmes pures, comme les deux Jean, le Baptiste et l’Evangéliste ; entendre le grand Apôtre Paul, fidèle interprète de la loi évangélique et des pensées du Christ, prêcher le prix inestimable de la virginité, spécialement dans le but d’un service de Dieu plus assidu : celui qui est sans épouse se préoccupe des choses du Seigneur ; il cherche comment plaire à Dieu (1 Co 7, 32) ; tout cela devrait pour ainsi dire nécessairement faire sentir aux prêtres de la Nouvelle Alliance l’attrait céleste de cette vertu choisie, leur faire désirer d’être du nombre de ceux à qui il a été donné de comprendre cette parole (cf. Mt 19, 11), et leur faire adopter spontanément cette observance, sanctionnée très tôt par une loi très grave dans toute l’Eglise latine, « afin que ce que les Apôtres ont enseigné – comme l’affirme à la fin du IVe siècle le IIIe Concile de Carthage – et ce que nos prédécesseurs ont observé, nous aussi, nous y soyons fidèles…. Ainsi libéré des principaux liens qui pourraient le tenir attaché au monde, le prêtre sera davantage enflammé de ce feu céleste de l’amour, l’amour des âmes s’entend, qui jaillit du Cœur de Jésus-Christ et ne cherche qu’à se communiquer aux cœurs apostoliques et à embraser toute la terre».

 

 

Pour monsieur Bergoglio Dieu n’est pas CATHOLIQUE

 

Il confesse enfin croire en Dieu, « non en un Dieu catholique – il n’existe pas un Dieu catholique, il existe Dieu ».

Une Tradition non traditionnelle…?… ! 

 

« L’Église est apostolique à cause de son lien profond et constitutif avec les Apôtres, choisis, appelés et envoyés par Jésus. Elle est fondée sur leur prédication et l’autorité que Jésus leur a donnée.
Elle est comme un édifice formé de pierres vivantes que sont les chrétiens, et dont la pierre angulaire est Jésus. L’Église est apostolique en ce sens qu’elle garde et transmet, avec l’aide de l’Esprit Saint, l’enseignement, le bon dépôt, les saines paroles entendues des apôtres.
Elle conserve la Sainte Écriture, la doctrine, les Sacrements, le ministère des Pasteurs, de telle sorte que nous puissions être fidèles au Christ et participer à sa vie.
L’Église est apostolique, car elle est envoyée pour porter l’Évangile au monde entier.
Une Église qui s’enferme sur elle-même et sur son passé trahit sa propre identité.
Découvrons alors toute la beauté et la responsabilité d’être Église apostolique. » 

François : « qui suis-je pour juger une personne gay ? »

 

Monsieur Bergoglio est un hérétique doublé d’un apostat : tout chrétien (catholique) qui obéit à la parole de Dieu peut dire que l’homosexualité est contre-nature et est une idolâtrie :

 

Romains 1 : « Parce que, quand ils ont connu Dieu, ils ne l’ont pas glorifié comme Dieu, ou ne Lui ont pas rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été assombri … qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge ; et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen.  C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions honteuses. Car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature. Et, de la même manière, les hommes aussi, abandonnant l’usage naturel de la femme, ont brûlé dans leurs désirs les uns envers les autres, les hommes avec les hommes dans un commerce infâme, et recevant en eux-mêmes la récompense qui était due à leur erreur … ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, et pas seulement ceux qui les font, mais aussi ceux qui les approuvent ».

 

Les homosexuels, non-repentis véritablement et convertis vraiment, n’héritent pas du ciel mais descendent en enfer :

 

Apocalypse 21, 8 : « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l’étang ardent de feu et de soufre: c’est la seconde mort.. »

 

Apocalypse 22, 15 : « Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne ! »

 
L' »encyclique » monstrueuse bicéphale à quatre mains.

 

Lumen Fidei (Lumière de la Foi) encyclique écrite à “quatre mains” par l’antipape François et l’antipape « émérite » Benoît 16  parue le 5 juillet…

 

Le texte de 82 pages souligne que il n’y a pas de contradiction entre la foi catholique et le monde moderne et appelle à plus de dialogue avec les scientifiques, les autres religions et les non-croyants.

 

Lumen fidei – François

 

Ce texte est un bla bla sans matière mélangeant le faux – citations de philosophes, New-Age, et le vrai – citations de saints, de doctrine de l’Eglise et de l’Ecriture Sainte – pour mieux noyer l’apostasie d’humanisme-naturalisme-illuminisme-écologisme de la religion universelle du nouvel ordre mondial.

 

C’est effectivement la « lumière de la foi » non-catholique, la lumière luciférienne de l’apostasie.

 L' »exhortation apostolique » du 27 novembre 2013 de l’antipape François : ce ne sont plus les fidèles qui reçoivent la Parole de Dieu et les directives de l’Eglise hiérarchique, ce sont eux qui pilotent ensemble avec les quelques « pasteurs ».
C’est bien tout le contraire de la Tradition : exactement la doctrine de l’encyclique « Pascendi » de saint Pie X (septembre 1907) à l’envers, où cette doctrine était condamnée.

 

Hérésies de l’EXHORTATION APOSTOLIQUE EVANGELII GAUDIUM SUR L’ANNONCE DE L’ÉVANGILE DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI

 

Extraits hérétiques et apostats :

52. La relation avec les croyants de l’Islam acquiert à notre époque une grande importance. Ils sont aujourd’hui particulièrement présents en de nombreux pays de tradition chrétienne, où ils peuvent célébrer librement leur culte et vivre intégrés dans la société. Il ne faut jamais oublier qu’ils « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour ».[198] Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie sont objet de profonde vénération ; et il est admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres.

111. L’évangélisation est la tâche de l’Église. Mais ce sujet de l’évangélisation est bien plus qu’une institution organique et hiérarchique, car avant tout c’est un peuple qui est en marche vers Dieu. Il s’agit certainement d’un mystère qui plonge ses racines dans la Trinité, mais qui a son caractère concret historique dans un peuple pèlerin et évangélisateur, qui transcende toujours toute expression institutionnelle même nécessaire.

