Preuves que Paul VI, et ses Successeurs (Jean-Paul I, Jean-Paul II, Benoît XVI, François I, Léon XI..) sont des Hérétiques
Table des matières
- Introduction
- Section 1 : Définition de l’Hérésie et ses Conséquences
- Section 2 : Vatican II Contient des Hérésies Flagrantes
- Section 3 : Paul VI et ses Successeurs ont Promulgué et Maintenu ces Hérésies
- Section 4 : Réfutation des Contre-Arguments
- Conclusion
Introduction
Nous avons vu que selon la doctrine immuable de l’Église catholique, fondée sur les Écritures, les Pères, les Docteurs et les conciles œcuméniques avant 1963, l’hérésie est une erreur grave contre la foi qui étant publique entraîne la perte automatique de tout office ecclésiastique et étant pertinace (têtu, obstiné) l’appartenance à l’Église.
Nous démontrerons ici, par l’établissement des faits et d’un raisonnement logique que Paul VI et ses successeurs ont manifesté des hérésies publiques, les plaçant hors de l’Église.
Les preuves s’appuient sur des dogmes définis et des textes authentiques, sans opinions personnelles. Les contre-arguments seront réfutés.
Section 1 : Définition de l’Hérésie et ses Conséquences (courte reprise, voir le chapitre à ce sujet)
- Majeure : L’hérésie est le rejet obstiné, après le baptême, d’une vérité de foi divine et catholique proposée comme telle par l’Église.
- Mineure : Un pape qui promulgue des documents contenant des hérésies ou y adhère publiquement manifeste une pertinacité, et il perd son office.
Les hérétiques manifestes perdent ipso facto toute juridiction, comme l’explique saint Robert Bellarmin : « L’hérétique manifeste n’est en aucune manière membre de l’Église » (De Romano Pontifice, livre II, chapitre 30, à la fin).
La bulle “Cum ex apostolatus officio” de Paul IV (15 février 1559) déclare « que si jamais il arrivait qu’un évêque, même agissant en tant qu’archevêque, patriarche, primat ou cardinal de la Sainte Église romaine, ou légat, ou même le Pontife romain, avant sa promotion ou son élévation au cardinalat ou au pontificat, ait dévié de la foi catholique ou soit tombé dans l’hérésie, sa promotion ou son élévation, même si elle a été faite avec l’accord unanime et pacifique de tous les cardinaux, est nulle, invalide et sans effet. » Cela s’applique sans déclaration formelle.
– Le canon 188, paragraphe 4, du Code de 1917 stipule que les hérétiques publics sont privés ipso facto de leur office.
– Canon N° 2314 du Code de Droit Canonique (1917) :
« §1. Tous les apostats de la foi chrétienne, tous les hérétiques ou schismatiques et chacun d’eux :
1° Encourent par le fait même une excommunication ;
2° Si après monition, ils ne viennent pas à résipiscence, qu’on les prive de tout bénéfice, dignité, pension, office ou autre charge, s’ils en avaient dans l’Église, et qu’on les déclare infâmes ; après deux monitions, ceux qui sont clercs doivent être déposés. »
- Conclusion : Tout pape manifestant une hérésie publique cesse d’être pape, car il n’est plus membre de l’Église.
Section 2 : Vatican II Contient des Hérésies Flagrantes (courte reprise, voir le chapitre à ce sujet)
2.1. Majeure : Un enseignement qui contredit un dogme défini par un concile œcuménique ou le magistère infaillible est hérétique.
Le concile Vatican I (Dei Filius, chapitre 3) enseigne que les dogmes sont irréformables : « Si quis dixerit, fieri posse, ut dogmatibus ab Ecclesia propositis aliquando secundum progressum scientiae sensus tribuendus sit alius ab eo, quem intellexit et intelligit Ecclesia: anathema sit. »
(Traduction : « Si quelqu’un dit qu’il peut se faire que, aux dogmes proposés par l’Église, un sens différent doive être parfois attribué de celui que l’Église a entendu et entend : qu’il soit anathème. ») (Denzinger, Enchiridion symbolorum, numéro 3043.)
