Prophéties de Marie des neiges Holgado – Maria Nieves Holgado (1938)



Marie des neiges Holgado (Maria Nieves Holgado) est née le 5 aout 1904 à Roncal, province de Navarre, en Espagne. Elle est entrée en religion et a pris le nom de sœur L’astoure.

Ses premières visions et messages de Jésus crucifié commencèrent le 19 octobre 1917. Elle a été guérie miraculeusement à Lourdes en 1926. Marie des Neiges reçut d’autres messages de 1936 à 1938. Elle fut soumise à l’obédience du cardinal Segura.

Ses révélations dépeignent la vie superficielle de Paris qui mène au péché et au vice. Certains messages semblaient annoncer la seconde guerre mondiale.

En 1937, elle entendit : « L’Espagne, ta patrie qui t’es si chère, retrouvera sa grandeur d’antant ; elle sera aussi une mère pour tous ses enfants, pendant que les autres nations seront toutes en guerre. Elles vont y entrer bientôt. Dès cette année, des ruisseaux de sang couleront de tous cotés. Il y aura une sorte de péché dont toute la terre est souillée ; elle en sera purifiée par des châtiments dont beaucoup sont encore inconnus. Puis le monde verra venir la paix la plus complète … veillez et priez ».

Prophéties

«Rêver à Paris,écrit-elle, c’est se voir entouré de ténèbres de mort. Ce n’est pas un songe délicieux, c’est une bousculade incessante, c’est trébucher continuellement jusqu’à tomber dans le mal et finalement être précipité dans la damnation éternelle. Malheur à toi, Paris ! Dans peu de temps, tes superbes avenues seront des sépulcres de mort. Pleure sur tes erreurs, il en est temps encore, mais ensuite ce sera trop tard ! Que va devenir ton orgueilleux Opéra ? Un monceau de cendres, un rien… C’est l’éternel aboutissement des centres de corruption et de péché. »

En 1937, Marie des Neiges rapporte ces paroles de Jésus :

« Le Roi tant attendu fera son entrée en triomphe, plein de majesté et de gloire, en bénissant les survivants. Ils ne seront pas nombreux, parce que la plupart auront été entraînés par le torrent impétueux du communisme, qui disparaîtra, sans laisser la moindre trace, avant l’arrivée du Roi…

Les lieux saints seront de nouveau conquis par de nombreux chrétiens, et c’est là que résidera un roi, mais il n’y restera que quelque temps.

Combien peu s’attendent aux grands évènements qui vont bientôt survenir : le règne de mon Cœur, le triomphe de ma Sainte Mère, la venue du Grand Monarque… C’est lui qui procurera le triomphe complet à l’Eglise par le retour à Rome du Grand Pontife. Comme le Grand Monarque, il appartiendra au dernier ordre religieux, les Apôtres des derniers temps.

Le règne de mon Cœur miséricordieux, le triomphe de ma très Sainte Mère, la venue du Grand Monarque, le retour du pasteur de l’Eglise au siège de sa mission, tout cela se réalisera par l’entremise de ma Mère.

Le Pape qui ira en exil s’appellera Angélique parce qu’il sera gardé par les anges comme le Grand Roi, et il sera en union avec vous, mes bien-aimés.

L’œuvre de ma Mère fera l’admiration du monde entier, parce qu’elle sera la lumière qui enverra les rayons de sa pure clarté aux élus qui seront en exil, à ceux que mon Père a destinés à accomplir la grande œuvre de l’Eglise.

Et le Grand Pontife verra l’étoile qui le guidera au port en assurant son triomphe. Car ils reviendront ensemble à Rome, et l’étoile le suivra ensuite en éclairant ses pas, jusqu’à ce qu’il rende le dernier soupir…

L’on verra l’Eglise dans l’affliction. Mon Cœur penché sur elle l’encouragera à suivre celui qui sera méprisé parce qu’il est juste. Mais Je l’aurai affiné dès le principe et le manteau de ma Mère le couvrira de son ombre parce qu’il sera Pastor Angelicus. Ses appels d’amour feront rentrer mon troupeau, nouvellement choisi, au bercail de mon Cœur.

Tout cela se fera par l’entremise de ma Mère.

Puis chacun de vous aura une mission à remplir et Je serai avec tous ».

Le 6 juin 1937 :

« Combien peu s’attendent aux grands évènements qui vont bientôt survenir : le règne de mon Cœur, le triomphe de ma très Sainte Mère, la venue du Grand Monarque… C’est lui qui procurera le triomphe complet à l’Eglise par le retour à Rome du Grand Pontife (le pape angélique) ; comme le Grand Monarque, il appartiendra au dernier Ordre religieux, qui comprendra les Crucifères (littéralement porteurs de croix, cet ordre religieux n’existaient pas encore en 1937) et les Apôtres des derniers temps ».

Le 22 décembre 1937 :

« Le règne de mon Cœur miséricordieux, le triomphe de ma très Sainte Mère, la venue du Grand Monarque, le retour du Pasteur de l’Eglise au siège de sa Mission (Rome), tout cela se réalisera par l’entremise de ma Mère, le grand Capitaine de l’Armée Céleste ».

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