119. Dans tous les baptisés, du premier au dernier, agit la force sanctificatrice de l’Esprit qui incite à évangéliser. Le Peuple de Dieu est saint à cause de cette onction que le rend infaillible “in credendo”. Cela signifie que quand il croit il ne se trompe pas, même s’il ne trouve pas les paroles pour exprimer sa foi. L’Esprit le guide dans la vérité et le conduit au salut. [Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. dogm. Lumen gentium, sur l’Église, n. 12.] Comme faisant partie de son mystère d’amour pour l’humanité, Dieu dote la totalité des fidèles d’un instinct de la foi – lesensus fidei – qui les aide à discerner ce qui vient réellement de Dieu. La présence de l’Esprit donne aux chrétiens une certaine connaturalité avec les réalités divines et une sagesse qui leur permet de les comprendre de manière intuitive, même s’ils ne disposent pas des moyens appropriés pour les exprimer avec précision.

120. En vertu du Baptême reçu, chaque membre du Peuple de Dieu est devenu disciple missionnaire (cf. Mt 28, 19). Chaque baptisé, quelle que soit sa fonction dans l’Église et le niveau d’instruction de sa foi, est un sujet actif de l’évangélisation, et il serait inadéquat de penser à un schéma d’évangélisation utilisé pour des acteurs qualifiés, où le reste du peuple fidèle serait seulement destiné à bénéficier de leurs actions. La nouvelle évangélisation doit impliquer que chaque baptisé soit protagoniste d’une façon nouvelle. Cette conviction se transforme en un appel adressé à chaque chrétien, pour que personne ne renonce à son engagement pour l’évangélisation, car s’il a vraiment fait l’expérience de l’amour de Dieu qui le sauve, il n’a pas besoin de beaucoup de temps de préparation pour aller l’annoncer, il ne peut pas attendre d’avoir reçu beaucoup de leçons ou de longues instructions. Tout chrétien est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l’amour de Dieu en Jésus Christ ; nous ne disons plus que nous sommes « disciples » et « missionnaires », mais toujours que nous sommes« disciples-missionnaires ». Si nous n’en sommes pas convaincus, regardons les premiers disciples, qui immédiatement, après avoir reconnu le regard de Jésus, allèrent proclamer pleins de joie : « Nous avons trouvé le Messie » (Jn 1, 41). La samaritaine, à peine eut-elle fini son dialogue avec Jésus, devint missionnaire, et beaucoup de samaritains crurent en Jésus « à cause de la parole de la femme » (Jn 4, 39). Saint Paul aussi, à partir de sa rencontre avec Jésus Christ, « aussitôt se mit à prêcher Jésus » (Ac 9, 20 ). Et nous, qu’attendons-nous ?

246. Étant donné la gravité du contre témoignage de la division entre chrétiens, particulièrement en Asie et en Afrique, la recherche de chemins d’unité devient urgente. Les missionnaires sur ces continents répètent sans cesse les critiques, les plaintes et les moqueries qu’ils reçoivent à cause du scandale des chrétiens divisés. Si nous nous concentrons sur les convictions qui nous unissent et rappelons le principe de la hiérarchie des vérités, nous pourrons marcher résolument vers des expressions communes de l’annonce, du service et du témoignage. La multitude immense qui n’a pas reçu l’annonce de Jésus Christ ne peut nous laisser indifférents. Néanmoins, l’engagement pour l’unité qui facilite l’accueil de Jésus Christ ne peut être pure diplomatie, ni un accomplissement forcé, pour se transformer en un chemin incontournable d’évangélisation. Les signes de division entre les chrétiens dans des pays qui sont brisés par la violence, ajoutent d’autres motifs de conflit de la part de ceux qui devraient être un actif ferment de paix. Elles sont tellement nombreuses et tellement précieuses, les réalités qui nous unissent ! Et si vraiment nous croyons en la libre et généreuse action de l’Esprit, nous pouvons apprendre tant de choses les uns des autres ! Il ne s’agit pas seulement de recevoir des informations sur les autres afin de mieux les connaître, mais de recueillir ce que l’Esprit a semé en eux comme don aussi pour nous. Simplement, pour donner un exemple, dans le dialogue avec les frères orthodoxes, nous les catholiques, nous avons la possibilité d’apprendre quelque chose de plus sur le sens de la collégialité épiscopale et sur l’expérience de la synodalité. À travers un échange de dons, l’Esprit peut nous conduire toujours plus à la vérité et au bien.

247. Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’Alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée, parce que « les dons et les appels de Dieu sont sans repentance » (Rm 11, 29). L’Église, qui partage avec le Judaïsme une part importante des Saintes Écritures, considère le peuple de l’Alliance et sa foi comme une racine sacrée de sa propre identité chrétienne (cf. Rm 11, 16-18). En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas considérer le judaïsme comme une religion étrangère, ni classer les juifs parmi ceux qui sont appelés à laisser les idoles pour se convertir au vrai Dieu (cf. 1Th 1, 9). Nous croyons ensemble en l’unique Dieu qui agit dans l’histoire, et nous accueillons avec eux la commune Parole révélée.

248. Le dialogue et l’amitié avec les fils d’Israël font partie de la vie des disciples de Jésus. L’affection qui s’est développée nous porte à nous lamenter sincèrement et amèrement sur les terribles persécutions dont ils furent l’objet, en particulier celles qui impliquent ou ont impliqué des chrétiens.

249. Dieu continue à œuvrer dans le peuple de la première Alliance et fait naître des trésors de sagesse qui jaillissent de sa rencontre avec la Parole divine. Pour cela, l’Église aussi s’enrichitlorsqu’elle recueille les valeurs du Judaïsme. Même si certaines convictions chrétiennes sont inacceptables pour le Judaïsme, et l’Église ne peut pas cesser d’annoncer Jésus comme Seigneur et Messie, il existe une riche complémentarité qui nous permet de lire ensemble les textes de la Bible hébraïque et de nous aider mutuellement à approfondir les richesses de la Parole, de même qu’à partager beaucoup de convictions éthiques ainsi que la commune préoccupation pour la justice et le développement des peuples.