2.2. Mineure : Les textes de Vatican II contiennent des contradictions directes avec le Dépôt de la Foi. Par exemple :
– “Gaudium et Spes”, numéro 12 :
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
Cela contredit le “Syllabus Errorum de Pie IX” (1864, proposition 3) : « Humana ratio, nullo prorsus Dei habito respectu, unicus est veri et falsi, boni et mali arbiter; sibi ipsi est lex et naturalibus suis viribus ad hominum ac populorum bonum curandum sufficit. »
(Traduction : « La raison humaine, sans avoir égard à Dieu, est le seul arbitre du vrai et du faux, du bien et du mal; elle est à elle-même sa loi, et suffit, par ses forces naturelles, à procurer le bien des hommes et des peuples. »)
(Denzinger, Enchiridion symbolorum, numéro 2903.) Cela promeut un anthropocentrisme hérétique.
– “Dignitatis Humanae”, numéro 2 :
« Ce Concile Vatican déclare que la personne humaine a un droit à la liberté religieuse. Cette liberté signifie que tous les hommes doivent être immunisés contre la coercition de la part d’individus, de groupes sociaux ou de tout pouvoir humain, de sorte que personne ne soit forcé d’agir contre ses propres convictions, que ce soit en privé ou en public, seul ou en association avec d’autres, dans les limites appropriées. »
Cela contredit “Quanta Cura” de Pie IX (1864) :
« Et de cette idée totalement fausse de l’organisation sociale, ils n’hésitent pas à promouvoir cette opinion erronée, particulièrement funeste pour l’Église catholique et le salut des âmes, qualifiée par notre prédécesseur, Grégoire XVI, de démence, à savoir que la liberté de conscience et de culte est le droit propre de chaque homme, et doit être proclamée par la loi dans toute société correctement établie… Toutes et chacune des doctrines mentionnées individuellement dans cette lettre, par Notre autorité apostolique, Nous les rejetons, les proscrivons et les condamnons ; et Nous voulons et ordonnons qu’elles soient considérées comme absolument rejetées par tous les fils de l’Église. » (Denzinger, Enchiridion symbolorum, numéro 2915.)
– “Nostra Aetate”, numéro 2 :
« L’Église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions. Elle considère avec un respect sincère ces manières d’agir et de vivre, ces règles et ces doctrines qui, quoiqu’elles diffèrent sous bien des rapports de ce qu’elle-même tient et propose, cependant reflètent souvent un rayon de la vérité qui illumine tous les hommes. »
Cela contredit le dogme Extra Ecclesiam nulla salus, défini au concile de Florence (1442) : « Firmiter credit, profitetur et praedicat, nullos extra catholicam Ecclesiam existentes… aeternae vitae fieri possint participes. » (Traduction : « Personne en dehors de l’Église catholique… ne peut devenir participant à la vie éternelle. ») (Denzinger, Enchiridion symbolorum, numéro 1351.)
2.3. Conclusion : Vatican II est hérétique, car il renverse des dogmes définis.
Section 3 : Paul VI et ses Successeurs ont Promulgué et Maintenu ces Hérésies
3.1. Majeure : Celui qui promulgue un concile hérétique ou y adhère est hérétique, manifestant une pertinacité publique (Code de droit canonique de 1917, canon 1325, paragraphe 2).
3.2. Mineure :
– les papes à partir de 1964 ont tous accepté publiquement et indubitablement le concile hérétique de Vatican II, ils l’ont appliqué, exécuté et promulgué.
– Paul VI après sa première hérésie “Gaudium et Spes” (le 21 novembre 1964) a promulgué tous les textes de Vatican II le 8 décembre 1965, les déclarant obligatoires.
Il a affirmé de “Gaudium et Spes” :
« Elle a été considérée de plus en plus après le Concile comme le véritable testament de celui-ci » (Cardinal Ratzinger, Les principes de la théologie catholique, page 423).
