“Nostra Aetate” et l’”Esprit d’Assise”
Table des matières
- Introduction
– Présentation de l’apostasie de Nostra Aetate et de son application via l' »esprit d’Assise ».
- Définition Théologique de l’Apostasie
– Définition selon saint Thomas d’Aquin et le Code de Droit Canonique de 1917.
- Preuve que la Proposition Erronée Provient de Nostra Aetate
– Analyse de Nostra Aetate §2 (général),
– §2 (bouddhisme),
– §2 (hindouisme),
– §3 (islam),
– §4 (judaïsme).
– Confirmation via Unitatis Redintegratio.
- Contradiction avec la Révélation Divine
– Références à Actes 4:12 et Jean 14:6.
- Définition par le Magistère Infaillible
– Dogmes du IVe Concile du Latran,
– Unam Sanctam,
– Concile de Florence
– Concile de Trente,
– Pie IX
– Pie XI.
- Interprétation Authentique : L’Esprit d’Assise comme Confirmation de l’Apostasie
– Faits d’Assise (1986, 2002) et réfutations des contre-arguments.
- Conclusion
– Synthèse de l’apostasie de Nostra Aetate et nécessité de son rejet.
– Corollaire : le plus grand péché du monde?
Introduction
La déclaration Nostra Aetate (NA) du prétendu Deuxième Concile du Vatican (1962-1965) est un texte qui, sous une apparence de dialogue interreligieux, introduit une grave déviation doctrinale constituant une apostasie formelle. Selon la doctrine catholique pré-1963, fidèle à la Révélation divine et au Magistère infaillible, l’apostasie est définie comme un rejet total de la foi chrétienne (Code de Droit Canonique de 1917, canon 1325 §2). Cet article démontre, de manière académique et syllogistique, que Nostra Aetate est apostat en trois étapes : (1) prouver que la proposition erronée provient de Vatican II, (2) montrer qu’elle contredit une vérité révélée, ce qui contient un rejet de la religion et (3) établir que cette vérité est un dogme défini par le Magistère infaillible. L’application pratique de Nostra Aetate à travers l’« esprit d’Assise » (1986 et suivantes) confirmera cette apostasie.
- Définition Théologique de l’Apostasie
Selon saint Thomas d’Aquin, l’apostasie est un péché d’infidélité par lequel une personne baptisée s’éloigne totalement de la foi chrétienne (Summa Theologica, IIa-IIae, q. 12, a. 1). Le Code de Droit Canonique de 1917 (canon 1325 §2) précise :
“Post susceptum baptisma si quis, nomen retento christianum, negat vel dubitat aliquam veritatem credendam fide divina et catholica, haereticus; si a christiana fide totaliter recedat, apostata.”
(Traduction : « Après avoir reçu le baptême, si quelqu’un, tout en gardant le nom de chrétien, nie ou doute d’une vérité à croire de foi divine et catholique, il est hérétique ; s’il s’éloigne totalement de la foi chrétienne, il est apostat. »)
L’apostasie, plus grave que l’hérésie, implique un rejet volontaire et conscient de l’ensemble de la foi, manifesté extérieurement, et requiert : (1) un baptême valide, (2) l’usage de la raison, (3) un rejet délibéré de la foi, (4) une manifestation publique de ce rejet.
Les causes modernes incluent l’ignorance coupable, les scandales ecclésiastiques et le modernisme, condamné par Pie X comme « omnium haeresium summa et quasi synthesis » (« la somme et comme la synthèse de toutes les hérésies », Pascendi Dominici Gregis, §39, 1907).
Syllogisme fondamental :
– Majeure : Accepter que d’autres religions possèdent une valeur salvifique implique un rejet de la foi catholique, qui se proclame unique (Extra Ecclesiam nulla salus).
– Mineure : Nostra Aetate accepte les fausses religions comme contenant des éléments salvifiques.
– Conclusion : Nostra Aetate rejette la foi catholique et constitue une apostasie.