253. Pour soutenir le dialogue avec l’Islam une formation adéquate des interlocuteurs est indispensable, non seulement pour qu’ils soient solidement et joyeusement enracinés dans leur propre identité, mais aussi pour qu’ils soient capables de reconnaître les valeurs des autres, de comprendre les préoccupations sous jacentes à leurs plaintes, et de mettre en lumière les convictions communes. Nous chrétiens, nous devrions accueillir avec affection et respect les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays, de la même manière que nous espérons et nous demandons à être accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique. Je prie et implore humblement ces pays pour qu’ils donnent la liberté aux chrétiens de célébrer leur culte et de vivre leur foi, prenant en compte la liberté dont les croyants de l’Islam jouissent dans les pays occidentaux ! Face aux épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent, l’affection envers les vrais croyants de l’Islam doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations, parce que le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. »

DOGME INFAILLIBLE DE L’EGLISE à tenir sous peine de péché mortel et d’excommunication ipso facto d’hérésie en connaissance de cause (si on le connait et qu’on s’obstine à le nier) :

 

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino , 1441, ex-cathedra : Elle [La très sainte Eglise romaine] croit fermement, professe et prêche qu’«aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement païens» mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent pas devenir participants à la vie éternelle, mais iront «dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges» [Mt 25, 41], à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés; …

 

Pape Eugène IV, Concile de Florence , Athanase, Sess. 8, le 22 novembre 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, à moins qu’il la conserve intègre et inviolée, il périra sans aucun doute pour l’éternité. – Mais la foi catholique est que nous adorons un seul Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’unité …
« Mais il est nécessaire pour le salut éternel qu’il croit fidèlement aussi à l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ … le Fils de Dieu est Dieu et homme … Telle est la foi catholique ; si chacun ne garde cette foi fidèlement et fermement, il ne peut pas être sauvé « .

 

Pape Vigile, deuxième concile de Constantinople , 553, ex cathedra : « L’hérétique, même s’il n’a pas été condamné officiellement par un individu, en réalité apporte anathème sur lui-même, s’étant coupé du chemin de la vérité par son hérésie. Quelle réponse ces personnes peuvent apporter à l’Apôtre quand il écrit : Comme pour quelqu’un qui est factieux, après l’avoir repris une ou deux fois, ne plus rien avoir à faire avec lui, sachant qu’une telle personne est perverti et pécheresse, il est auto-condamné (Tite 3:10). « 

 

Pape Léon X, cinquième Concile de Latran, Session 8, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons strictement l’enseignement contraire à être autorisé. Nous décretons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, sèment des hérésies qui sont totalement condamnées, et devraient être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique ».

Evangelii Gaudium totalement hérétique

 

L' »exhortation apostolique » du 27 novembre 2013 de l’antipape François : ce ne sont plus les fidèles qui reçoivent la Parole de Dieu et les directives de l’Eglise hiérarchique, ce sont eux qui pilotent ensemble avec les quelques « pasteurs ».
C’est bien tout le contraire de la Tradition : exactement la doctrine de l’encyclique « Pascendi » de saint Pie X (septembre 1907) à l’envers, où cette doctrine était condamnée.

 

Hérésies de l’EXHORTATION APOSTOLIQUE EVANGELII GAUDIUM SUR L’ANNONCE DE L’ÉVANGILE DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI

 

Extraits hérétiques et apostats :

52. La relation avec les croyants de l’Islam acquiert à notre époque une grande importance. Ils sont aujourd’hui particulièrement présents en de nombreux pays de tradition chrétienne, où ils peuvent célébrer librement leur culte et vivre intégrés dans la société. Il ne faut jamais oublier qu’ils « professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour ».[198] Les écrits sacrés de l’Islam gardent une partie des enseignements chrétiens ; Jésus Christ et Marie sont objet de profonde vénération ; et il est admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux. En même temps, beaucoup d’entre eux ont la profonde conviction que leur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et est pour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessité de répondre à Dieu par un engagement éthique et d’agir avec miséricorde envers les plus pauvres.

111. L’évangélisation est la tâche de l’Église. Mais ce sujet de l’évangélisation est bien plus qu’une institution organique et hiérarchique, car avant tout c’est un peuple qui est en marche vers Dieu. Il s’agit certainement d’un mystère qui plonge ses racines dans la Trinité, mais qui a son caractère concret historique dans un peuple pèlerin et évangélisateur, qui transcende toujours toute expression institutionnelle même nécessaire.

119. Dans tous les baptisés, du premier au dernier, agit la force sanctificatrice de l’Esprit qui incite à évangéliser. Le Peuple de Dieu est saint à cause de cette onction que le rend infaillible “in credendo”. Cela signifie que quand il croit il ne se trompe pas, même s’il ne trouve pas les paroles pour exprimer sa foi. L’Esprit le guide dans la vérité et le conduit au salut. [Cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. dogm. Lumen gentium, sur l’Église, n. 12.] Comme faisant partie de son mystère d’amour pour l’humanité, Dieu dote la totalité des fidèles d’un instinct de la foi – lesensus fidei – qui les aide à discerner ce qui vient réellement de Dieu. La présence de l’Esprit donne aux chrétiens une certaine connaturalité avec les réalités divines et une sagesse qui leur permet de les comprendre de manière intuitive, même s’ils ne disposent pas des moyens appropriés pour les exprimer avec précision.

