Albino Luciani, « Jean-Paul I », n’est pas Pape et n’a jamais été Pape de l’Eglise Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine.
Résumé : Albino Luciani est l’homme qui prétendait être pape de l’Eglise catholique, entre « Paul VI » et « Jean-Paul II », pendant 33 jours en 1978. Il s’agit d’un hérétique moderniste, ayant été promu cardinal par « Paul VI ». Un hérétique ne pouvant être pape, Albino Luciani n’a jamais été pape de l’Eglise catholique.
Scandales et hérésies de Luciani
Dans un sermon de Pâques en 1976, soit deux années avant sa pseudo élection au souverain pontificat, il a fait la déclaration suivante : « Ainsi la morale chrétienne a adopté la théorie de la guerre juste, donc l’Église a permis la légalisation de la prostitution (même dans les États pontificaux), alors que de toute évidence c’est resté interdit sur le plan moral. » (1)
C’est un blasphème d’affirmer que l’Église catholique permettrait la légalisation de la prostitution.
Comme patriarche de Venise, le 24 Décembre 1977, Albino Luciani a déclaré à propos de la Révolution française ce qui suit : « les intentions de ceux qui avaient allumé l’insurrection et la révolution au début étaient très bonnes, et le slogan proclamé était « Liberté, Fraternité, Egalité ». » (2)
Jean-Paul I, dans son premier discours annonçant le « programme » de son « pontificat » :
1) « L’écho de sa vie quotidienne témoigne que, malgré tous les obstacles, elle (l’Eglise) vit dans le cœur des hommes, même de ceux qui ne partagent pas sa vérité ou n’acceptent pas son message. » (3)
2) « (…) le Concile Vatican II (dont les enseignements que nous souhaitons engager totalement par notre ministère) (…) » (4)
3) « Nous souhaitons continuer à mettre en œuvre l’héritage du Concile Vatican II. Ses normes sages doivent être suivies et perfectionnées. » (5)
S’adressant à un ami du patriarche schismatique de Moscou, Nikodem, Jean-Paul I l’a appelé « un vrai saint ». (6)
Dans une lettre au nouveau patriarche schismatique de Moscou au sujet de la mort du patriarche schismatique récemment décédé, Jean-Paul I a écrit :
« (…) Nous exprimons à Votre Sainteté et au Saint-Synode de l’Eglise orthodoxe russe nos sentiments de vive douleur. Nous vous assurons de notre prière pour le repos de l’âme de ce serviteur dévoué de son Église et constructeur de l’approfondissement des relations entre nos Églises. Que Dieu le reçoive dans sa joie et sa paix. » (7)
Jean-Paul I appelle donc le schismatique russe décédé, qui a rejeté l’infaillibilité papale et les 13 derniers conciles dogmatiques (entre autres de l’enseignement catholique), un « serviteur dévoué de son Église ».
Il a « cru à plus de partage du pouvoir avec les évêques du monde entier et prévu de décentraliser la structure du Vatican. »
Il a souvent parlé de Paul VI avec admiration et affection : « C’était un grand pape et il a beaucoup souffert. Il n’a pas été entendu. »
Le Vatican a affirmé que Jean-Paul I était mort d’une crise cardiaque autour de 23 heures le 28 Septembre, 1978.
Nous avons montré que Jean-Paul I était un hérétique manifeste qui, entre autres choses, approuvait entièrement l’indifférentisme religieux et le faux œcuménisme du conciliabule Vatican II. Comme il était hérétique, il n’aurait pas pu être un pape légitimement et validement élu. C’était un antipape non-catholique.
Notes :
(1) L’Osservatore Romano, le 31 août, 1978, p. 6.
(2) L’Osservatore Romano, le 31 août, 1978, p. 6.
(3) Raymond et Lauretta Seabeck, Le Pape au Sourire, p. 64.
(4) L’Osservatore Romano, le 14 sept., 1978, p. 2.
(5) David Yallop, Au Nom de Dieu, p. 189.
(6) Raymond et Lauretta Seabeck, Le Pape au Sourire, p. 44.
(7) Ibid, p. 70.