– Jean-Paul Ier, en choisissant son nom en hommage à Jean XXIII et Paul VI, les papes de Vatican II, a manifesté son adhésion complète à ce conciliabule hérétique, confirmant ainsi sa pertinacité publique dans l’erreur.
– Jean-Paul II a appliqué le texte apostat de “Nostra Aetate” à Assise (1986), déclarant :
« Cette grande concentration de croyants… est en elle-même une invitation au monde à prendre conscience que l’esprit d’Assise est vraiment l’application de l’enseignement du Vatican II » (discours du 27 octobre 1986).
– Benoît XVI a participé à Assise en 1986 et l’a commémoré en 2007, acceptant pleinement Vatican II comme “une révision du ‘Syllabus Errorum’ de Pie IX”, comme il l’a déclaré dans « Les principes de la théologie catholique (page 423-427) », œuvre rééditée après son élection à la “papauté”.
– François I a poursuivi ces actes œcuméniques, contredisant “Mortalium Animos” de Pie XI (1928) : « Ils se trompent gravement ceux qui […] soutiennent que les hommes peuvent parvenir au salut éternel en pratiquant n’importe quelle religion. »
(Denzinger, Enchiridion symbolorum, numéro 3683.)
– Léon XIV, promu en 2025, adhère aux hérésies modernistes issues de Vatican II, notamment le relativisme doctrinal, l’œcuménisme hérétique niant « extra Ecclesiam nulla salus » (Unam Sanctam, 1302), et le féminisme moderniste favorisant l’ordination des femmes, contre l’enseignement immuable (Pie XII, Mystici Corporis, 1943). Dans son adresse aux catholiques orientaux le 14 mai 2025, Léon XIV a appelé à une « unité » avec les schismatiques en insistant sur la préservation des « traditions » orientales sans exiger leur soumission à la primauté romaine pleine et entière, comme définie au concile de Florence (1439)
3.3. Conclusion : Paul VI et ses successeurs sont hérétiques, perdant ipso facto leur office (Code de droit canonique de 1917, canon 188, paragraphe 4).
Section 4 : Réfutation des Contre-Arguments
4.1. “Vatican II est pastoral, non dogmatique”
Réfutation : Le magistère enseigne que tout enseignement, même pastoral, ne peut contredire les dogmes (Vatican I, Dei Filius, canon 4). Ce chapitre enseigne en effet avec certitude que le Magistère, assisté du Saint-Esprit, est dépositaire de la foi et doit la préserver fidèlement sans aucune contradiction possible avec les dogmes, car Dieu ne saurait se contredire Lui-même, et la vérité divine est une et immuable. Toute prétendue « intelligence plus profonde » qui s’écarterait de ce sens établi est une hérésie, comme l’a condamné le Concile contre le modernisme naissant. Les prétendus « progrès » postérieurs qui oseraient contredire cela ne sont que des innovations schismatiques, à rejeter comme telles, conformément à la foi catholique inviolable.
Pie XII affirme : « Ce qui ne répond pas à la vérité et à la loi morale n’a objectivement aucun droit à l’existence, ni à la propagande, ni à l’action. » (Allocution aux juristes italiens « Ci Riesce », 6 décembre 1953.)
4.2. “Les successeurs ont interprété Vatican II orthodoxement”
Réfutation : Leurs actes, comme l’réunion à Assise en 1986, confirment l’hérésie, violant « Mortalium Animos §2» de Pie XI :
« Cette opinion fausse qui considère toutes les religions plus ou moins bonnes et louables… Non seulement ceux qui tiennent cette opinion sont dans l’erreur et trompés, mais aussi en déformant l’idée de la vraie religion, ils la rejettent. »
Conclusion du Chapitre
Paul VI et ses successeurs, Jean-Paul I, Jean-Paul II, Benoît XVI, François et Léon XIV
en promulguant et appliquant le conciliabule hérétique Vatican II , sont hérétiques et antipapes.
Les catholiques doivent les rejeter pour préserver la foi immuable et sauver leur âme.