120. En vertu du Baptême reçu, chaque membre du Peuple de Dieu est devenu disciple missionnaire (cf. Mt 28, 19). Chaque baptisé, quelle que soit sa fonction dans l’Église et le niveau d’instruction de sa foi, est un sujet actif de l’évangélisation, et il serait inadéquat de penser à un schéma d’évangélisation utilisé pour des acteurs qualifiés, où le reste du peuple fidèle serait seulement destiné à bénéficier de leurs actions. La nouvelle évangélisation doit impliquer que chaque baptisé soit protagoniste d’une façon nouvelle. Cette conviction se transforme en un appel adressé à chaque chrétien, pour que personne ne renonce à son engagement pour l’évangélisation, car s’il a vraiment fait l’expérience de l’amour de Dieu qui le sauve, il n’a pas besoin de beaucoup de temps de préparation pour aller l’annoncer, il ne peut pas attendre d’avoir reçu beaucoup de leçons ou de longues instructions. Tout chrétien est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l’amour de Dieu en Jésus Christ ; nous ne disons plus que nous sommes « disciples » et « missionnaires », mais toujours que nous sommes« disciples-missionnaires ». Si nous n’en sommes pas convaincus, regardons les premiers disciples, qui immédiatement, après avoir reconnu le regard de Jésus, allèrent proclamer pleins de joie : « Nous avons trouvé le Messie » (Jn 1, 41). La samaritaine, à peine eut-elle fini son dialogue avec Jésus, devint missionnaire, et beaucoup de samaritains crurent en Jésus « à cause de la parole de la femme » (Jn 4, 39). Saint Paul aussi, à partir de sa rencontre avec Jésus Christ, « aussitôt se mit à prêcher Jésus » (Ac 9, 20 ). Et nous, qu’attendons-nous ?

246. Étant donné la gravité du contre témoignage de la division entre chrétiens, particulièrement en Asie et en Afrique, la recherche de chemins d’unité devient urgente. Les missionnaires sur ces continents répètent sans cesse les critiques, les plaintes et les moqueries qu’ils reçoivent à cause du scandale des chrétiens divisés. Si nous nous concentrons sur les convictions qui nous unissent et rappelons le principe de la hiérarchie des vérités, nous pourrons marcher résolument vers des expressions communes de l’annonce, du service et du témoignage. La multitude immense qui n’a pas reçu l’annonce de Jésus Christ ne peut nous laisser indifférents. Néanmoins, l’engagement pour l’unité qui facilite l’accueil de Jésus Christ ne peut être pure diplomatie, ni un accomplissement forcé, pour se transformer en un chemin incontournable d’évangélisation. Les signes de division entre les chrétiens dans des pays qui sont brisés par la violence, ajoutent d’autres motifs de conflit de la part de ceux qui devraient être un actif ferment de paix. Elles sont tellement nombreuses et tellement précieuses, les réalités qui nous unissent ! Et si vraiment nous croyons en la libre et généreuse action de l’Esprit, nous pouvons apprendre tant de choses les uns des autres ! Il ne s’agit pas seulement de recevoir des informations sur les autres afin de mieux les connaître, mais de recueillir ce que l’Esprit a semé en eux comme don aussi pour nous. Simplement, pour donner un exemple, dans le dialogue avec les frères orthodoxes, nous les catholiques, nous avons la possibilité d’apprendre quelque chose de plus sur le sens de la collégialité épiscopale et sur l’expérience de la synodalité. À travers un échange de dons, l’Esprit peut nous conduire toujours plus à la vérité et au bien.

247. Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’Alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée, parce que « les dons et les appels de Dieu sont sans repentance » (Rm 11, 29). L’Église, qui partage avec le Judaïsme une part importante des Saintes Écritures, considère le peuple de l’Alliance et sa foi comme une racine sacrée de sa propre identité chrétienne (cf. Rm 11, 16-18). En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas considérer le judaïsme comme une religion étrangère, ni classer les juifs parmi ceux qui sont appelés à laisser les idoles pour se convertir au vrai Dieu (cf. 1Th 1, 9). Nous croyons ensemble en l’unique Dieu qui agit dans l’histoire, et nous accueillons avec eux la commune Parole révélée.

248. Le dialogue et l’amitié avec les fils d’Israël font partie de la vie des disciples de Jésus. L’affection qui s’est développée nous porte à nous lamenter sincèrement et amèrement sur les terribles persécutions dont ils furent l’objet, en particulier celles qui impliquent ou ont impliqué des chrétiens.

249. Dieu continue à œuvrer dans le peuple de la première Alliance et fait naître des trésors de sagesse qui jaillissent de sa rencontre avec la Parole divine. Pour cela, l’Église aussi s’enrichitlorsqu’elle recueille les valeurs du Judaïsme. Même si certaines convictions chrétiennes sont inacceptables pour le Judaïsme, et l’Église ne peut pas cesser d’annoncer Jésus comme Seigneur et Messie, il existe une riche complémentarité qui nous permet de lire ensemble les textes de la Bible hébraïque et de nous aider mutuellement à approfondir les richesses de la Parole, de même qu’à partager beaucoup de convictions éthiques ainsi que la commune préoccupation pour la justice et le développement des peuples.

253. Pour soutenir le dialogue avec l’Islam une formation adéquate des interlocuteurs est indispensable, non seulement pour qu’ils soient solidement et joyeusement enracinés dans leur propre identité, mais aussi pour qu’ils soient capables de reconnaître les valeurs des autres, de comprendre les préoccupations sous jacentes à leurs plaintes, et de mettre en lumière les convictions communes. Nous chrétiens, nous devrions accueillir avec affection et respect les immigrés de l’Islam qui arrivent dans nos pays, de la même manière que nous espérons et nous demandons à être accueillis et respectés dans les pays de tradition islamique. Je prie et implore humblement ces pays pour qu’ils donnent la liberté aux chrétiens de célébrer leur culte et de vivre leur foi, prenant en compte la liberté dont les croyants de l’Islam jouissent dans les pays occidentaux ! Face aux épisodes de fondamentalisme violent qui nous inquiètent, l’affection envers les vrais croyants de l’Islam doit nous porter à éviter d’odieuses généralisations, parce que le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. »

DOGME INFAILLIBLE DE L’EGLISE à tenir sous peine de péché mortel et d’excommunication ipso facto d’hérésie en connaissance de cause (si on le connait et qu’on s’obstine à le nier) :

 

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino , 1441, ex-cathedra : Elle [La très sainte Eglise romaine] croit fermement, professe et prêche qu’«aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement païens» mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent pas devenir participants à la vie éternelle, mais iront «dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges» [Mt 25, 41], à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés; …

 

Pape Eugène IV, Concile de Florence , Athanase, Sess. 8, le 22 novembre 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, à moins qu’il la conserve intègre et inviolée, il périra sans aucun doute pour l’éternité. – Mais la foi catholique est que nous adorons un seul Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’unité …
« Mais il est nécessaire pour le salut éternel qu’il croit fidèlement aussi à l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ … le Fils de Dieu est Dieu et homme … Telle est la foi catholique ; si chacun ne garde cette foi fidèlement et fermement, il ne peut pas être sauvé « .