- Étape 1 : Preuve que la Proposition Erronée Provient de Nostra Aetate
- Texte de Nostra Aetate §2
“ L’Église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions. Elle considère avec un respect sincère ces manières d’agir et de vivre, ces règles et ces doctrines qui, quoiqu’elles diffèrent sous bien des rapports de ce qu’elle-même tient et propose, cependant reflètent souvent un rayon de la vérité qui illumine tous les hommes.”
(Source : www.vatican.va)
Le terme « vrai » renvoie à une conformité avec la réalité divine révélée. Et le terme «saint », selon la doctrine de saint Thomas d’Aquin (Summa Theologica, IIa-IIae, q. 81, a. 8), désigne une participation à la divinité par la grâce sanctifiante, ordonnée au salut. En affirmant que les religions non chrétiennes contiennent des éléments « saints», Nostra Aetate suggère qu’elles possèdent des moyens partiels de salut, indépendamment de la médiation du Christ. L’expression « rayon de la vérité » valorise ces religions sans exiger leur subordination à la Révélation chrétienne.
- Sur le Bouddhisme (Nostra Aetate §2)
Le texte poursuit :
“Dans le bouddhisme, selon ses formes variées, l’insuffisance radicale de ce monde changeant est reconnue et on enseigne une voie par laquelle les hommes, avec un cœur dévot et confiant, pourront acquérir l’état de libération parfaite, soit atteindre l’illumination suprême par leurs propres efforts ou par un secours venu d’en haut.”
Les termes « libération parfaite » et « illumination suprême » désignent l’objectif ultime du bouddhisme, équivalent au salut. En présentant cette « voie » comme valable, sans référence explicite à la nécessité du Christ, Nostra Aetate implique que le bouddhisme contient des éléments salvifiques. L’expression « par leurs propres efforts » exclut la médiation du Christ, tandis que « secours venu d’en haut » reste vague et ne mentionne pas la grâce chrétienne, suggérant une validité autonome de cette religion. Or, le bouddhisme enseigne une métaphysique du non-être, où le Nirvana est une extinction, non une vie éternelle, incompatible avec la doctrine catholique du salut.
- Sur l’Hindouisme (Nostra Aetate §2)
Concernant l’hindouisme, le texte affirme :
“Ainsi, dans l’hindouisme, les hommes contemplent le mystère divin et l’expriment par une fécondité inépuisable de mythes et par des tentatives philosophiques pénétrantes. Ils cherchent la libération des angoisses de notre condition humaine par des pratiques ascétiques ou une méditation profonde ou un refuge en Dieu avec amour et confiance.”
Ce passage loue les mythes et philosophies hindous comme valides, alors que Léon XIII condamne les « mythes et superstitions viles des Brahmanes » (Ad Extremas, §1, 1893). En valorisant ces pratiques comme des moyens de « libération », Nostra Aetate attribue une valeur salvifique à une religion polythéiste, sans référence à la nécessité du Christ.
- Sur l’Islam (Nostra Aetate §3)
Nostra Aetate §3 déclare :
“L’Église regarde aussi avec estime les musulmans qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant en soi, miséricordieux et tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes.”
Ce texte suggère que les musulmans adorent le vrai Dieu. Cependant, le Coran nie explicitement la Trinité et la divinité du Christ (Sourate 4:171 : « O gens du Livre, n’exagérez pas dans votre religion et ne dites d’Allah que la vérité. Le Messie, Jésus, fils de Marie, n’était qu’un messager d’Allah […]. Allah est le seul Dieu. Il est loin de Sa sainteté qu’Il ait un fils. »). Nostra Aetate affirme, à tort, une adoration du même Dieu, alors que l’objet formel de leur culte exclut la Trinité
Cette négation fondamentale rend l’islam incompatible avec la foi catholique, et l’affirmation de Nostra Aetate constitue une approbation implicite d’une religion qui rejette des dogmes essentiels.
