Erna Stieglitz est née le 9 Octobre 1894 à Augsbourg et elle est morte à 81 ans en Allemagne. On la trouve parfois appelée « mutter Erna Stieglitz », ce qui veut dire « mère Erna Stieglitz ».
Son enfance s’est faite dans le dénuement. Erna a perdu son mari peu de temps après leur mariage, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Erna ouvrait la porte de sa petite maison où elle donnait de la soupe aux pauvres et où elle faisait de la couture pour eux. Elle aidait aussi les mères de familles malades, donnait des conseils.
Puis Erna fonda une association pour instituer ses œuvres caritatives de soupe populaire et d’aide aux pauvres. Son appartement servait comme bureau de l’association. Erna avait chez elle des installations pour faire la lessive et douze lits disponibles. Elle parcourait la localité pour apporter de l’humanité, de la consolation, de l’encouragement, et un refuge.
Tout au long de sa vie, Erna a eu des visions prophétiques et des crises mystiques.
Enfin, Erna a fondé, appuyée par ce qu’elle avait déjà accomplit, un foyer pour les petits vieux à Saint-Joseph Augsburg. Les sœurs de Lorette, de l’Institut Mariae Viginis Beatae l’aidaient dans sa tâche.
Elle devint religieuse de l’Ordre de Saint François. C’était dans sa cellule de religieuse qu’elle a eu le plus de visions de la dernière guerre.
Peu avant sa mort elle dit : « Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, tout le reste sera donné par surcroît ».
Sur sa pierre tombale on trouve les mots : « Vive le Christ Roi et sa Sainte Mère Hallelujah. »
Elle est morte « en odeur de sainteté » et nous attendons un vrai pape pour le béatifier éventuellement.
Prophéties
Selon Erna Stiglietz la troisième guerre est inévitable. Elle se passera très vite mais sera très sanglante. Le texte suivant est d’après celui de Wolfgang Johannes Bekh qui a écrit sur Erna et y a mêlé ses propres interprétations. Il raconte :
« Dans le silence de sa chambre, cette femme avait l’air à la fin du monde. »
« L’art antérieur ouvre pour la première fois la possibilité de gouverner le monde entier depuis un seul centre de pouvoir. Alors que dans son confort, l’Ouest, où la douceur, la richesse et le luxe sont au sommet, à l’Est on se prépare, on éduque à la privation, on durcit ses peuples, on offre aux jeunes des armes.
Selon les lois de la stratégie militaire, la Russie renforce ses flancs, qui sont, contre l’Europe occidentale, poussés en avant. La Russie doit être invulnérable sur les flancs. Le flanc sud est : l’Afghanistan, l’Iran, l’Irak, la Turquie, la Grèce, la Yougoslavie. La face nord est : Finlande, Suède, Norvège, Danemark. Jusqu’à la frontière bavaroise, une grande ligne de chemin de fer à écartement russe a déjà été mise en place.
Un été, probablement en Juillet, quand la région pétrolière sera déjà dans les mains des Russes plutôt fermes, ils effectueront l’attaque de l’est vers le sud et le flanc nord : la Turquie à la Grèce, la Yougoslavie et la Scandinavie.
Vers la fin de Juillet ils perceront par plusieurs endroits l’Europe de l’Ouest par des attaques éclairs contre l’action de l’Est.
Au début Août, ils pénétreront avec des armées de chars dans le centre de la France, probablement à Lyon, et détruiront Ulm un peu plus tard.
À la mi Août, les unités d’élite russes d’Alaska attaqueront des villes des Etats Unis par le nucléaire.
En Europe, ils verseront un rayonnement radioactif : « mur jaune ».
Prague sera détruit. Vers la même époque, les unités blindées seront encerclées en Westphalie et presque complètement anéantis.
Les Etats-Unis repoussent l’attaque atomique : de grandes parties de la Russie et les derniers silos de missiles sont détruits. Des millions de Russes meurent, l’armée russe est détruite. Les plus grandes destructions en Europe ont lieu lorsque la Russie est en train de perdre la guerre.
À la suite de ces événements, une révolution éclate en Russie qui effondre le système précédent. Le peuple Russes recommencent à avoir la foi.
En Septembre, une dernière tentative désespérée d’unités de sous-marins russes, ravage l’Europe par des moyens nucléaires. Dans cette attaque atomique, de nombreuses villes françaises et allemandes sont transformés en une mer de flammes.
L’Orient attaque l’Europe brisée.
Paris est victime d’insurgés français qui y mettent eux-mêmes le feu. Le pape a dû fuir Rome, où il ne retournera qu’après deux cents jours.
Ce pays catholique a dans ce dernier combat une tâche cruciale.
Troupes bavaroises et autrichiennes, suisses et françaises se battront jusqu’à la mort à Lyon et Ulm puis vers le nord pour en arriver à se battre contre la Russie. La Prusse, encerclée, adhérera finalement à leur association. On établie une zone de défense dans la vallée de la Rhur, des Pays Bas, de la Bavière, des Alpes, de la Suisse et de la région du Rhône.
A Ulm, il y a une bataille gigantesque comme l’armée d’Orient.
Les citadins affamés voleront les agriculteurs, les gens pilleront, incendieront, et assassineront, se sera l’anarchie.
Un nuage de poison emportera un tiers de l’humanité. »