 

Pape Vigile, deuxième concile de Constantinople , 553, ex cathedra : « L’hérétique, même s’il n’a pas été condamné officiellement par un individu, en réalité apporte anathème sur lui-même, s’étant coupé du chemin de la vérité par son hérésie. Quelle réponse ces personnes peuvent apporter à l’Apôtre quand il écrit : Comme pour quelqu’un qui est factieux, après l’avoir repris une ou deux fois, ne plus rien avoir à faire avec lui, sachant qu’une telle personne est perverti et pécheresse, il est auto-condamné (Tite 3:10). « 

 

Pape Léon X, cinquième Concile de Latran, Session 8, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons strictement l’enseignement contraire à être autorisé. Nous décretons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, sèment des hérésies qui sont totalement condamnées, et devraient être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique ».

 

L’hérésiarque françois comme TOUS ses prédécésseurs hérésiarques de la secte vatican 2, dit que l’Islam a le même dieu que les « catholiques » (qui sont non catholiques).

 

Ces archi-hérétiques manifestes vatican 2 DOIVENT, en connaissance de cause, être évités dans TOUS les sens du terme.

 

Les hérétiques en effet, sont pire que les assassins car ils tuent éternellement les âmes.

 

 Très grave hérésie de François : Jésus est consubstantiel à sa Mère. Et un blasphème : le nom de Dieu est chacun.

 

(à l’occasion de son 77ème anniversaire avec des sans-abri à la maison Sainte-Marthe Rome, 17 décembre 2013) 

 

Antipape François : « Une fois, j’ai entendu quelqu’un dire : « Ce passage de l’Evangile semble l’annuaire ! Non, c’est autre chose : ce passage de l’Evangile est l’histoire et a un argument important. C’est l’histoire, parce que Dieu, comme le dit saint Léon le Pape, Dieu a envoyé son Fils. Et Jésus est consubstantiel au Père, Dieu, mais aussi inséparable de la mère, une femme. Et c’est une consubstantialité de la mère [1]. Dieu a fait l’histoire. Dieu a voulu faire de l’histoire. Il est avec nous. Il a fait le voyage avec nous.

 

 » Dieu prend le prénom [de chacun] pour en faire son nom : “Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, de Pedro, de Marietta, d’Harmony, de Marisa, de Simon, de tous !”. Le nom de Dieu, c’est chacun [2]». »

 

Explication :

 

[1] Concile de Tolède (675) : « Les trois personnes divines sont un seul Dieu et non trois dieux parce qu’elles sont une seule substance, une essence, une nature, une immensité, une éternité. »

 

Pourquoi l’Eglise at-elle distingué la nature et la substance ? Parce que Dieu seul partage une même substance en trois Personnes. Deux êtres humains partagent la même nature, mais non la même substance. Le Christ ne peut pas pas partager sa substance avec sa Mère, mais sa nature (humanité). 

 

Si le Christ est consubstantiel à sa mère cela signifie qu’elle est Dieu ! Qui oserait le penser ?

 

[2] Dieu ne partage pas sa substance avec aucune créature et dire que le nom de Dieu c’est l’homme est un blasphème et c’est mettre l’homme à la place de Dieu : c’est antéchrist.

 

L’hérésie (nier le dogme) est un pire péché contre la foi qui excommunie ipso facto (anathème).

 

Un hérétique ne peut pas être pape puisqu’il est hors de l’Eglise catholique. Celui qui est en communion avec un hérétique connu est excommunié.

 

 

François blasphème la Mère de Dieu

 

«La mère de Jésus était l’icône parfaite du silence de la proclamation de sa maternité exceptionnelle au Calvaire. Combien de fois elle est restée calme et combien de fois elle n’a pas dit ce qu’elle sentait pour garder le mystère de sa relation avec son fils, jusqu’au silence le plus brut au pied de la croix. L’Evangile ne nous dit rien : si elle disait un mot ou pas … Elle se tut, mais dans son cœur, combien de choses [elle] dit au Seigneur !, et d’autre que nous lisons,

«Vous, ce jour-là, vous m’aviez dit qu’il serait bien, vous m’aviez dit que vous lui auriez donné le trône de David, son ancêtre, qu’il aurait régné à jamais et maintenant je le vois là ! Notre-Dame était humaine ! Et peut-être qu’elle a même envie  de dire : «Mensonges ! Je me trompais ! Jean-Paul II disait cela, parlant de Notre-Dame à ce moment. Mais elle, avec son silence, a permis au mystère caché qu’elle ne comprenait pas, de croître et de s’épanouir dans l’espérance».

 

« Pape : garder le silence de sa relation avec Dieu », Radio Vatican, le 20 décembre 2013

 

 

 Encore une hérésie de plus de François, le 20 janvier 2014 

 

« Partager notre expérience en portant cette croix pour arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies : il est important que vous fassiez cela lors de vos réunions. Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le coran. La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer ».

 

Pour dire cela, il faut n’être pas catholique du tout et un méchant anti-christ, car c’est dire à des âmes dans une fausse religion d’y continuer pour aller dans l’enfer éternel au lieu de leur enseigner « Jésus-Christ, le seul nom par lequel on peut être sauvés ».

 

Francois = « amour », pas le dogme : Il s’agit d’un prêche satanique.

 

Voir vidéo François : vers le syncrétisme religieux ?

