Toute publication religieuse nécessite l’autorisation de l’Église. Et toute lecture d’un texte religieux non approuvé par l’Eglise est interdite.
Le Code de droit canonique de 1917 qui est toujours valide (car le code de 1983 a été publié par un hérétique Jean-Paul II et n’est donc pas valide) exige que, pour toute publication sur des questions religieuses ou morales, tout texte ou même une image pieuse, doit être d’abord examiné et approuvé par le Magistère de l’Église, c’est-à-dire par un évêque responsable (évêque du diocèse ou un « Ordinarius » par suppléance) ou son délégué désigné (appelé « censeur »).
Pour tout lire, voir le texte du code de l’Église même : Droit Canon n° 1384 à 1405 :
http://www.intratext.com/IXT/LAT0813/_P4H.HTM
En Français :
L’Église fait cela pour conjurer toute erreur et hérésie envers les fidèles qui lui sont confiés par Dieu. Car l’hérésie conduit à ruiner la foi et la vie surnaturelle.
Jésus a dit aux incroyants et aux hérétiques de son temps : « Vous mourrez dans vos péchés». Ainsi, une hérésie est un péché mortel, qui chasse l’hérétique formel hors de l’Église.
Puisque Vaticanum II est hérétique, tous ceux qui ont accepté Vaticanum II sont des hérétiques. S’ils ne le savent pas, ce sont des hérétiques « matériels », s’ils sont au courant et avertis par les autorités de l’Église, ce sont des hérétiques « formels ».
Même un hérétique matériel doit être mis de côté pour éviter qu’il ne contamine le reste des membres de l’Église. S’il a une charge dans l’Église (curé ou évêque du diocèse, etc.), il est automatiquement excommunié par le droit canonique. Mais un hérétique formel (prévenu deux fois par l’église et restant obstiné) est définitivement excommunié jusqu’au repentir public, abjuration et absolution de son excommunication.
Les évêques catholiques actuels (sédévacantistes) ont reçu de Dieu toute juridiction de substitution, car l’Église ne peut jamais cesser de fonctionner correctement. « Les portes de l’enfer ne prévaudront jamais contre elle » dit Jésus dans l’Évangile.
Tout péché contre la foi est péché mortel, comme mettre sa foi en danger en lisant des textes non approuvés par l’Eglise.
Donc toute publication doit avoir une approbation comme « imprimatur », « imprimi potest », « evulgetur » ou une préface écrite par un évêque, d’avant 1964, ou bien doit provenir d’un prêtre ou d’un évêque catholique (sedevacantiste etc) actuellement.
Veuillez en tenir compte pour tous les éditions, même les blogs sur Internet, parce que c’est une défense sévère de Dieu et de Son Église.
Fr. Eric Jacqmin