- Sur le Judaïsme (Nostra Aetate §4)
Nostra Aetate §4 déclare :
“Scrutant le mystère de l’Église, le saint Concile rappelle le lien qui relie spirituellement le peuple du Nouveau Testament à la lignée d’Abraham. […] L’Église a toujours devant les yeux les paroles de l’apôtre Paul sur ceux de sa race « à qui appartiennent l’adoption filiale, la gloire, les alliances, la législation, le culte, les promesses et les patriarches, et de qui est né, selon la chair, le Christ » (Rm 9, 4-5). […] Bien que l’Église soit le nouveau peuple de Dieu, les Juifs ne doivent pas être présentés comme réprouvés et maudits par Dieu, comme si ces positions pouvaient être tirées de l’Écriture Sainte.”
Ce texte valorise la tradition juive post-chrétienne sans condamner son rejet explicite du Christ, suggérant que le judaïsme conserve une valeur salvifique indépendante de la foi en Jésus. En outre, il inverse la mission évangélisatrice en demandant de « reconnaître, préserver et promouvoir les biens spirituels et moraux » des autres religions (Nostra Aetate §2), trahissant Matthieu 28:19 : « Allez donc, enseignez toutes les nations. » et le texte sacré des Actes 2:36 « Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. »
- Confirmation par Unitatis Redintegratio
Le décret Unitatis Redintegratio (§3) renforce cette erreur :
“Les Églises et communautés séparées en tant que telles, bien que nous croyions qu’elles souffrent des défauts déjà mentionnés, n’ont nullement été privées de signification et d’importance dans le mystère du salut.”
Cette affirmation attribue une valeur salvifique aux communautés non catholiques, en contradiction avec le dogme Extra Ecclesiam nulla salus.
III. Étape 2 : Contradiction avec la Révélation Divine
La Révélation divine, contenue dans l’Écriture, affirme l’exclusivité du salut par Jésus-Christ. Deux passages fondamentaux le démontrent :
- Actes des Apôtres 4:12 (Vulgate) :
“Et non est in alio aliquo salus: nec enim aliud nomen est sub caelo datum hominibus, in quo oportet nos salvos fieri.”
(Traduction : « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. »)
Ce verset, attribué à saint Pierre, exclut toute autre voie de salut : « non est in alio aliquo salus » signifie qu’aucune religion ou médiation hors du Christ ne peut conduire au salut.
- Jean 14:6 (Vulgate) :
> Ego sum via, et veritas, et vita. Nemo venit ad Patrem, nisi per me.
(Traduction : « Je suis la voie, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père, si ce n’est par moi. »)
Nostra Aetate, en valorisant des « voies » comme le bouddhisme (« par leurs propres efforts »), l’hindouisme, l’islam et le judaïsme comme contenant des éléments « saints » et ordonnés au salut, contredit directement ces passages scripturaires. Affirmer que des religions non chrétiennes possèdent des moyens salvifiques, même partiellement, viole l’exclusivité du salut par le Christ.
- Étape 3 : Définition par le Magistère Infaillible
Pour établir l’apostasie, la proposition erronée doit contredire un dogme défini par le Magistère infaillible avant 1962. Le dogme Extra Ecclesiam nulla salus a été solennellement proclamé à plusieurs reprises :
- IVe Concile du Latran (1215), canon 1 (sous Innocent III) :
> Una vero est fidelium universalis Ecclesia, extra quam nullus omnino salvatur.
(Traduction : « Il y a une seule Église universelle des fidèles, en dehors de laquelle absolument personne n’est sauvé. »)
- Boniface VIII, Bulle Unam Sanctam (1302) :
> Porro subesse Romano Pontifici omni humanae creaturae declaramus, dicimus, definimus et pronunciamus omnino esse de necessitate salutis.
(Traduction : « Nous déclarons, disons, définissons et prononçons qu’il est absolument nécessaire au salut pour toute créature humaine d’être soumise au Pontife Romain. »)
- Concile de Florence (1442), Cantate Domino (sous Eugène IV) :
> La sainte Église romaine […] croit fermement, professe et enseigne qu’aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Église catholique, non seulement les païens, mais aussi les Juifs, les apostats et les schismatiques, ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges, à moins qu’ils ne soient agrégés à elle avant la fin de leur vie.