 

Hérésie puissance hérésie

 

Antipape François, interview au journal argentin La Nacion, 5 octobre 2014 : «… Le monde a changé et l’Église ne peut pas s’enfermer dans des interprétations présumées du dogme ».

 

Il n’y a qu’une seule façon de croire le dogme : comme la sainte mère Église l’a déclaré une fois pour toutes.

 

Un hérétique est un baptisé qui rejette ou nie un dogme ou une vérité à croire de foi divine et catholique de l’Eglise Catholique. Les hérétiques sont automatiquement excommuniés par l’Eglise sans aucune déclaration, pour rejeter un enseignement bien fondé de la foi catholique.

 

Pape Pie IX, premier concile du Vatican , Sess. 3, chap. 2, sur la Révélation, 1870, ex cathedra : « Ainsi, également, la compréhension de ses dogmes sacrés doit être perpétuellement retenue, telle que la Sainte Mère l’Église a une fois déclaré, et il ne doit jamais y avoir une récession à partir de cette signification sous le nom spécieux d’une compréhension plus profonde».

 

Un des principaux problèmes avec des groupes plus traditionnels «catholiques» et avec le Concile hérétique vatican 2 – « I’église » vatican 2 – est l’écart constant et obstiné du vrai sens littéral des dogmes comme ils ont été une fois infailliblement déclarés. Comme nous l’apprenons ci-dessus, il ne peut jamais avoir une récession de la véritable signification des dogmes tels qu’ils ont été une fois déclarés sous le nom spécieux de compréhension. 

 

Ainsi, nous sommes obligés d’accepter les dogmes tels qu’ils sont écrits sous peine de péché mortel.

 

Cette définition du Concile du Vatican (Vatican I, 1870) est d’une importance cruciale pour la pureté dogmatique, parce que le principal moyen que le diable tente d’utiliser pour corrompre les doctrines du Christ est d’obtenir que les hommes reculent (s’éloignent) à partir des dogmes de l’Eglise tels qu’ils ont été une fois déclarés. Il n’y a pas d’autre sens d’un dogme que ce que les mots eux-mêmes sont et déclarent, de sorte que le diable essaie d’amener les hommes à «comprendre» et «interpréter» ces mots d’une manière qui est différente de la façon dont la sainte mère l’Église les a déclarés.

L’apostat François ne nie pas seulement le dogme catholique révélé, il remet carrément en cause ce qu’est le dogme, c’est-à-dire ce qui fait ce qu’il est.: il nie qu’il existe un dogme révélé, infaillible, immuable définissant la foi, c’est-à-dire qu’il nie la foi catholique et l’Eglise catholiquen’a pas été l’Eglise.

 

 

 Hérésies contre la loi naturelle

L’hérésiarque François, en s’inclinant, a embrassé la main d’un prêtre leader homosexuel activiste.

L’hérésiarque François, en s’inclinant, a embrassé la main d’un prêtre leader homosexuel activiste, Michele de Paolis, faisant campagne pour que l’Eglise change son enseignement sur l’homosexualité. Auparavant les deux hommes ont « concélébré ». Ce prêtre est cofondateur d’une organisation gay Agedo Foggia opposée à la doctrine chrétienne. http://shoebat.com/2014/06/05/catholic-priest-says-homosexuality-gift-god-bible-word-god-pope-francis-kisses-hand-praises/

Déclaration hérétique sur l’évolution

Antipape François, à l’Académie « pontificale » des sciences, 28 octobre 2014 : « la foi n’est pas incompatible avec le Big Bang ni la théorie de l’évolution »

Fausses canonisations

« Canonisation » de Jean-Paul 2 (procédure médicale truquée des « miracles ») et Jean 23 (sans 2ème « miracle » et par procédure « simplifiée »). 

Les canonisations de l’Eglise catholique sont infaillibles, cela prouve que ce sont des faux papes imposteurs qui ne sont pas papes et chefs d’une église fausse qui n’est pas l’Eglise de Notre Seigneur Jésus-Christ CAR le Magistère infaillible de l’Eglise dit qu’un HERETIQUE NE PEUT PAS ETRE PAPE donc encore moins être « canonisé ».

Concile de Florence – Cantate Domino – 4 février 1442 – ex cathedra : « [La très sainte Eglise romaine] Elle croit fermement, professe et prêche qu' » aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront  » dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » [Mt 25,41] à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ;

Le diable a désormais ses « saints » : L’antipape François (en présence de l’antipape Benoit XVI) « canonise » les apostats-hérésiarques Jean 23 et Jean-Paul 2.

« Ad honorem Sanctæ et Individuæ Trinitatis, ad exaltationem fidei catholicæ et vitæ christianæ incrementum, auctoritate Domini nostri Iesu Christi, beatorum Apostolorum Petri et Pauli ac Nostra, matura deliberatione præhabitaet divina ope sæpius implorata, ac de plurimorum fratrum Nostrorum consilio, Beatos Ioannem XXIII et Ioannem Paulum II Sanctos esse decernimus et definimus, ac Sanctorum catalogo adscribimus, statuentes eos in universa Ecclesia inter Sanctos pia devotione recoli debere. In nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti.

 « En l’honneur de la Sainte Trinité, par l’exaltation de la foi catholique et l’accroissement de la vie chrétienne, avec l’autorité de Notre Seigneur Jésus Christ, des saints apôtres Pierre et Paul, après avoir longuement réfléchi, invoqué plusieurs fois l’aide de Dieu et écouté l’avis de beaucoup de nos frères dans l’épiscopat, nous déclarons et définissons saints les bienheureux Jean XXIII et Jean Paul II, et nous les inscrivons dans le catalogue des saints et établissons que dans toute l’Eglise ils soient dévotement honorés parmi les saints. » Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. »

L’apostat et hérétique François utilise la formule consacrée de l’Eglise, il s’agit d ‘un sacrilège et un blasphème, maintenant il est officiel que le diable est assis sur le siège prenant la place de Dieu.

Seul un antipape peut « canoniser » des apostats-hérésiarques complets : Les canonisations de l’Église catholique sont infaillibles, il est hérétique que des apostats et hérétiques qui sont hors de l’Église soient proclamé saints. Ces anti-canonisations sont la preuve que la secte vatican 2 n’est pas l’Église.

Si vous acceptez ces canonisations, vous êtes hérétique pour nier le dogme d’infaillibilité papale. 

IV) Dernières apostasies de Bergoglio en date
CONTINUATION DE L’APOSTASIE (rejet de la seule foi), DE L’HERESIE (négation obstinée du dogme révélé), DE L’HUMANISME NATURALISTE (homme au centre à la place de Dieu) ET DU NOMINALISME (chacun sa vérité) ET L’ESTIME ET PROMOTION DES FAUSSES RELIGIONS.

L’antipape François en terre sainte avec et en faveur des schismatiques, hérétiques, fausses religions, les juifs et les musulmans.

Antipape François, télégramme au président israélien Shimon Peres (2 jours avant de le rencontrer), 24 mai 2014 : Il dit sa hâte de la rencontre et sa prière demandant « d’abondantes bénédictions divines ».

Antipape François au roi Abdallah II, 24 mai 2014 : «… Je profite de cette occasion pour renouveler mon profond respect et mon estime pour la communauté musulmane, et manifester mon appréciation pour le rôle de guide joué par Sa Majesté le Roi dans la promotion d’une plus juste compréhension des vertus proclamées par l’Islam,…

«J’exprime ma reconnaissance à la Jordanie pour avoir encouragé diverses initiatives importantes en faveur du dialogue interreligieux pour la promotion de la compréhension entre Juifs, Chrétiens et Musulmans, parmi lesquelles le « Message Interreligieux d’Amman », et pour avoir promu au sein de l’ONU la célébration annuelle de la « Semaine d’Harmonie entre les Religions. … dans le respect de la liberté religieuse qui est un droit humain fondamental … à la fois au niveau individuel et collectif, la liberté de suivre sa conscience en matière religieuse et la liberté de culte… la liberté de choisir la religion que l’on juge être vraie et de manifester publiquement sa propre croyance » (Benoît XVI, Exort. Ap. Ecclesia in Medio Oriente, n. 26). ».

Antipape François, 24 mai 2014 à Amman : « L’Esprit Saint est descendu sur Jésus près du Jourdain et a commencé son œuvre de rédemption pour libérer le monde du péché et de la mort. Demandons-lui de préparer nos cœurs à la rencontre avec nos frères au-delà des différences d’idées, de langues, de cultures, de religions ; demandons-lui d’oindre tout notre être de l’huile de sa miséricorde qui guérit les blessures des erreurs, des incompréhensions, des controverses ; demandons-lui de nous envoyer avec humilité et douceur sur les sentiers exigeants, mais féconds, de la recherche de la paix. 

«… la diversité de personnes et de pensée ne doit pas provoquer refus et obstacles, parce que la variété est toujours un enrichissement ». Au sein de cette diversité, il s’agit aussi de reconnaître que les hommes ont « tous le même sang » et font « partie du genre humain » : se reconnaître « tous frères » aide à « éloigner de rancunes et divisions » et à « aimer fraternellement ».

François au Président Mahmoud Abbas, 25 mai 2014 : «La liberté religieuse … Le respect de ce droit humain fondamental est, en effet, une des conditions inaliénables de la paix, de la fraternité et de l’harmonie ; il dit au monde qu’il est nécessaire et possible de trouver un bon accord entre cultures et religions différentes ; il témoigne que les choses que nous avons en commun sont si nombreuses et si importantes qu’il est possible de trouver une voie de cohabitation sereine, ordonnée et pacifique, dans l’accueil des différences et dans la joie d’être frères parce que enfants d’un unique Dieu».

« L’unité des chrétiens » :

L’antipape recoit le « patriarche œcuménique » schismatique de Constantinople, Bartholomaios Ier à la Délégation apostolique, où ils signeront une déclaration conjointe.

Ils se rendent ensuite à la basilique de la Résurrection – le Saint-Sépulcre – pour une prière publique au lieu de la résurrection du Christ, avec des représentants d’autres confessions chrétiennes. 

A ces trois rencontres entre le l’antipape et le « patriarche » schismatique s’ajoutera la visite de l’antipape au patriarcat grec orthodoxe schismatique de Jérusalem.

Comme ses prédécesseurs apostats Benoit 16 et Jean-Paul 2, l’antipape François dépose une « prière » au mur des lamentations.

Pie VII, Encyclique Post tam diuturnas, 29 avril 1814 : « Par cela même qu’on établit la liberté de tous les cultes sans distinction, on confond la vérité avec l’erreur et l’on met au rang des sectes hérétiques et même de la perfidie judaïque, l’épouse sainte et immaculée du Christ, l’Eglise hors de laquelle il n’y a pas de salut. En outre, en promettant faveur et appui aux sectes des hérétiques et à leurs ministres, on tolère et on favorise non seulement leurs personnes, mais encore leurs erreurs. C’est implicitement la désastreuse et à jamais déplorable hérésie que saint Augustin mentionne en ces termes : « Elle affirme que tous les hérétiques sont dans la bonne voie et disent vrai, absurdité si monstrueuse que je ne puis croire qu’une secte la professe réellement».

« La porte est toujours ouverte » sur le mariage des « prêtres » (qui n’en sont pas).

Antipape François, durant le vol de retour de son voyage en terre sainte : «L’Eglise catholique a des prêtres mariés. Catholique grecque, copte catholique, dans le rite oriental. Pourquoi ne pas débattre non sur le dogme, mais sur une règle de vie que j’apprécie et qui est un don à l’Église. N’étant pas un dogme de foi, la porte est toujours ouverte».