Ce texte définit infailliblement (de fide divina et catholica) que le salut est exclusivement lié à l’Église catholique, Corps mystique du Christ.
- Concile de Trente, Session VI, canon 1 (1547) (sous Paul III) :
> Si quis dixerit, homines sine gratia Christi, per ipsa tantum opera, quae naturaliter possunt, iustificari… anathema sit.
(Traduction : « Si quelqu’un dit que l’homme peut être justifié devant Dieu par ses œuvres – que celles-ci soient accomplies par les forces de la nature humaine ou par l’enseignement de la loi – sans la grâce divine venant par Jésus Christ : qu’il soit anathème. »)
- Pie IX, Quanto Conficiamur Moerore (1863) :
> Il est connu de nous et de vous que ceux qui sont dans une ignorance invincible de notre sainte religion, et qui, observant soigneusement la loi naturelle et ses préceptes, inscrits par Dieu dans le cœur de tous, et étant disposés à obéir à Dieu, mènent une vie honnête et droite, peuvent, par l’opération de la lumière et de la grâce divine, obtenir la vie éternelle.
Ce texte admet la possibilité de salut pour des individus dans l’ignorance invincible, mais uniquement par la grâce du Christ, et non par les pratiques de religions non chrétiennes.
- Pie XI, Mortalium Animos (1928) :
> Ils se trompent gravement ceux qui […] soutiennent que les hommes peuvent parvenir au salut éternel en pratiquant n’importe quelle religion.
Ce texte rejette explicitement l’idée que les religions non chrétiennes puissent être des voies de salut, réaffirmant le dogme Extra Ecclesiam nulla salus.
Ces définitions, fondées sur Actes 4:12 et Jean 14:6, établissent que le salut est exclusivement lié au Christ et à Son Église, excluant toute autre religion comme voie salvifique.
- L’Interprétation Authentique : L’Esprit d’Assise comme Confirmation de l’Apostasie
L’application de Nostra Aetate lors des rencontres interreligieuses d’Assise (1986, 2002), initiées par Karol Wojtyla (Jean-Paul II), confirme l’apostasie. Wojtyla déclara :
> Cette grande concentration de croyants… est en elle-même une invitation au monde à prendre conscience que l’esprit d’Assise est vraiment l’application de l’enseignement du Vatican II.
(Discours, 27 octobre 1986)
- Les Faits d’Assise
En 1986, des représentants de fausses religions furent invités à prier pour la paix. Les bouddhistes placèrent une statue de Bouddha sur un autel catholique et dansèrent autour, les hindous invoquèrent des idoles, et les animistes sacrifièrent des animaux. Le cardinal Silvio Oddi témoigna :
> Ce jour-là, je me rendis à Assise en tant qu’envoyé pontifical de la basilique Saint-François. J’ai été témoin de véritables profanations en ces lieux de prière. J’ai vu des bouddhistes danser autour de l’autel, sur lequel ils avaient placé Bouddha à la place du Christ, qu’ils encensaient et vénéraient.
(Entretien, Trente Jours, novembre 1990)
Wojtyla appela les évêques à suivre cet exemple : « Je vous demande de promouvoir dans vos diocèses des initiatives similaires » (discours, 1986). En 2002, ces pratiques furent répétées, malgré des tentatives de séparation des prières. Ces actes violent directement Exode 20:3-5, qui interdit l’adoration d’autres dieux.
- Contre-Arguments et Réfutations
– Objection 1 : « Nostra Aetate ne nie pas l’exclusivité du Christ, car il mentionne que l’Église ‘annonce sans cesse le Christ’ (Jean 14:6). »
Réfutation : En valorisant des « voies » comme le bouddhisme (« par leurs propres efforts ») et en omettant de condamner le rejet du Christ par le judaïsme, Nostra Aetate attribue une valeur salvifique à des pratiques indépendantes du Christ, violant Actes 4:12 et Mortalium Animos. Le principe de non-contradiction d’Aristote (Métaphysique, livre Gamma, chap. 3, 1005 b 19-20) s’applique : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à un même sujet. »
– Objection 2 : « Assise visait la paix, non le syncrétisme. »
Réfutation : Prier ensemble implique une reconnaissance implicite de la validité des cultes non chrétiens, ce qui est incompatible avec Mortalium Animos (§2), qui condamne l’unité dans la diversité religieuse comme une forme de syncrétisme maçonnique. La séparation des prières est artificielle, car l’intention d’unité spirituelle reste.