Canon 9, 24ème session du Concile de Trente : « Que celui-là soit hérétique, qui soutient que les ecclésiastiques promus aux ordres sacrés, ou les moines qui ont fait vœu de chasteté peuvent se marier, et que leur mariage est valide, nonobstant les lois ecclésiastiques qui l’ont défendu. »  

Pape Pie XI, Encyclique Ad catholici sacerdotii fastigium, 20 décembre 1935 : «De fait, la loi du célibat ecclésiastique, dont la première trace écrite, qui suppose évidemment une coutume plus ancienne, se rencontre dans un canon du Concile d’Elvire  au début du IVe siècle, alors que la persécution sévissait encore, ne fait que rendre obligatoire une certaine exigence morale, pourrions-nous dire, qui ressort de l’Evangile et la prédication apostolique. Constater la haute estime dont le divin Maître avait fait montre pour la chasteté en l’exaltant comme une chose qui dépasse les forces ordinaires (cf. Mt 19, 11) ; savoir qu’il était  » fleur d’une mère vierge « , et depuis l’enfance élevé dans la famille virginale de Marie et de Joseph ; voir sa prédilection pour les âmes pures, comme les deux Jean, le Baptiste et l’Evangéliste ; entendre le grand Apôtre Paul, fidèle interprète de la loi évangélique et des pensées du Christ, prêcher le prix inestimable de la virginité, spécialement dans le but d’un service de Dieu plus assidu : celui qui est sans épouse se préoccupe des choses du Seigneur ; il cherche comment plaire à Dieu (1 Co 7, 32) ; tout cela devrait pour ainsi dire nécessairement faire sentir aux prêtres de la Nouvelle Alliance l’attrait céleste de cette vertu choisie, leur faire désirer d’être du nombre de ceux à qui il a été donné de comprendre cette parole (cf. Mt 19, 11), et leur faire adopter spontanément cette observance, sanctionnée très tôt par une loi très grave dans toute l’Eglise latine, « afin que ce que les Apôtres ont enseigné – comme l’affirme à la fin du IVe siècle le IIIe Concile de Carthage – et ce que nos prédécesseurs ont observé, nous aussi, nous y soyons fidèles…. Ainsi libéré des principaux liens qui pourraient le tenir attaché au monde, le prêtre sera davantage enflammé de ce feu céleste de l’amour, l’amour des âmes s’entend, qui jaillit du Cœur de Jésus-Christ et ne cherche qu’à se communiquer aux cœurs apostoliques et à embraser toute la terre».

 

L’antipape François réalise un nouvel acte d’apostasie au Vatican :

Il réunit « catholiques » « orthodoxes », juifs et musulmans à la prière pour la paix, le dimanche de la pentecôte.

En plus, l’imam musulman, « prie » pour « la victoire sur les infidèles » (jihad) devant eux : Pour la première fois, le Coran est récité au Vatican. Voir Islam

Invocation hérétique pour la paix de l’antipape François le dimanche 8 juin 2014 (document vatican 2) : http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/speeches/2014/june/documents/papa-francesco_20140608_invocazione-pace.html

Condamnations de l’Eglise :

Pape Léon X, cinquième concile de Latran, Session 8 et 9, ex cathedra : «Et puisque la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que chaque déclaration contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons strictement d’autre enseignement que celui autorisé. Nous décrétons que tous ceux qui s’accrochent à des déclarations erronées de ce genre, ainsi semence d’hérésies qui sont totalement condamnées, devraient être évités dans tous les sens et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique.

«… Tous les faux chrétiens et ceux avec de mauvais sentiments envers la foi, quelle que soit leur race ou nation qu’ils soient, ainsi que les hérétiques et ceux souillés avec une certaine souillure de l’hérésie, ou judaïsants, doivent être totalement exclus de la société des fidèles du Christ et expulsés de n’importe quelle position, en particulier de la curie romaine, et puni d’une peine adéquate … »

Pape Vigile, deuxième concile de Constantinople , 553, ex cathedra : « L’hérétique, même s’il n’a pas été condamné officiellement par un individu, en réalité apporte anathème sur lui-même, s’étant coupé du chemin de la vérité par son hérésie. Quelle réponse ces personnes peuvent apporter à l’Apôtre quand il écrit : Comme pour quelqu’un qui est factieux, après l’avoir repris une ou deux fois, ne plus rien avoir à faire avec lui, sachant qu’une telle personne est perverti et pécheresse, il est auto-condamné (Tite 3:10). »

III ème Concile de Constantinople , 680-681: « Si un ecclésiastique ou un laïc doit aller dans la synagogue des Juifs, ou les lieux de réunion des hérétiques pour se joindre à la prière avec eux, qu’ils soient destitués et privés de communion [excommunié] . Si un évêque ou un prêtre ou un diacre doit s’unir à la prière avec les hérétiques, qu’il soit suspendu de communion [excommunié]. »

Concile de Laodicée, 4ème siècle, (# Canon 6) : « Nul ne peut prier en commun avec les hérétiques et les schismatiques … Il n’est pas permis aux hérétiques d’entrer dans la maison de Dieu, tandis qu’ils continuent dans l’hérésie.

Concile de Carthage : «Il ne faut ni prier ni chanter des psaumes avec les hérétiques, et quiconque communique avec ceux qui sont coupés de la communion de l’Eglise, que ce soit le clergé ou laïc : qu’il soit excommunié.»

Pie XI, Mortalium animos, 6 janvier 1928 : «…d’aucuns s’efforcent d’obtenir dans les choses qui regardent l’ordre de la Loi nouvelle, apportée par le Christ Notre Seigneur. Convaincus qu’il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l’espoir qu’il serait possible d’amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences, religieuses, à une entente fraternelle sur la profession de certaines doctrines considérées comme un fondement commun de vie spirituelle. C’est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, fréquentés par un nombre appréciable d’auditeurs, et, à leurs discussions, ils invitent tous les hommes indistinctement, les infidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, et même ceux qui, par malheur, se sont séparés du Christ ou qui, avec âpreté et obstination, nient la divinité de sa nature et de sa mission.

«De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu’elles s’appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance. En vérité, les partisans de cette théorie s’égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient, et ils versent par étapes dans le naturalisme et l’athéisme. La conclusion est claire: se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c’est s’éloigner complètement de la religion divinement révélée».

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