– Objection 3 : « Ratzinger (Benoît XVI) était contre Assise. »
Réfutation : Ratzinger participa à Assise en 1986 et, en 2007, à Naples, il commémora l’esprit d’Assise en appelant à la prière interreligieuse, confirmant son adhésion.
- Conclusion
Nostra Aetate constitue une apostasie formelle pour les raisons suivantes :
- Origine dans Vatican II : Nostra Aetate (§2, §3, §4) affirme que les religions non chrétiennes (bouddhisme, hindouisme, islam, judaïsme) contiennent des éléments « vrais et saints », impliquant une valeur salvifique indépendante du Christ, renforcée par Unitatis Redintegratio (§3).
- Contradiction avec la Révélation : Ces affirmations contredisent Actes 4:12 (« Il n’y a de salut en aucun autre ») et Jean 14:6 (« Personne ne vient au Père, si ce n’est par moi »), qui établissent l’exclusivité du salut par le Christ.
- Contradiction avec le Magistère Infaillible : Le dogme Extra Ecclesiam nulla salus, défini par le IVe Concile du Latran, Unam Sanctam, le Concile de Florence, le Concile de Trente, Pie IX et Pie XI, exclut toute autre religion comme voie de salut.
- Confirmation par le rassemblement à Assise : L’application de Nostra Aetate à Assise (1986, 2002) par Wojtyla(anti-pape Jean-Paul II), qui invita des fausses religions à prier et déclara ces actes conformes à Vatican II, manifeste un rejet public de la foi catholique, en violation d’Exode 20:3-5.
Corollaire :
Aäron, comme grand prêtre de l’ancien testament, a permis une seule fois l’adoration d’un veau d’or à un seul peuple et dans le désert. C’est considéré comme un très grand péché, tel que Moïse a par punition et colère cassé les tables de la loi qu’il revenait de recevoir de Dieu même.
Le péché de Wojtyla est de beaucoup plus grand : c’est un des plus grands péchés dans l’histoire du monde : un pape (considéré comme tel par la plus part du monde : c’est la plus grande autorité religieuse, du nouveau testament), rassemble les chefs de toutes les religions de tous les peuples du monde (pas un seul peuple), pour adorer chacun son faux dieu (pas une seule idole le veau d’or), et cela devant le monde entier (les médias étaient sur place, donc pas seulement dans un désert), demandant que tout évêque suive son exemple (donc pas une seule fois) de plus grand péché (apostasie et donc contre le commandement le plus important (le premier : “tu adorera un seul Dieu”). On ne peut imaginer un plus grand ! Objectivement parlant c’est, à mon humble avis, le plus grand péché qu’un homme n’a jamais commis et pu commettre sur terre.
Comme comble de la misère, cet anti-pape est devenu si populaire qu’il a été “canonisé” peu de temps après sa mort et vénéré excessivement, surtout en Pologne, son pays natal : de là il a contracté le surnom : “Jean-Paul dieu”. Faux dieu bien sûr.
Aäron s’est repenti publiquement de son péché, JPII jamais. Alors appeler un tel homme “saint Père” sonne comme un blasphème.
Bref, selon le canon 1325 §2, Nostra Aetate et l’« esprit d’Assise » rejettent totalement la foi catholique, constituant une apostasie. Cette conclusion implique que le prétendu concile Vatican II et ses adeptes s’écartent de la foi, confirmant la position sédévacantiste, fidèle à l’enseignement éternel de l’Église. Le salut des âmes, loi suprême (Code de Droit Canonique 1917, canon 1752 : « Salus animarum in Ecclesia suprema lex esto »), exige le rejet de Nostra Aetate et de Vatican II pour préserver la vérité catholique.